Le 28 septembre 2022 à 01:47:53 : Putain les fragiles avec vos histoires de dopamines, sinon ça vous dirait pas de juste bouger votre gras un peu "gneugneu le sucre est la pire des drogues" génération de merde en effet
tu as raison clé, perso à part jvc et quelques restes de porn/branlette j'ai quasi plus d'addictions
Après je dis pas les écrans ça doit surement fatigué Mais les phrases "ça a niké ma dopamine" faut arrêter les conneries
Le 28 septembre 2022 à 01:50:42 : Le pire c'est les écrans je pense, Smartphones et PC Portables
L'humanité complètement zinzolinax et drogué à ces merdes
Perso c'est une des raisons qui me pousse à go métier manuel ou technicien alors que je voulais faire ingé à la base : je ne supporte plus les écrans ça me rend zinzolaxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Le 28 septembre 2022 à 01:50:42 : Le pire c'est les écrans je pense, Smartphones et PC Portables
L'humanité complètement zinzolinax et drogué à ces merdes
Perso c'est une des raisons qui me pousse à go métier manuel ou technicien alors que je voulais faire ingé à la base : je ne supporte plus les écrans ça me rend zinzolaxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
(dit-il sur jvc ahi)
Même métier manuel c'est plus fort que toi tu checkes ton smartphone pendant les pauses, tu rentres chez toi : soirée sur PC
Le problème corrolaire à celui que tu décris c'est aussi les faibles perspectives. Quasiment tout semble hors de portée, de plus en plus.
Tout ce qui réclame un effort quotidien nécessite une carotte au bout, l'humain est codé ainsi. Sauf que là, nous arrivons à un niveau de léthargie : faibles opportunités, emplois chiants à mourir (donc pause téléphone), vie de famille quasi impossible sans bac +5 en psychologie féminine, impossibilité de construire un capital, récession, etc. Ce qui nous différencie des boomers, c'est aussi ça.
Ces inventions (smartphone, internet) n'auraient probablement pas eu autant de succès sur eux, pour qui tout était facile. Les seuls boomers qui s'y intéressent sont d'ailleurs les plus marginaux, névrosés ou les plus solitaires. Le boomer moyen "ça ne m'intéresse pas", il te dira. Ils n'ont pas besoin de ce shoot.
Nos addictions aux divertissements fast-food révèle également un mal-être devant être comblé. Une peur du vide, une peur du réel. Et ce besoin constant de dopamine est aussi dû au manque des autres hormones de plaisir : - L'occitocine, hormone de l'amour - Adrénaline, hormone du risque - Serrotonine, hormone de récompense de l'effort Les trois hormones ci-dessus sont souvent absentes de nos vies, on comble donc comme on peut avec cet ersätz de plaisir.
Le 28 septembre 2022 à 01:53:55 : Le problème corrolaire à celui que tu décris c'est aussi les faibles perspectives. Quasiment tout semble hors de portée, de plus en plus.
Tout ce qui réclame un effort quotidien nécessite une carotte au bout, l'humain est codé ainsi. Sauf que là, nous arrivons à un niveau de léthargie : faibles opportunités, emplois chiants à mourir (donc pause téléphone), vie de famille quasi impossible sans bac +5 en psychologie féminine, impossibilité de construire un capital, récession, etc. Ce qui nous différencie des boomers, c'est aussi ça.
Ces inventions (smartphone, internet) n'auraient probablement pas eu autant de succès sur eux, pour qui tout était facile. Les seuls boomers qui s'y intéressent sont d'ailleurs les plus marginaux, névrosés ou les plus solitaires. Le boomer moyen "ça ne m'intéresse pas", il te dira. Ils n'ont pas besoin de ce shoot.
Nos addictions aux divertissements fast-food révèle également un mal-être devant être comblé. Une peur du vide, une peur du réel. Et ce besoin constant de dopamine est aussi dû au manque des autres hormones de plaisir : - L'occitocine, hormone de l'amour - Adrénaline, hormone du risque - Serrotonine, hormone de récompense de l'effort Les trois hormones ci-dessus sont souvent absentes de nos vies, on comble donc comme on peut avec cet ersätz de plaisir.
Très bonne analyse khey. J'ai bien apprécié lire cette petite redpill.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/39/3/1664322960-1654502083-repilbelix.png
Le 28 septembre 2022 à 01:53:55 : Le problème corrolaire à celui que tu décris c'est aussi les faibles perspectives. Quasiment tout semble hors de portée, de plus en plus.
Tout ce qui réclame un effort quotidien nécessite une carotte au bout, l'humain est codé ainsi. Sauf que là, nous arrivons à un niveau de léthargie : faibles opportunités, emplois chiants à mourir (donc pause téléphone), vie de famille quasi impossible sans bac +5 en psychologie féminine, impossibilité de construire un capital, récession, etc. Ce qui nous différencie des boomers, c'est aussi ça.
