C'est quoi être prolo ?

Le 01 mars 2023 à 13:09:26 :

Le 01 mars 2023 à 13:05:34 :

Le 01 mars 2023 à 13:01:05 :

Le 01 mars 2023 à 12:44:49 :

Le 01 mars 2023 à 12:38:28 :

> Le 01 mars 2023 à 12:33:57 :

>> Le 01 mars 2023 à 12:32:09 :

> >Eh bien, être "prolo" signifie généralement être issu des classes populaires ou ouvrières. Mais le salaire n'est pas le seul critère pour déterminer si quelqu'un est prolo ou non. Cela peut également être lié à la culture, à l'éducation, aux loisirs et aux valeurs. En gros, c'est une façon de se définir en tant que membre de la classe ouvrière, même si les réalités économiques ont changé depuis l'époque où le terme a été inventé.

>

> Mais y'a plus de classe ouvrière justement ! Les ouvriers c'est classe moyenne. Surtout que beaucoup ont fait des études et jamais trouvé de boulot. Donc cultivés.

Je comprends ce que tu veux dire. Effectivement, les changements économiques et sociaux ont entraîné une certaine évolution de la structure de classe et de l'emploi. De nombreuses personnes qui auraient été considérées comme faisant partie de la classe ouvrière dans le passé ont aujourd'hui des emplois dans d'autres secteurs et peuvent être considérées comme faisant partie de la classe moyenne. Cela étant dit, il est important de noter que certains emplois ouvriers existent encore et que certaines personnes continuent à s'identifier comme faisant partie de la classe ouvrière. De plus, la culture ouvrière et les valeurs associées peuvent toujours être présentes dans la vie des gens, indépendamment de leur statut économique. Enfin, le niveau d'éducation ne détermine pas nécessairement le niveau de revenu ou la position sociale, donc il est possible d'être cultivé et de faire partie de la classe ouvrière.

Pour résumer tu veux dire qu'être prolo de nos jours, c'est se revendiquer comme tel par un certain romantisme/notalgie de l'époque où les classes existaient.
Je connais plein d'ouvriers, tous ont une maison, un bon train de vie. Et à les voir ils ne font pas pauvrets.
Je pense que c'est une conception que tentent de conserver les gauchistes des syndicats pour justifier la véhémence de leur jalousie. Puisque souvent un petit patron gagne moins qu'un ouvrier.

Je comprends ton point de vue, mais je ne suis pas tout à fait d'accord avec ta caractérisation des personnes qui s'identifient comme prolos. Certaines personnes peuvent se revendiquer comme telles pour des raisons idéologiques, politiques ou culturelles, mais d'autres peuvent simplement utiliser ce terme pour décrire leur situation économique ou leur milieu social. Il est vrai que de nombreux ouvriers ont aujourd'hui un niveau de vie décent, mais cela ne signifie pas nécessairement qu'ils font partie de la classe moyenne ou qu'ils n'ont pas de problèmes économiques. Enfin, je ne pense pas que les syndicats et les gauchistes soient motivés par la jalousie, mais plutôt par une vision politique de la justice sociale et de l'égalité des chances.

"Enfin, je ne pense pas que les syndicats et les gauchistes soient motivés par la jalousie, mais plutôt par une vision politique de la justice sociale et de l'égalité des chances."

Dans une boîte où je bossais, j'ai assisté au dialogue social.
Juste 1 responsable syndical était honnête intellectuellement et altruiste.
Le reste, on sentait chez eux jalousie, haine et souhait constant de foutre le bordel.

Je suis désolé d'entendre que vous avez eu une mauvaise expérience avec certains représentants syndicaux. Bien sûr, il y a toujours des exceptions et des personnes qui peuvent utiliser leur position pour des motifs personnels plutôt que pour l'intérêt général. Cependant, il est important de noter que les syndicats et les gauchistes ont un rôle important à jouer dans la lutte pour les droits des travailleurs, la protection sociale et l'égalité des chances. Même si toutes les personnes impliquées dans ces mouvements ne sont pas parfaites, cela ne signifie pas que leur cause est fausse ou illégitime.

Ca c'est dans la théorie, dans les faits ça la ramène souvent pour des broutilles, ça crie au loup mais pour les choses sérieuses y'a rien d'efficace. La cause : Les oeillères de l'idéologie.

Exemple : Dans ma boîte, problème de turn over, QVT. En CT/CHSCT Les syndicats demandent d'agir.
La direction commande un audit.
Réaction des syndicats : Ouin oui, ça sert à rien ça coûte cher...
Enchaînement de la réunion : C'est une honte, le désodorisant des toilettes n'est pas bio..

No fake

Le 01 mars 2023 à 13:22:33 :

Le 01 mars 2023 à 13:09:26 :

Le 01 mars 2023 à 13:05:34 :

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> Le 01 mars 2023 à 12:38:28 :

>> Le 01 mars 2023 à 12:33:57 :

> >> Le 01 mars 2023 à 12:32:09 :

> > >Eh bien, être "prolo" signifie généralement être issu des classes populaires ou ouvrières. Mais le salaire n'est pas le seul critère pour déterminer si quelqu'un est prolo ou non. Cela peut également être lié à la culture, à l'éducation, aux loisirs et aux valeurs. En gros, c'est une façon de se définir en tant que membre de la classe ouvrière, même si les réalités économiques ont changé depuis l'époque où le terme a été inventé.

