[SUITE] Dostoïevski est à blâmer

Je ne pense pas que Dostoievski nous partage dans ses histoires la nécessité de souffrir. Au contraire, dans Les frères Karamazov, et plus particulièrement dans la parabole du staretz Zossima qui narre les derniers jours de son frère lorsqu’il était enfant. La thèse de ces chapitres est que le paradis se trouve déjà sur terre, il n’appartient qu’à nous d’aimer nos prochains, de baiser la terre et d’accepter l’amour du Christ. La souffrance n’est nécessaire que pour les personnes qui se sont perdues ici-bas, qui ont méprisé la vie et ont commis des pèches tel Raskolnikov dans Crime et châtiment qui doit naturellement assumer le poids de son crime. Son esprit était malade mais en fin de compte, en prison, avec l’aide de Sonia, il finit par renouer avec l’amour ; c’était nécessaire pour lui.

Le 05 novembre 2022 à 01:02:14 :
Je ne pense pas que Dostoievski nous partage dans ses histoires la nécessité de souffrir. Au contraire, dans Les frères Karamazov, et plus particulièrement dans la parabole du staretz Zossima qui narre les derniers jours de son frère lorsqu’il était enfant. La thèse de ces chapitres est que le paradis se trouve déjà sur terre, il n’appartient qu’à nous d’aimer nos prochains, de baiser la terre et d’accepter l’amour du Christ. La souffrance n’est nécessaire que pour les personnes qui se sont perdues ici-bas, qui ont méprisé la vie et ont commis des pèches tel Raskolnikov dans Crime et châtiment qui doit naturellement assumer le poids de son crime. Son esprit était malade mais en fin de compte, en prison, avec l’aide de Sonia, il finit par renouer avec l’amour ; c’était nécessaire pour lui.

Le prince Mychkine perd sa raison pour les pêché de la haute société russe, son sacrifice est vain. Il est quand même montré comme un modèle à suivre. Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe.

Le 05 novembre 2022 à 01:07:37 :

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Je ne pense pas que Dostoievski nous partage dans ses histoires la nécessité de souffrir. Au contraire, dans Les frères Karamazov, et plus particulièrement dans la parabole du staretz Zossima qui narre les derniers jours de son frère lorsqu’il était enfant. La thèse de ces chapitres est que le paradis se trouve déjà sur terre, il n’appartient qu’à nous d’aimer nos prochains, de baiser la terre et d’accepter l’amour du Christ. La souffrance n’est nécessaire que pour les personnes qui se sont perdues ici-bas, qui ont méprisé la vie et ont commis des pèches tel Raskolnikov dans Crime et châtiment qui doit naturellement assumer le poids de son crime. Son esprit était malade mais en fin de compte, en prison, avec l’aide de Sonia, il finit par renouer avec l’amour ; c’était nécessaire pour lui.

Le prince Mychkine perd sa raison pour les pêché de la haute société russe, son sacrifice est vain. Il est quand même montré comme un modèle à suivre. Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe.

Je n’ai pas entièrement lu L’idiot, mais sache que Les frères Karamazov est en quelque sorte une consécration. On y saisit la pensée de Dostoievski plus distinctement. Lis-le, il est excellent (1300 pages).

Je compte débuter la lecture de cet auteur, un ouvrage à me conseiller parmi ses œuvres ?

Le 05 novembre 2022 à 01:11:01 :

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Je ne pense pas que Dostoievski nous partage dans ses histoires la nécessité de souffrir. Au contraire, dans Les frères Karamazov, et plus particulièrement dans la parabole du staretz Zossima qui narre les derniers jours de son frère lorsqu’il était enfant. La thèse de ces chapitres est que le paradis se trouve déjà sur terre, il n’appartient qu’à nous d’aimer nos prochains, de baiser la terre et d’accepter l’amour du Christ. La souffrance n’est nécessaire que pour les personnes qui se sont perdues ici-bas, qui ont méprisé la vie et ont commis des pèches tel Raskolnikov dans Crime et châtiment qui doit naturellement assumer le poids de son crime. Son esprit était malade mais en fin de compte, en prison, avec l’aide de Sonia, il finit par renouer avec l’amour ; c’était nécessaire pour lui.

Le prince Mychkine perd sa raison pour les pêché de la haute société russe, son sacrifice est vain. Il est quand même montré comme un modèle à suivre. Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe.

Je n’ai pas entièrement lu L’idiot, mais sache que Les frères Karamazov est en quelque sorte une consécration. On y saisit la pensée de Dostoievski plus distinctement. Lis-le, il est excellent (1300 pages).

Non je ne vais pas faire ça, non merci.