Ces inventions (smartphone, internet) n'auraient probablement pas eu autant de succès sur eux, pour qui tout était facile. Les seuls boomers qui s'y intéressent sont d'ailleurs les plus marginaux, névrosés ou les plus solitaires. Le boomer moyen "ça ne m'intéresse pas", il te dira. Ils n'ont pas besoin de ce shoot.
Nos addictions aux divertissements fast-food révèle également un mal-être devant être comblé. Une peur du vide, une peur du réel. Et ce besoin constant de dopamine est aussi dû au manque des autres hormones de plaisir : - L'occitocine, hormone de l'amour - Adrénaline, hormone du risque - Serrotonine, hormone de récompense de l'effort Les trois hormones ci-dessus sont souvent absentes de nos vies, on comble donc comme on peut avec cet ersätz de plaisir.
très juste et très bien dit cléhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
notre génération est finito dans tous les cas, notre léthargie n'est qu'un aspect de notre déchéance parmi tant d'autreshttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Le 28 septembre 2022 à 01:47:53 : Putain les fragiles avec vos histoires de dopamines, sinon ça vous dirait pas de juste bouger votre gras un peu "gneugneu le sucre est la pire des drogues" génération de merde en effet
tu as raison clé, perso à part jvc et quelques restes de porn/branlette j'ai quasi plus d'addictions
Après je dis pas les écrans ça doit surement fatigué Mais les phrases "ça a niké ma dopamine" faut arrêter les conneries
Le porno c'est maintenant prouvé que c'est horrible pour le psychiquehttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/38/4/1663868798-post-le-stickers-ou-vasectomie.png
90 jours de reboot hard mode et c'est repartihttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/39/2/1664294177-jesusourisitas.png
Le 28 septembre 2022 à 01:53:55 : Le problème corrolaire à celui que tu décris c'est aussi les faibles perspectives. Quasiment tout semble hors de portée, de plus en plus.
Tout ce qui réclame un effort quotidien nécessite une carotte au bout, l'humain est codé ainsi. Sauf que là, nous arrivons à un niveau de léthargie : faibles opportunités, emplois chiants à mourir (donc pause téléphone), vie de famille quasi impossible sans bac +5 en psychologie féminine, impossibilité de construire un capital, récession, etc. Ce qui nous différencie des boomers, c'est aussi ça.
Ces inventions (smartphone, internet) n'auraient probablement pas eu autant de succès sur eux, pour qui tout était facile. Les seuls boomers qui s'y intéressent sont d'ailleurs les plus marginaux, névrosés ou les plus solitaires. Le boomer moyen "ça ne m'intéresse pas", il te dira. Ils n'ont pas besoin de ce shoot.
Nos addictions aux divertissements fast-food révèle également un mal-être devant être comblé. Une peur du vide, une peur du réel. Et ce besoin constant de dopamine est aussi dû au manque des autres hormones de plaisir : - L'occitocine, hormone de l'amour - Adrénaline, hormone du risque - Serrotonine, hormone de récompense de l'effort Les trois hormones ci-dessus sont souvent absentes de nos vies, on comble donc comme on peut avec cet ersätz de plaisir.
très juste et très bien dit cléhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
notre génération est finito dans tous les cas, notre léthargie n'est qu'un aspect de notre déchéance parmi tant d'autreshttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Le pire avec cette boucle addictive, c'est qu'elle empêche l'accès aux autres hormones également, par le temps qu'elle nous fait perdre et elle nous emmène dans une léthargie progressive, de laquelle de belles perspectives pourraient nous aider à sortir. Mais malheureusement, quasiment toutes les opportunités ont disparu, même la classe moyenne a disparu. Avoir un but est quasiment un exercice mental fantaisiste, et c'est dur à accepter. Alors on sort son téléphone, et on boucle, encore et encore.
Le 28 septembre 2022 à 01:56:02 :
Le 28 septembre 2022 à 01:53:55 : Le problème corrolaire à celui que tu décris c'est aussi les faibles perspectives. Quasiment tout semble hors de portée, de plus en plus.
Tout ce qui réclame un effort quotidien nécessite une carotte au bout, l'humain est codé ainsi. Sauf que là, nous arrivons à un niveau de léthargie : faibles opportunités, emplois chiants à mourir (donc pause téléphone), vie de famille quasi impossible sans bac +5 en psychologie féminine, impossibilité de construire un capital, récession, etc. Ce qui nous différencie des boomers, c'est aussi ça.
Ces inventions (smartphone, internet) n'auraient probablement pas eu autant de succès sur eux, pour qui tout était facile. Les seuls boomers qui s'y intéressent sont d'ailleurs les plus marginaux, névrosés ou les plus solitaires. Le boomer moyen "ça ne m'intéresse pas", il te dira. Ils n'ont pas besoin de ce shoot.
Nos addictions aux divertissements fast-food révèle également un mal-être devant être comblé. Une peur du vide, une peur du réel. Et ce besoin constant de dopamine est aussi dû au manque des autres hormones de plaisir : - L'occitocine, hormone de l'amour - Adrénaline, hormone du risque - Serrotonine, hormone de récompense de l'effort Les trois hormones ci-dessus sont souvent absentes de nos vies, on comble donc comme on peut avec cet ersätz de plaisir.