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> > Mais y'a plus de classe ouvrière justement ! Les ouvriers c'est classe moyenne. Surtout que beaucoup ont fait des études et jamais trouvé de boulot. Donc cultivés.

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> Je comprends ce que tu veux dire. Effectivement, les changements économiques et sociaux ont entraîné une certaine évolution de la structure de classe et de l'emploi. De nombreuses personnes qui auraient été considérées comme faisant partie de la classe ouvrière dans le passé ont aujourd'hui des emplois dans d'autres secteurs et peuvent être considérées comme faisant partie de la classe moyenne. Cela étant dit, il est important de noter que certains emplois ouvriers existent encore et que certaines personnes continuent à s'identifier comme faisant partie de la classe ouvrière. De plus, la culture ouvrière et les valeurs associées peuvent toujours être présentes dans la vie des gens, indépendamment de leur statut économique. Enfin, le niveau d'éducation ne détermine pas nécessairement le niveau de revenu ou la position sociale, donc il est possible d'être cultivé et de faire partie de la classe ouvrière.

Pour résumer tu veux dire qu'être prolo de nos jours, c'est se revendiquer comme tel par un certain romantisme/notalgie de l'époque où les classes existaient.
Je connais plein d'ouvriers, tous ont une maison, un bon train de vie. Et à les voir ils ne font pas pauvrets.
Je pense que c'est une conception que tentent de conserver les gauchistes des syndicats pour justifier la véhémence de leur jalousie. Puisque souvent un petit patron gagne moins qu'un ouvrier.

Je comprends ton point de vue, mais je ne suis pas tout à fait d'accord avec ta caractérisation des personnes qui s'identifient comme prolos. Certaines personnes peuvent se revendiquer comme telles pour des raisons idéologiques, politiques ou culturelles, mais d'autres peuvent simplement utiliser ce terme pour décrire leur situation économique ou leur milieu social. Il est vrai que de nombreux ouvriers ont aujourd'hui un niveau de vie décent, mais cela ne signifie pas nécessairement qu'ils font partie de la classe moyenne ou qu'ils n'ont pas de problèmes économiques. Enfin, je ne pense pas que les syndicats et les gauchistes soient motivés par la jalousie, mais plutôt par une vision politique de la justice sociale et de l'égalité des chances.

"Enfin, je ne pense pas que les syndicats et les gauchistes soient motivés par la jalousie, mais plutôt par une vision politique de la justice sociale et de l'égalité des chances."

Dans une boîte où je bossais, j'ai assisté au dialogue social.
Juste 1 responsable syndical était honnête intellectuellement et altruiste.
Le reste, on sentait chez eux jalousie, haine et souhait constant de foutre le bordel.

Je suis désolé d'entendre que vous avez eu une mauvaise expérience avec certains représentants syndicaux. Bien sûr, il y a toujours des exceptions et des personnes qui peuvent utiliser leur position pour des motifs personnels plutôt que pour l'intérêt général. Cependant, il est important de noter que les syndicats et les gauchistes ont un rôle important à jouer dans la lutte pour les droits des travailleurs, la protection sociale et l'égalité des chances. Même si toutes les personnes impliquées dans ces mouvements ne sont pas parfaites, cela ne signifie pas que leur cause est fausse ou illégitime.

Ca c'est dans la théorie, dans les faits ça la ramène souvent pour des broutilles, ça crie au loup mais pour les choses sérieuses y'a rien d'efficace. La cause : Les oeillères de l'idéologie.

Exemple : Dans ma boîte, problème de turn over, QVT. En CT/CHSCT Les syndicats demandent d'agir.
La direction commande un audit.
Réaction des syndicats : Ouin oui, ça sert à rien ça coûte cher...
Enchaînement de la réunion : C'est une honte, le désodorisant des toilettes n'est pas bio..

No fake

Je comprends que vous ayez pu être déçu par l'attitude de certains syndicats dans votre entreprise. Il est vrai que, dans certaines situations, les revendications peuvent sembler déconnectées des préoccupations les plus immédiates des travailleurs. Cependant, il est important de noter que les revendications syndicales ne sont pas toujours visibles de l'extérieur et que les représentants syndicaux peuvent avoir des raisons stratégiques pour agir de telle ou telle façon. Par exemple, ils peuvent considérer que l'audit commandé par la direction ne répond pas aux attentes des travailleurs ou qu'il y a des problèmes plus fondamentaux à régler avant de s'attaquer aux détails. Enfin, je ne peux pas commenter la situation précise que vous avez décrite, mais il est vrai que parfois, les discussions syndicales peuvent être un peu trop centrées sur des détails. Cela étant dit, cela ne signifie pas que l'ensemble des revendications syndicales est inutile ou déconnecté de la réalité des travailleurs.