Le 05 novembre 2022 à 01:12:51 :

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Je ne pense pas que Dostoievski nous partage dans ses histoires la nécessité de souffrir. Au contraire, dans Les frères Karamazov, et plus particulièrement dans la parabole du staretz Zossima qui narre les derniers jours de son frère lorsqu’il était enfant. La thèse de ces chapitres est que le paradis se trouve déjà sur terre, il n’appartient qu’à nous d’aimer nos prochains, de baiser la terre et d’accepter l’amour du Christ. La souffrance n’est nécessaire que pour les personnes qui se sont perdues ici-bas, qui ont méprisé la vie et ont commis des pèches tel Raskolnikov dans Crime et châtiment qui doit naturellement assumer le poids de son crime. Son esprit était malade mais en fin de compte, en prison, avec l’aide de Sonia, il finit par renouer avec l’amour ; c’était nécessaire pour lui.

Le prince Mychkine perd sa raison pour les pêché de la haute société russe, son sacrifice est vain. Il est quand même montré comme un modèle à suivre. Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe.

Je n’ai pas entièrement lu L’idiot, mais sache que Les frères Karamazov est en quelque sorte une consécration. On y saisit la pensée de Dostoievski plus distinctement. Lis-le, il est excellent (1300 pages).

Non je ne vais pas faire ça, non merci.

Quelle erreur ! Tu n’as rien à perdre khey.

Le 05 novembre 2022 à 01:13:44 :

Le 05 novembre 2022 à 01:12:51 :

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Je ne pense pas que Dostoievski nous partage dans ses histoires la nécessité de souffrir. Au contraire, dans Les frères Karamazov, et plus particulièrement dans la parabole du staretz Zossima qui narre les derniers jours de son frère lorsqu’il était enfant. La thèse de ces chapitres est que le paradis se trouve déjà sur terre, il n’appartient qu’à nous d’aimer nos prochains, de baiser la terre et d’accepter l’amour du Christ. La souffrance n’est nécessaire que pour les personnes qui se sont perdues ici-bas, qui ont méprisé la vie et ont commis des pèches tel Raskolnikov dans Crime et châtiment qui doit naturellement assumer le poids de son crime. Son esprit était malade mais en fin de compte, en prison, avec l’aide de Sonia, il finit par renouer avec l’amour ; c’était nécessaire pour lui.

Le prince Mychkine perd sa raison pour les pêché de la haute société russe, son sacrifice est vain. Il est quand même montré comme un modèle à suivre. Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe.

Je n’ai pas entièrement lu L’idiot, mais sache que Les frères Karamazov est en quelque sorte une consécration. On y saisit la pensée de Dostoievski plus distinctement. Lis-le, il est excellent (1300 pages).

Non je ne vais pas faire ça, non merci.

Quelle erreur ! Tu n’as rien à perdre khey.

J'ai encore ce qui me reste de raison. J'ai peur de la perdre en le lisant. Je suis dans une situation délicate.

Le 05 novembre 2022 à 01:16:00 :

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Je ne pense pas que Dostoievski nous partage dans ses histoires la nécessité de souffrir. Au contraire, dans Les frères Karamazov, et plus particulièrement dans la parabole du staretz Zossima qui narre les derniers jours de son frère lorsqu’il était enfant. La thèse de ces chapitres est que le paradis se trouve déjà sur terre, il n’appartient qu’à nous d’aimer nos prochains, de baiser la terre et d’accepter l’amour du Christ. La souffrance n’est nécessaire que pour les personnes qui se sont perdues ici-bas, qui ont méprisé la vie et ont commis des pèches tel Raskolnikov dans Crime et châtiment qui doit naturellement assumer le poids de son crime. Son esprit était malade mais en fin de compte, en prison, avec l’aide de Sonia, il finit par renouer avec l’amour ; c’était nécessaire pour lui.

Le prince Mychkine perd sa raison pour les pêché de la haute société russe, son sacrifice est vain. Il est quand même montré comme un modèle à suivre. Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe.

Je n’ai pas entièrement lu L’idiot, mais sache que Les frères Karamazov est en quelque sorte une consécration. On y saisit la pensée de Dostoievski plus distinctement. Lis-le, il est excellent (1300 pages).

Non je ne vais pas faire ça, non merci.

Quelle erreur ! Tu n’as rien à perdre khey.

J'ai encore ce qui me reste de raison. J'ai peur de la perdre en le lisant. Je suis dans une situation délicate.

T’es encore plus dans l’abus que ses personnages.

