Des rheis qui écrivent de la poésie par ici ?
Seducteur99
2023-03-06 20:33:50
Il hésite, il évite
L'iIllisible Némésis
Le vice d'Isis, 666
Triste fils d'iblis, il glisse dans l'abysse
Sinistre, s'immisce, et kiss les délices du vice
Ils se saisissent de dix miss, qui font office de sacrifice
A Mephi-sto, et la lice-po...
Panta-rhei
2023-03-06 20:34:10
Le 06 mars 2023 à 20:31:52 :
Moi l’op j’ai rédigé y a quelques jours donc c’est très brouillon ne jugez pas je me suis inspiré de la nature etc
La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L’homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l’observent avec des regards familiers. Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. Il est des parfums frais comme des chairs d’enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, Et d’autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l’expansion des choses infinies,
Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens,
Qui chantent les transports de l’esprit et des sens
Pas de chance pour toi rhei, j'ai reconnu la première strophe.
Panta-rhei
2023-03-06 20:36:50
Le 06 mars 2023 à 20:33:50 :
Il hésite, il évite
L'iIllisible Némésis
Le vice d'Isis, 666
Triste fils d'iblis, il glisse dans l'abysse
Sinistre, s'immisce, et kiss les délices du vice
Ils se saisissent de dix miss, qui font office de sacrifice
A Mephi-sto, et la lice-po...
Pas de rime en hubris Déception.
ZouzouLeFous
2023-03-06 20:39:23
Le 06 mars 2023 à 20:15:44 :
Vous voulez bien nous faire lire vite fait ?https://image.noelshack.com/fichiers/2019/29/2/1563305323-madsbois-biere.jpg
ouiii j'en est fait un pour sainte biche et cigarette et je suis en train d'en faire un autre à destination de sacramandine !
Panta-rhei
2023-03-06 20:42:00
Le 06 mars 2023 à 20:39:23 :
Le 06 mars 2023 à 20:15:44 :
Vous voulez bien nous faire lire vite fait ?https://image.noelshack.com/fichiers/2019/29/2/1563305323-madsbois-biere.jpg
ouiii j'en est fait un pour sainte biche et cigarette et je suis en train d'en faire un autre à destination de sacramandine !
Le forum est prêt à découvrir ces merveilles.https://image.noelshack.com/fichiers/2019/29/2/1563305323-madsbois-biere.jpg
ZouzouLeFous
2023-03-06 20:44:20
Le 06 mars 2023 à 20:42:00 :
Le 06 mars 2023 à 20:39:23 :
Le 06 mars 2023 à 20:15:44 :
Vous voulez bien nous faire lire vite fait ?https://image.noelshack.com/fichiers/2019/29/2/1563305323-madsbois-biere.jpg
ouiii j'en est fait un pour sainte biche et cigarette et je suis en train d'en faire un autre à destination de sacramandine !
Le forum est prêt à découvrir ces merveilles.https://image.noelshack.com/fichiers/2019/29/2/1563305323-madsbois-biere.jpg
bin tape zouzou et tu devrais les trouvers ! ou bien je peux les reposter ici stv
PubliusOvidius
2023-03-06 20:45:02
Bon, je me lance, soyez sans pitié.
Le vitrail
Un vitrail sublime dans la cité du lys
Divisait les couleurs, les étendait au sol,
Éclaboussait les murs, appelait les délices
Et par la lumière projetait ses symboles.
Cette œuvre de couleur trouvait son absolu
Dans un verre brisé, qui ne répandait plus
La couleur d'un drapé, mais préférait laisser
Passer la pureté d'une lueur dorée.
Ce rayon solaire échouait sur des poignets,
Caressant ces deux mains se serrant fortement,
Les doigts étaient croisés, dévoués, ils priaient.
La chaleur du soleil réchauffait cette enfant
À genoux en compagnie d'un jeune garçon.
Tous deux étaient absorbés dans leur communion.
