Germanempire146
2024-02-21 21:14:30
J étais en stage dans un hôtel et j étais logé par ma boîte, on était deux stagiaire, moi et une meuf, on était seul dans le couloir
Un soir je toqué à sa porte car j avais besoin d un cours, elle m ouvre, puis va prendre une douche en me disant de reste là pour voir un truc
Bon déjà seul dans sa piaule je suis déjà excité mais j etais timide alors je fais rien
Elle revient dans la pièce en serviette, et me demande si je la trouve belle, je dis oui, puis elle laisse tomber sa serviette et me demande comment je trouve son corps
Je lui ai sauté dessus sans vergogne Ahi
KysMoth
2024-02-21 22:34:58
Bordel ton topic me rend mélancoliquehttps://image.noelshack.com/fichiers/2024/05/2/1706650678-img-20240130-223711.jpg
Il y avait une fille qui était dans ma classe en Terminale, une jolie blonde, un peu timide, tradi. On s'échangeait des gigantesques et innombrables "eye contact" pendant les cours et lorsqu'on se croisait, mais on faisait systématiquement comme s'il n'était de rien, comme si on ne s'était pas vu, et on avait irrésistiblement l'envie de recommencer, et de faire comme si ça ne s'était jamais passé, donc on continuait ce petit jeu indéfiniment, à chaque fois qu'on le pouvait, sans jamais se soucier de ce qu'il pourrait advenir, parce que ça gacherait cette magie et cette insouciance essentielles à ce plaisir. On ne se parlait jamais, on s'ignorait, on faisait les amnésiques et les aveugles, mais au fond qu'est ce qu'on s'aimait. Il y avait une tension comme "sexuelle" entre nous, quand l'autre n'était pas loin on devenait nerveux, agités, transpirants. On se dévorait du regard pendant les cours, chacun regardant le visage de l'autre alternativement jusqu'au moment culminant où nos regards se croisent une fraction de seconde et que chacun détourne honteusement le regard, mais aux anges.
Puis vers la fin de l'année, lors d'une après-midi particulièrement ensoleillée de fin de printemps, entre deux cours sans importance, le hasard fit qu'on se retrouva en "retard" pour un autre cours, en même temps. Elle avait une dizaine seconde d'avance sur moi, je l'ai retrouvé devant la porte, hésitante à toquer (pas sûr que ce soit la bonne sale et craignant de déranger la prof pendant qu'elle parlait). Or, chose imprévue, avec le "stress" (dû au fait qu'on a du tous les deux se dépêcher) et la légèreté particulière de la journée ; pris au dépourvu et nos sens d'adolescents éveillés, nous fûmes naturels, transparents, et nous nous considérâmes pour la première fois "normalement", sans distance ou pudeur entre nous, simplement, comme deux amoureux de toujours. Ce moment fût court, une quinzaine de secondes, mais je n'oublierai jamais la sensation que j'ai ressentie. D'abord on a échangé brièvement pour savoir quoi faire, s'il fallait toquer ou non, c'était avec le sourire, amusement, avec une pure et naïve complicité, comme si on riait intérieurement de ce numéro qu'on avait joué toute l'année, et qu'on découvrait finalement l'autre comme on l'a toujours regardé, mais de trop loin, nos rêves étaient réalités, on avait été si bêtes de rester éloignés durant tout ce temps. Puis, pour la première fois de ma vie, un instinct viril, primitif, animal, surgit, et je fit quelque chose d'a la fois complètement naturel mais complètement inhabituel : alors qu'elle était devant la porte et moi encore sépare de 1 où 2 mètres, je pris "l'initiative" de toquer, de toquer pour elle, d'en prendre la responsabilité (si jamais c'était la mauvaise salle où on dérangeait, si jamais on devait s'excuser…) comme un mâle épargnant et dominant sa femelle, je me rapprochai, près de la porte, près d'elle, trop près d'elle, beaucoup trop près d'elle, sans le faire exprès, et elle même ne reculait pas, restait là, à quelques minimètres de ma poitrine, à moitié penchée sur moi, et, lorsque je toquai dans la foulée, je le vis, je le sentis, je vis la fragile créature qui ne demandait qu'à s'offrir à moi, je la vis se rapprocher encore plus, instinctivement, ses jambes collées aux miennes, son épaule écrasant la mienne, la tête penchée vers moi, son regard sur mon torse, je la vis "sentir" la différence sexuelle qui résidait entre nous, cette différence de taille, de morphologie, de poids, de muscles, cette différence, qui voulait dire que "je pourrais être son homme", que je pourrais l'écraser et faire ce que je veux d'elle si j'étais un pur primate incivilisé, elle était minuscule fasse à moi, frêle, insignifiante, elle aurait pû se briser devant moi, s'envoler d'un coup de vents en même temps que ses beaux cheveux blonds, pourtant elle n'était pas particulièrement petite et légère, ni moi particulièrement grand ou lourd (1m83, 62~kilo, elle à peu près pareil mais proportionnellement, en tant que fille), mais la différence était là, et on sentait cette appartenance commune, la proximité de nos natures et de nos êtres, tout son corps et tout mon corps nous disait de se jeter dans les bras de l'autre, et on l'aurait fait si on l'avait pu, si cette ivresse avait continué, mais la porte était ouverte, et nous étions trop purs pour transgresser cette loi qui nous interdisait d'aller au delà. Pour la première fois je me sentis vraiment homme, pour la première fois je vis la manifestation de l'essence de la féminité, ce jour-ci on échangea quelque chose d'inestimable et d'éternel, probablement car ce fût notre "première fois" à tous les deux.
Néanmoins je raconte très mal les choses, la réalité à ce moment fût bien trop belle pour pouvoir être vulgairement décrite par des mots.
Voilà, c'est pas forcément le moment le plus "sexuellement excitant" de ma vie, mais c'était un moment féerique, un des plus beaux de toute ma vie, et ce que je ressentis était uniquehttps://image.noelshack.com/fichiers/2024/05/2/1706650678-img-20240130-223711.jpg