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Je ne pense pas que Dostoievski nous partage dans ses histoires la nécessité de souffrir. Au contraire, dans Les frères Karamazov, et plus particulièrement dans la parabole du staretz Zossima qui narre les derniers jours de son frère lorsqu’il était enfant. La thèse de ces chapitres est que le paradis se trouve déjà sur terre, il n’appartient qu’à nous d’aimer nos prochains, de baiser la terre et d’accepter l’amour du Christ. La souffrance n’est nécessaire que pour les personnes qui se sont perdues ici-bas, qui ont méprisé la vie et ont commis des pèches tel Raskolnikov dans Crime et châtiment qui doit naturellement assumer le poids de son crime. Son esprit était malade mais en fin de compte, en prison, avec l’aide de Sonia, il finit par renouer avec l’amour ; c’était nécessaire pour lui.

Le prince Mychkine perd sa raison pour les pêché de la haute société russe, son sacrifice est vain. Il est quand même montré comme un modèle à suivre. Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe.

Je n’ai pas entièrement lu L’idiot, mais sache que Les frères Karamazov est en quelque sorte une consécration. On y saisit la pensée de Dostoievski plus distinctement. Lis-le, il est excellent (1300 pages).

Non je ne vais pas faire ça, non merci.

Quelle erreur ! Tu n’as rien à perdre khey.

J'ai encore ce qui me reste de raison. J'ai peur de la perdre en le lisant. Je suis dans une situation délicate.

T’es encore plus dans l’abus que ses personnages.

C'est pas sympa. Je ne sais pas si Dostoïevski a raison, je sais que j'ai une sympathie émotionnelle pour ses personnages et ses situation. Je ne sais pas si je dois aimer comme il dit d'aimer.

ca peut s'expliquer par l'adaptation à des conditions de vies extrêmes + ils ont toujours vécu en Dictature

Mais bon si ca fuit le pays en masse et que la Russie se dépeuple c'est pas pour rien, et ca montre qu'ils en ont ras-le-cul de tout ça

" Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe. "

C'est l'une des plus belles phrases que j'ai jamais lu

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Je ne pense pas que Dostoievski nous partage dans ses histoires la nécessité de souffrir. Au contraire, dans Les frères Karamazov, et plus particulièrement dans la parabole du staretz Zossima qui narre les derniers jours de son frère lorsqu’il était enfant. La thèse de ces chapitres est que le paradis se trouve déjà sur terre, il n’appartient qu’à nous d’aimer nos prochains, de baiser la terre et d’accepter l’amour du Christ. La souffrance n’est nécessaire que pour les personnes qui se sont perdues ici-bas, qui ont méprisé la vie et ont commis des pèches tel Raskolnikov dans Crime et châtiment qui doit naturellement assumer le poids de son crime. Son esprit était malade mais en fin de compte, en prison, avec l’aide de Sonia, il finit par renouer avec l’amour ; c’était nécessaire pour lui.

Le prince Mychkine perd sa raison pour les pêché de la haute société russe, son sacrifice est vain. Il est quand même montré comme un modèle à suivre. Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe.

Je n’ai pas entièrement lu L’idiot, mais sache que Les frères Karamazov est en quelque sorte une consécration. On y saisit la pensée de Dostoievski plus distinctement. Lis-le, il est excellent (1300 pages).

Non je ne vais pas faire ça, non merci.

Quelle erreur ! Tu n’as rien à perdre khey.

J'ai encore ce qui me reste de raison. J'ai peur de la perdre en le lisant. Je suis dans une situation délicate.

T’es encore plus dans l’abus que ses personnages.

C'est pas sympa. Je ne sais pas si Dostoïevski a raison, je sais que j'ai une sympathie émotionnelle pour ses personnages et ses situation. Je ne sais pas si je dois aimer comme il dit d'aimer.

T’as juste peur de penser autrement et de réfléchir, sors de ta zone de confort khey. C’est simplement de la littérature.

Le 05 novembre 2022 à 01:22:14 :
" Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe. "

C'est l'une des plus belles phrases que j'ai jamais lu

Fais attention. Tu peux le lire, mais tu risques d'être malheureux,. Tu risques de voir en ces livres une nouvelle chrétienté. Et si tu as des tendances grandioses, tu trouveras une fille malheureuse, et tu y verras une occasion de souffrir. Mais peut-être que c'est la seule chose à faire.

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Je ne pense pas que Dostoievski nous partage dans ses histoires la nécessité de souffrir. Au contraire, dans Les frères Karamazov, et plus particulièrement dans la parabole du staretz Zossima qui narre les derniers jours de son frère lorsqu’il était enfant. La thèse de ces chapitres est que le paradis se trouve déjà sur terre, il n’appartient qu’à nous d’aimer nos prochains, de baiser la terre et d’accepter l’amour du Christ. La souffrance n’est nécessaire que pour les personnes qui se sont perdues ici-bas, qui ont méprisé la vie et ont commis des pèches tel Raskolnikov dans Crime et châtiment qui doit naturellement assumer le poids de son crime. Son esprit était malade mais en fin de compte, en prison, avec l’aide de Sonia, il finit par renouer avec l’amour ; c’était nécessaire pour lui.