Ces deux êtres, dont la beauté n'avait d'égal
Dans ce doux instant où se rencontrait le pâle
De la main d'une enfant et ces ondes célestes,
Imploraient avec les plaintes des jours funestes
Que le lien de soie qu'ils avaient sus nouer,
Malgré les hommes, ne serait jamais tranché.
Des pas rapides, des voix se faisaient entendre.
Des armes, des bottes, on venait pour les prendre.
Des frissons parcouraient la frêle jeune fille
S’en remettant à Dieu sans que se voix vacille.
Le garçon l’écoutait, silencieusement,
La regardait quelques fois, subrepticement,
Comme s'il n'eut pût vivre sans la regarder,
Où que ce fut l'ultime fois pour l'admirer.
Il oyait leur malheur qui montait l'escalier,
Vit un fragile pleure rouler sur ses joues,
Enlaça celle qui ne cessait de prier,
Se préparait à subir des hommes leur joug.
Jeune amour empêché, n'est jamais délié,
Beni par un rayon qui sut se faufiler,
Deux âmes innocentes, pour l'éternité,
Vinrent s'unifier.
Marmotte22
2023-03-06 20:48:12
A mes frères d’infortune
J’adresse ce message
Si le jour m’importune
La nuit est mon rivage
Ma prose, s’impose
Je produits, tu disposes.
La bouteille à la mer
De mes regrets amer
ZouzouLeFous
2023-03-06 20:48:33
Le 06 mars 2023 à 20:45:02 :
Bon, je me lance, soyez sans pitié.
Le vitrail
Un vitrail sublime dans la cité du lys
Divisait les couleurs, les étendait au sol,
Éclaboussait les murs, appelait les délices
Et par la lumière projetait ses symboles.
Cette œuvre de couleur trouvait son absolu
Dans un verre brisé, qui ne répandait plus
La couleur d'un drapé, mais préférait laisser
Passer la pureté d'une lueur dorée.
Ce rayon solaire échouait sur des poignets,
Caressant ces deux mains se serrant fortement,
Les doigts étaient croisés, dévoués, ils priaient.
La chaleur du soleil réchauffait cette enfant
À genoux en compagnie d'un jeune garçon.
Tous deux étaient absorbés dans leur communion.
Ces deux êtres, dont la beauté n'avait d'égal
Dans ce doux instant où se rencontrait le pâle
De la main d'une enfant et ces ondes célestes,
Imploraient avec les plaintes des jours funestes
Que le lien de soie qu'ils avaient sus nouer,
Malgré les hommes, ne serait jamais tranché.
Des pas rapides, des voix se faisaient entendre.
Des armes, des bottes, on venait pour les prendre.
Des frissons parcouraient la frêle jeune fille
S’en remettant à Dieu sans que se voix vacille.
Le garçon l’écoutait, silencieusement,
La regardait quelques fois, subrepticement,
Comme s'il n'eut pût vivre sans la regarder,
Où que ce fut l'ultime fois pour l'admirer.
Il oyait leur malheur qui montait l'escalier,
Vit un fragile pleure rouler sur ses joues,
Enlaça celle qui ne cessait de prier,
Se préparait à subir des hommes leur joug.
Jeune amour empêché, n'est jamais délié,
Beni par un rayon qui sut se faufiler,
Deux âmes innocentes, pour l'éternité,
Vinrent s'unifier.
très chouette !
j'aime particulièrement les 4 premiers vers !
YorgosLanthimos
2023-03-06 20:49:14
Des fois on est conscient,
des fois on est inconscient.
Les inconscients ne savent pas qu'ils sont inconscient
car ils ne connaissent pas la conscience
ZouzouLeFous
2023-03-06 20:49:59
Le 06 mars 2023 à 20:49:14 :
Des fois on est conscient,
des fois on est inconscient.
Les inconscients ne savent pas qu'ils sont inconscient
car ils ne connaissent pas la conscience
omg stop plagier les grands artistes
KikiCrypto
2023-03-06 20:51:56
Toi, fidèle amoureuse aux désirs lacunaires,
Hantant-tu ces pensées me mettant aux aboies.
