Vous préférez la vérité ou le bonheur ?
suckssstobeyou
2022-08-20 00:36:56
Le 20 août 2022 à 00:35:23 :
vérité, le bonheur est égoistehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/09/2/1614646545-lacoste-airpods-ent.png
La par contre je ne vois pas en quoi ce serait égoïste
Déjà par culpabilité tu serais en dehors du bonheur
[sn44k]
2022-08-20 00:40:59
Le 20 août 2022 à 00:36:56 suckssstobeyou a écrit :
Le 20 août 2022 à 00:35:23 :
vérité, le bonheur est égoistehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/09/2/1614646545-lacoste-airpods-ent.png
La par contre je ne vois pas en quoi ce serait égoïste
Déjà par culpabilité tu serais en dehors du bonheur
Ah j'avais pas lu ton message
Je reste quand même sur la vérité, je pense personnellement que c'est plus important que ressentir les émotions comme tu le décris. Ressentir le bien et le mal c'est l'essentiel, pas besoin de plus.
Ranni_VS_All
2022-08-20 00:43:17
Je pense qu'il est possible d'avoir les deux.
J'ai une préférence pour la vérité rationnelle, mais renier la part d'émotion qui nous est intrinsèque c'est se fourvoyer complètement. Je pense que même pour un individu seul, dissocier complètement ses émotions de sa raison résulterait en quelque chose de négatif. Car se priver de quelque chose qui nous est fondamental et qui nous définit littéralement en tant qu'être et en tant que conscience individuelle avec une personnalité propre nous empêcherait d'atteindre la pleine rationalité. C'est se rajouter un voile supplémentaire.
La réalité est une association des deux, dans un monde parfait c'est l'acceptation émotionnelle de la rationalité pure. Les individus les plus rationnels sont emprunts d'émotions à chaque instant. Et les idées les plus révélatrices sont celles émergentes d'une fonte entre d'une part la vérité et de l'autre le fantasme.
[Arnak]
2022-08-20 00:43:51
La recherche de la vérité rend heureux, donc la vérité.
De plus, tout le monde déteste les imbéciles heureux, et je ne conçois pas de bonheur sans autrui.
suckssstobeyou
2022-08-20 00:44:20
Le 20 août 2022 à 00:40:59 :
Le 20 août 2022 à 00:36:56 suckssstobeyou a écrit :
Le 20 août 2022 à 00:35:23 :
vérité, le bonheur est égoistehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/09/2/1614646545-lacoste-airpods-ent.png
La par contre je ne vois pas en quoi ce serait égoïste
Déjà par culpabilité tu serais en dehors du bonheur
Ah j'avais pas lu ton message
Je reste quand même sur la vérité, je pense personnellement que c'est plus important que ressentir les émotions comme tu le décris. Ressentir le bien et le mal c'est l'essentiel, pas besoin de plus.
Concernant la boussole morale elle peut être ressentie comme elle peut être rationnelle donc aucun souci la dessus
OphielEtBethor
2022-08-20 00:45:06
Le 20 août 2022 à 00:26:25 :
La vérité, j'accepte de souffrir pour la trouver
Voilà la bonne mentalité. La vérité est a la fois effrayante et libératrice.
PseudoDuJour_
2022-08-20 00:47:40
L'op a l'air de bien tenir la boutique
Trop fatigué (ou limité) pour fournir une réponse à la hauteur, mais je up de bon coeur
kjouent
2022-08-20 00:50:11
Le 20 août 2022 à 00:43:51 :
La recherche de la vérité rend heureux, donc la vérité.
De plus, tout le monde déteste les imbéciles heureux, et je ne conçois pas de bonheur sans autrui.
Nonhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/52/2/1577183045-gngngngn.png
suckssstobeyou
2022-08-20 00:51:19
Le 20 août 2022 à 00:43:17 :
Je pense qu'il est possible d'avoir les deux.
J'ai une préférence pour la vérité rationnelle, mais renier la part d'émotion qui nous est intrinsèque c'est se fourvoyer complètement. Je pense que même pour un individu seul, dissocier complètement ses émotions de sa raison résulterait en quelque chose de négatif. Car se priver de quelque chose qui nous est fondamental et qui nous définit littéralement en tant qu'être et en tant que conscience individuelle avec une personnalité propre nous empêcherait d'atteindre la pleine rationalité. C'est se rajouter un voile supplémentaire.