Le prince Mychkine perd sa raison pour les pêché de la haute société russe, son sacrifice est vain. Il est quand même montré comme un modèle à suivre. Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe.

Je n’ai pas entièrement lu L’idiot, mais sache que Les frères Karamazov est en quelque sorte une consécration. On y saisit la pensée de Dostoievski plus distinctement. Lis-le, il est excellent (1300 pages).

Non je ne vais pas faire ça, non merci.

Quelle erreur ! Tu n’as rien à perdre khey.

J'ai encore ce qui me reste de raison. J'ai peur de la perdre en le lisant. Je suis dans une situation délicate.

T’es encore plus dans l’abus que ses personnages.

C'est pas sympa. Je ne sais pas si Dostoïevski a raison, je sais que j'ai une sympathie émotionnelle pour ses personnages et ses situation. Je ne sais pas si je dois aimer comme il dit d'aimer.

T’as juste peur de penser autrement et de réfléchir, sors de ta zone de confort khey. C’est simplement de la littérature.

Je ne crois pas non. Le problème c'est que je pense comme lui.

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" Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe. "

C'est l'une des plus belles phrases que j'ai jamais lu

Fais attention. Tu peux le lire, mais tu risques d'être malheureux,. Tu risques de voir en ces livres une nouvelle chrétienté. Et si tu as des tendances grandioses, tu trouveras une fille malheureuse, et tu y verras une occasion de souffrir. Mais peut-être que c'est la seule chose à faire.

Lire Dostoievski et finir avec une prostitué plus chaste que la majorité des humains, lire la Bible avec elle et pleurer. Être un gueux mais parler comme un savant. Pleurer et baiser la terre.

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" Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe. "

C'est l'une des plus belles phrases que j'ai jamais lu

Fais attention. Tu peux le lire, mais tu risques d'être malheureux,. Tu risques de voir en ces livres une nouvelle chrétienté. Et si tu as des tendances grandioses, tu trouveras une fille malheureuse, et tu y verras une occasion de souffrir. Mais peut-être que c'est la seule chose à faire.

Lire Dostoievski avec une kheyette et se suicider ensemble en se jetant d'une falaisehttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/37/7/1568576837-jane2.jpg

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" Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe. "

C'est l'une des plus belles phrases que j'ai jamais lu

Fais attention. Tu peux le lire, mais tu risques d'être malheureux,. Tu risques de voir en ces livres une nouvelle chrétienté. Et si tu as des tendances grandioses, tu trouveras une fille malheureuse, et tu y verras une occasion de souffrir. Mais peut-être que c'est la seule chose à faire.

Lire Dostoievski avec une kheyette et se suicider ensemble en se jetant d'une falaisehttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/37/7/1568576837-jane2.jpg

Finir en enfer et n’avoir rien compris à l’auteur.

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" Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe. "

C'est l'une des plus belles phrases que j'ai jamais lu

Fais attention. Tu peux le lire, mais tu risques d'être malheureux,. Tu risques de voir en ces livres une nouvelle chrétienté. Et si tu as des tendances grandioses, tu trouveras une fille malheureuse, et tu y verras une occasion de souffrir. Mais peut-être que c'est la seule chose à faire.

Lire Dostoievski avec une kheyette et se suicider ensemble en se jetant d'une falaisehttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/37/7/1568576837-jane2.jpg

C'est pas ce genre de souffrance

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" Dostoïevski dit : "Aime comme Jésus". Et peu importe si Dieu existe. "

C'est l'une des plus belles phrases que j'ai jamais lu

Fais attention. Tu peux le lire, mais tu risques d'être malheureux,. Tu risques de voir en ces livres une nouvelle chrétienté. Et si tu as des tendances grandioses, tu trouveras une fille malheureuse, et tu y verras une occasion de souffrir. Mais peut-être que c'est la seule chose à faire.

Lire Dostoievski avec une kheyette et se suicider ensemble en se jetant d'une falaisehttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/37/7/1568576837-jane2.jpg

C'est pas ce genre de souffrance

C'est la dépression assuré votre Dostoievski : il faut souffrir mais c'est notre lot à toushttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/37/7/1568576837-jane2.jpg

Non merci je passe mon tourhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/37/7/1568576837-jane2.jpg

Dans ce cas Pouchkine était à blâmer avant lui