Du jours et des nuits se succèdent sans émois,
Ces mirages emplis de tes charmes austères.
Solitude chérie te voilà désignée,
Drapée d'une robe de tristesse infinie,
Tes longs bras m'en lassant sur le temps m'élimer.
Fiancée vaporeuse à la langue pendue,
Tendresse consommée et bien vite oubliée,
Désunion des accords dépourvus d'imprévus.
Délicate amante habillée de son linceul,
Ta douce tendresse en mes songes se dérobe.
Le temps d'un baiser enfin je t'abandonne,
Solitude chérie, je pense à nouveau seul.
Faudrait que je le retravaille un peu
PubliusOvidius
2023-03-06 20:52:30
Le 06 mars 2023 à 20:48:33 :
Le 06 mars 2023 à 20:45:02 :
Bon, je me lance, soyez sans pitié.
Le vitrail
Un vitrail sublime dans la cité du lys
Divisait les couleurs, les étendait au sol,
Éclaboussait les murs, appelait les délices
Et par la lumière projetait ses symboles.
Cette œuvre de couleur trouvait son absolu
Dans un verre brisé, qui ne répandait plus
La couleur d'un drapé, mais préférait laisser
Passer la pureté d'une lueur dorée.
Ce rayon solaire échouait sur des poignets,
Caressant ces deux mains se serrant fortement,
Les doigts étaient croisés, dévoués, ils priaient.
La chaleur du soleil réchauffait cette enfant
À genoux en compagnie d'un jeune garçon.
Tous deux étaient absorbés dans leur communion.
Ces deux êtres, dont la beauté n'avait d'égal
Dans ce doux instant où se rencontrait le pâle
De la main d'une enfant et ces ondes célestes,
Imploraient avec les plaintes des jours funestes
Que le lien de soie qu'ils avaient sus nouer,
Malgré les hommes, ne serait jamais tranché.
Des pas rapides, des voix se faisaient entendre.
Des armes, des bottes, on venait pour les prendre.
Des frissons parcouraient la frêle jeune fille
S’en remettant à Dieu sans que se voix vacille.
Le garçon l’écoutait, silencieusement,
La regardait quelques fois, subrepticement,
Comme s'il n'eut pût vivre sans la regarder,
Où que ce fut l'ultime fois pour l'admirer.
Il oyait leur malheur qui montait l'escalier,
Vit un fragile pleure rouler sur ses joues,
Enlaça celle qui ne cessait de prier,
Se préparait à subir des hommes leur joug.
Jeune amour empêché, n'est jamais délié,
Beni par un rayon qui sut se faufiler,
Deux âmes innocentes, pour l'éternité,
Vinrent s'unifier.
très chouette !
j'aime particulièrement les 4 premiers vers !
Merci beaucoup.
ZouzouLeFous
2023-03-06 20:52:37
Sainte Bitch
« Moitié sainte Moitié biche
Ton charme provient de ce gracieux hémistiche
Et de ta chevelure écarlate.
Dont mon cœur porte encore les stigmates
Lègue d’une vision que je n’oublierai pas
Depuis que je t’ai aperçu ce jour là
Chevauchant fièrement ton destrier
Cheveux flottants aux grès du vent, véritable brasier
Laissant comme une trainée
Dans ta course effrénée.
Mais c’était sans compter,
La lubie d’un lutin machiavélique
Qui vient rompre le charme de cette scène idyllique
En te lançant un sortilège acéré.
