Pour l’accusation, Khalid Fahem ne supportait pas l’émancipation de sa femme. Après qu’elle avait fait seule l’acquisition du domicile conjugal en 2014, puis celui d’un magasin de prêt-à-porter en 2018 où il n’était que simple employé, elle venait de lui annoncer leur rupture.
Ce crime « est lié à la perte de contrôle qu’il exerçait sur sa femme. Il avait accédé à un statut social grâce à sa femme », a estimé Marina Kieny.