Très bonne analyse khey. J'ai bien apprécié lire cette petite redpill.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/39/3/1664322960-1654502083-repilbelix.png
Le 28 septembre 2022 à 01:59:58 : 1970https://image.noelshack.com/fichiers/2019/24/3/1560320302-les-gens-en-ont-plein-le-cul-des-arbres.png 2022https://image.noelshack.com/fichiers/2017/44/4/1509626992-dbalerte.png
Surtout que des bûcherons, on en aurait bien besoin pour l'hiver Mais rappelle-toi le forcing pour ne SURTOUT PAS faire de métier manuel (et à raison, en France, on a détruit la filière primaire et secondaire). On en arrive là
Le 28 septembre 2022 à 01:59:58 : 1970https://image.noelshack.com/fichiers/2019/24/3/1560320302-les-gens-en-ont-plein-le-cul-des-arbres.png 2022https://image.noelshack.com/fichiers/2017/44/4/1509626992-dbalerte.png
Bordel le garde forestier on dirait un personnage de filmhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Il me fait penser à une sorte de Hagridhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Cet homme respire la simplicité et la joie de vivre, c'est vraiment beau à voirhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Le 28 septembre 2022 à 01:59:58 : 1970https://image.noelshack.com/fichiers/2019/24/3/1560320302-les-gens-en-ont-plein-le-cul-des-arbres.png 2022https://image.noelshack.com/fichiers/2017/44/4/1509626992-dbalerte.png
Bordel le garde forestier on dirait un personnage de filmhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Il me fait penser à une sorte de Hagridhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Cet homme respire la simplicité et la joie de vivre, c'est vraiment beau à voirhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
il en reste encore des comme lui mais plus beaucouphttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/24/3/1560320302-les-gens-en-ont-plein-le-cul-des-arbres.png
Le 28 septembre 2022 à 01:53:55 : Le problème corrolaire à celui que tu décris c'est aussi les faibles perspectives. Quasiment tout semble hors de portée, de plus en plus.
Tout ce qui réclame un effort quotidien nécessite une carotte au bout, l'humain est codé ainsi. Sauf que là, nous arrivons à un niveau de léthargie : faibles opportunités, emplois chiants à mourir (donc pause téléphone), vie de famille quasi impossible sans bac +5 en psychologie féminine, impossibilité de construire un capital, récession, etc. Ce qui nous différencie des boomers, c'est aussi ça.
Ces inventions (smartphone, internet) n'auraient probablement pas eu autant de succès sur eux, pour qui tout était facile. Les seuls boomers qui s'y intéressent sont d'ailleurs les plus marginaux, névrosés ou les plus solitaires. Le boomer moyen "ça ne m'intéresse pas", il te dira. Ils n'ont pas besoin de ce shoot.
Nos addictions aux divertissements fast-food révèle également un mal-être devant être comblé. Une peur du vide, une peur du réel. Et ce besoin constant de dopamine est aussi dû au manque des autres hormones de plaisir : - L'occitocine, hormone de l'amour - Adrénaline, hormone du risque - Serrotonine, hormone de récompense de l'effort Les trois hormones ci-dessus sont souvent absentes de nos vies, on comble donc comme on peut avec cet ersätz de plaisir.
Tout ce qui réclame un effort quotidien nécessite une carotte au bout, l'humain est codé ainsi. Sauf que là, nous arrivons à un niveau de léthargie : faibles opportunités, emplois chiants à mourir (donc pause téléphone), vie de famille quasi impossible sans bac +5 en psychologie féminine, impossibilité de construire un capital, récession, etc. Pour moi, ce "niveau de léthargie" vient justement de l'addiction aux écrans, et aux RS. On trouve les boulots "chiants à mourir" parce qu'on n'a plus l'habitude de l'effort, ni de l'ennui ou de la frustration. Les boulots des boomers, qui étaient principalement à l'usine, n'étaient pas plus intéressants et souvent plus contraignants (moins de travail dans le tertiaire, plus d'agriculteurs et plus d'emplois en usine). On considère que ce sont de "faibles opportunités" parce qu'on voit des influenceurs qui gagnent des millions à ne rien foutre, du coup, la valeur travail s'en trouve amoindrie. Idem pour la vie de famille : quand pour rencontrer quelqu'un il faut passer par des applis, pas étonnant que les relations hommes/femmes soient compliquées (et ne parlons pas de "metoo", qui en a rendues folles certaines, "metoo", encore un monstre créé pour les RS).
La standardisation et l'ultra marchandisation du divertissement qui n'a autre but que divertir*https://image.noelshack.com/fichiers/2021/48/4/1638476474-1552021889-sadness.png
Et je pense qu'en écoutant de la musique dépressive on devient .................. dépressifhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/09/1488715251-smart-black.png