Le 26 août 2024 à 19:56:19 :
Le 26 août 2024 à 10:03:30 :
Je commence à en avoir assez, personnellement, de Céline, Céline le génie incompris compris par tout le monde… Qu’il est noir ce morpion, impossible de se foutre devant un autre livre après l’avoir écouté nous chanter son malheur, ses vices, son désespoir. C’est à crever que de penser ainsi, qu’est-ce qu’il nous apporte, à nous, pauvres âmes du 21ème siècle ? Le nihilisme ? C’est la norme. Qui sont ses héritiers ? Ce dégueulasse de Houellebecq ? A la poubelle Céline, Houellebecq, et la majeure partie de la foutue littérature française, qui est dégoutante de mépris pour le bonheur, pour la joie, pour l’espérance, pour la Foi. Ces gros dégueulasses se complaisent bien volontairement dans leur malheur et dans leur mélancolie, qu’ils exagèrent au passage pour bien enfoncer le lecteur abruti dans la tristesse et l’abattement. Si les Céline et ses petits nous faisaient un peu revivre et prendre espoir, s’ils nous sortaient un peu des vices faciles qu’ils prétendent parfois dénoncer, on ne pourrait pas les lire, et ils seraient censurés, c’est bien sûr… Ce gros tas d’impiété, ce con de médecin de seconde zone sur lequel tous les médiocres comme moi se branlent, pardonnez le terme, n’a pas réinventé la littérature : il l’a tuée définitivement. Que voulez-vous écrire après lui ? Il est allé au bout du roman, au bout de la littérature : en lui, plus d’étincelle, ça y est, éteintes les espérances. Que reste-t-il maintenant ? Passer pour un con, pour un niais, avec nos belles idées, oh, ces cochons qui se permettent d’espérer ! De croire ! D’aimer Jésus ! Mais qu’on les foute au bucher ces bougres, qu’on les brûle maintenant ! Oui, Louis-Ferdinand, tu n’es pas du tout la victime que tu prétends être, tu es bien le bourreau de la pensée française que tu as enfermée dans ta morbide et gluante pensée, celle du vide… Comme si la Vérité n’était pas conciliable avec la Vie, mais que tout se résumait au fait d’être destiné à la morgue. C’est d’un dégueulasse, et après, ce sinistre con ose nous dire de quelle école il rêve, de ce qu’il veut pour la jeunesse… Mais qu’en sais-tu toi, menteur, malade, taré ? Tu es un baiseur, on voit bien comment tu parles de sexe en permanence… Mais c’est pour les puceaux tout ça, qu’est-ce qu’il y a de si énorme dans la fesse qui te fasse tant rougir ? As-tu inventé aussi tes baisouilles ? Tu en parles comme si c’était le plaisir absolu, des petits bouts d’infini… De l’infini ? La contraction de ta verge par ton sperme puant, le jouis-jouis, ton infini ? Tu es bien con Ferdinand, connard ! Et Dieu dans tout ça ? Tu n’as pas vu l’infini là-dedans ? Avec tout ce que tu as lu, infime merde, tu n’as pas trouvé un peu de Vérité dans Jésus Christ ? Sagesse des vaniteux que la tienne, tu perds les âmes, je prie bien pour qu’avant de crever tu aies pu sauver au moins la tienne.
Monsieur,
Vous venez de si loin pour me tendre la main qu’il faudrait être bien sauvage pour ne pas être ému par votre lettre.
Que je vous exprime d’abord toute ma gratitude un peu émerveillée par un tel témoignage de bienveillance et de spirituelle sympathie.
Rien cependant ne nous rapproche, rien ne peut nous rapprocher ; vous appartenez à une autre espèce, vous voyez d’autres gens, vous entendez d’autres voix. Pour moi, simplet, Dieu c’est un truc pour penser mieux à soi-même et pour ne pas penser aux hommes, pour déserter en somme superbement.
Voyez combien je suis argileux et vulgaire !
Je suis écrasé par la vie, je veux qu’on le sache avant d’en crever, le reste je m’en fous, je n’ai que l’ambition d’une mort peu douloureuse mais bien lucide et tout le reste c’est du yoyo.
Bien sincèrement je vous prie.
Justement, dans sa réponse il me donne plutôt raison, un désespéré qui n'est résolu qu'à chialer sans imaginer qu'il ne donne aucune solution ni à lui-même ni au prochain