Assez des fusées aux "formes phalliques", ce collectif féministe veut lancer des fusées vulves

En revanche, difficile d’en savoir plus au sujet de Lucia Hartmann. Malgré des recherches approfondies, aucune information à son sujet n’est accessible hormis le profil d’une ingénieure de l’université de Lausanne, spécialisée dans les matériaux de nanotechnologie. Lorsque nous interrogeons Mitta au sujet de l’identité de son associée, ses réponses sont évasives. Les deux uniques prises de parole évoquant Mittag à propos de son associé sont les suivantes « Lucia Hartmann a commencé son travail de recherche sur les vaisseaux spatiaux et a découvert qu’un vaisseau spatial, en s’écartant des formes traditionnelles, serait plus aérodynamique « . Elle ajoute ensuite: « Lucia Hartmann nous a contactés dans le but d’une collaboration et pour que nous fassions le travail médiatique, car le sujet va bien au-delà du simple aspect scientifique« .

Le mystère entoure donc le « Vulva Spaceship ». Jasmin Mittag apporte peu d’éléments concrets aux interrogations que nous lui posons. Au sujet de la faisabilité concrète de la fusée, Jasmin Mittag botte en touche: « Je crois qu’il y a beaucoup de choses possibles dans cet univers, même de créer un espace où le sexe n’a plus d’importance.«

Pas de réponses non plus au sujet de l’existence de maquettes 3D de l’engin ou de la possibilité d’un coup de communication pour mettre en lumière l’activiste et son collectif

https://www.informelles.media/canular-ou-coup-de-comm-genial-le-vulva-spaceship-ou-lavenir-de-lespace/

joli coup de comhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/19/1494619651-larryhome-2.png

Le 11 janvier 2024 à 02:40:04 :
En revanche, difficile d’en savoir plus au sujet de Lucia Hartmann. Malgré des recherches approfondies, aucune information à son sujet n’est accessible hormis le profil d’une ingénieure de l’université de Lausanne, spécialisée dans les matériaux de nanotechnologie. Lorsque nous interrogeons Mitta au sujet de l’identité de son associée, ses réponses sont évasives. Les deux uniques prises de parole évoquant Mittag à propos de son associé sont les suivantes « Lucia Hartmann a commencé son travail de recherche sur les vaisseaux spatiaux et a découvert qu’un vaisseau spatial, en s’écartant des formes traditionnelles, serait plus aérodynamique « . Elle ajoute ensuite: « Lucia Hartmann nous a contactés dans le but d’une collaboration et pour que nous fassions le travail médiatique, car le sujet va bien au-delà du simple aspect scientifique« .

Le mystère entoure donc le « Vulva Spaceship ». Jasmin Mittag apporte peu d’éléments concrets aux interrogations que nous lui posons. Au sujet de la faisabilité concrète de la fusée, Jasmin Mittag botte en touche: « Je crois qu’il y a beaucoup de choses possibles dans cet univers, même de créer un espace où le sexe n’a plus d’importance.«

Pas de réponses non plus au sujet de l’existence de maquettes 3D de l’engin ou de la possibilité d’un coup de communication pour mettre en lumière l’activiste et son collectif

https://www.informelles.media/canular-ou-coup-de-comm-genial-le-vulva-spaceship-ou-lavenir-de-lespace/

joli coup de comhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/19/1494619651-larryhome-2.png

Créer un espace oû le sexe n’a pas d’importance en imaginant des fusées sous-optimales en forme de schneck

Le féminisme moderne

JE LICK

Tant que ce n'est pas financer par mes impôts et que ça ne me tombe pas sur la tête je m'en fiche. Tant mieux pour elles si elles ont du temps à perdre