Le cheval glisse sur une mousse,
Tu chois de ta monture
Avec célérité, j’accourt à ta rescousse
Parviens jusqu’à l’encolure (de l’animal)
Afin de m’enquérir de l’état la tendre
Le diagnostic se fait sans attendre
La chute a provoqué chez-toi
Une luxation du doigt…
Je me saisis de ta main et retire lentement le gant
Laissant apparaitre, seulement l’espace d’un instant
De délicates phalanges
Que tu t’empresses de dissimuler, avec hâte, dans le pli de ta robe
Le regard, timidement baissé derrière ta frange
Réaction sans équivoque,
Laissant suggérer une pudeur des plus absolue,
Que n’aurait rien à envier la plus (pure vestale)
Suite à cette chute
Que pour ma part désormais j’impute
D’avantage à une bonne fée
Qu’à un fourbe farfadet
Nous marchâmes tous les trois
Le cheval, toi, et moi
Parcourant la campagne
Ensoleillée de bretagne
Ainsi nous arrivèrent, jusqu’au grand pommier
Ou pend encore la vielle balançoire
On s’assoit tous les deux, lovés (l’un contre l’autre)
Dans ce lieu chargé des histoires
De ton enfance ici passée
Que tu entreprends de me raconter
Alors que nous étions au plus haut point absorbé
Par une discussion enjouée
Le cheval lâcha un formidable étron !
Bêtement, nous rigolons.
Dans cet esclaffe, nos yeux se croisent
Je ne peux détacher les miens de cet éclat turquoise
Et puis soudain nos deux corps se toisent
Nos doigts s’entrecroisent
Lentement nous nous rapprochons
Puis dans un soupir nous nous embrassons
A ce cher souvenir,
Je ressens encore tout mon être tressaillir
Du parfum hypnotisant, combinaison délicate, subtilement partagé
Des effluves de ton corps
Et du relent corsé
D’une douce odeur de merde »
Seducteur99
2023-03-06 20:53:06
Philosophe du troisieme millénaire
Je t'apostrophe si tu m'a mis les nerfs
Mes strophes te transporte
L'épreuve me transforme
Étrange est l'ange, qui songe, à me venger
L'étranger, songé a changer, c'est un danger
Quand j'ai, pencher, ma tête,
Pour étancher ma quete
La Bête
A surgis comme un ennemis
Voulant prendre ma vaine vie
Ainsi va la vie
Bien loin d'être ravi
Mon âme a été ravi au ciel
Et j'ai vu les âmes s'incliner face a l'éternel
Le fiel, ou le miel, laquel, des voies choisira tu ?
La lumière, éclaire, le chemin du perdu
Les ténèbres t'enfonce dans l'errance que veux tu
Panta-rhei
2023-03-06 20:54:10
En fait le forum est chaud en poésie.
Adolfye
2023-03-06 20:54:36
Peux-tu noter objectivement les quelques verres que j'ai écrit ?
Marmotte22
2023-03-06 20:56:20
Le 06 mars 2023 à 20:48:12 :
A mes frères d’infortune
J’adresse ce message
Si le jour m’importune
La nuit est mon rivage
Ma prose, s’impose
Je produits, tu disposes.
La bouteille à la mer
De mes regrets amer
Mes vers sont ils aux oubliettes ?
Fallait-il sortir sa quéquette ?
ZouzouLeFous
2023-03-06 20:56:55
Le 06 mars 2023 à 20:53:06 :
Philosophe du troisieme millénaire
Je t'apostrophe si tu m'a mis les nerfs
Mes strophes te transporte
L'épreuve me transforme
Étrange est l'ange, qui songe, à me venger
L'étranger, songé a changer, c'est un danger
Quand j'ai, pencher, ma tête,
Pour étancher ma quete
La Bête
A surgis comme un ennemis
Voulant prendre ma vaine vie
Ainsi va la vie
Bien loin d'être ravi
Mon âme a été ravi au ciel
Et j'ai vu les âmes s'incliner face a l'éternel
Le fiel, ou le miel, laquel, des voies choisira tu ?
La lumière, éclaire, le chemin du perdu
Les ténèbres t'enfonce dans l'errance que veux tu
très très chouette un rythme très sympas
Panta-rhei
2023-03-06 20:57:03
La chute du poème dédié à Sainte-Biche me rassure un peu sur ce que je sais du personnage.
Le 06 mars 2023 à 20:54:36 :
Peux-tu noter objectivement les quelques verres que j'ai écrit ?
Te noter ? Ça n'aurait aucune valeur rhei. Je ne suis pas poète.