La réalité est une association des deux, dans un monde parfait c'est l'acceptation émotionnelle de la rationalité pure. Les individus les plus rationnels sont emprunts d'émotions à chaque instant. Et les idées les plus révélatrices sont celles émergentes d'une fonte entre d'une part la vérité et de l'autre le fantasme.
Il y a du vrai et la plupart des personnes sont dans un équilibre mais ils ne peuvent jamais réellement saisir l'un ou l'autre entièrement, ici le choix de trancher nettement n'est bien sur pas représentatif de la réalité mais j'étais curieuse de voir les votes
Sur le deuxième paragraphe, je pense effectivement que suivre ses émotions et intuitions n'est pas quelque chose d'irrationnel, loin de la. En revanche ça peut être facilement destructeur.
Cependant en acceptant le monde comme purement rationnel et en s'y plaçant en tant qu'individu émotionnel, il reste bien peu de choses, non ? Une vision classique qui revient souvent sur ce forum par exemple, le nihilisme : objectivement rien ne semble d'importance dans l'absolu car l'importance est relative aux individus. Ce concept de "valeur" est totalement issu de l'homme.
Pour ressentir un certain attachement, une certaine émotion, il faut forcément se voiler un peu de vérité
Quand on accepte cette vision nihiliste en tant que vérité physique qui "supprime" totalement l'individu, comment renouer avec l'émotionnel et l'attachement ? Comment y faire exister et exprimer son "soi" émotionnel ?
Le discours est un peu décousu, j'ai du mal à y mettre des mots car c'est une pensée que je base beaucoup sur l'intuition la
suckssstobeyou
2022-08-20 00:53:28
Le 20 août 2022 à 00:47:40 :
L'op a l'air de bien tenir la boutique
Trop fatigué (ou limité) pour fournir une réponse à la hauteur, mais je up de bon coeur
Trop limité évidemment
Merci du up nonobstantent
Elpueblo512
2022-08-20 00:53:52
Vérité et bonheur sont corrélés
suckssstobeyou
2022-08-20 00:54:42
Le 20 août 2022 à 00:45:06 :
Le 20 août 2022 à 00:26:25 :
La vérité, j'accepte de souffrir pour la trouver
Voilà la bonne mentalité. La vérité est a la fois effrayante et libératrice.
Libératrice des émotions ? Sinon de quoi ?
Souffrir c'est simple, tout le monde peut le faire dans sa quête. L'indifférence, en revanche, c'est autre chose.
[Arnak]
2022-08-20 01:00:00
Le 20 août 2022 à 00:50:11 :
Le 20 août 2022 à 00:43:51 :
La recherche de la vérité rend heureux, donc la vérité.
De plus, tout le monde déteste les imbéciles heureux, et je ne conçois pas de bonheur sans autrui.
Nonhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/52/2/1577183045-gngngngn.png
exemple ?
Ranni_VS_All
2022-08-20 01:01:31
Le 20 août 2022 à 00:51:19 :
Le 20 août 2022 à 00:43:17 :
Je pense qu'il est possible d'avoir les deux.
J'ai une préférence pour la vérité rationnelle, mais renier la part d'émotion qui nous est intrinsèque c'est se fourvoyer complètement. Je pense que même pour un individu seul, dissocier complètement ses émotions de sa raison résulterait en quelque chose de négatif. Car se priver de quelque chose qui nous est fondamental et qui nous définit littéralement en tant qu'être et en tant que conscience individuelle avec une personnalité propre nous empêcherait d'atteindre la pleine rationalité. C'est se rajouter un voile supplémentaire.
La réalité est une association des deux, dans un monde parfait c'est l'acceptation émotionnelle de la rationalité pure. Les individus les plus rationnels sont emprunts d'émotions à chaque instant. Et les idées les plus révélatrices sont celles émergentes d'une fonte entre d'une part la vérité et de l'autre le fantasme.
Il y a du vrai et la plupart des personnes sont dans un équilibre mais ils ne peuvent jamais réellement saisir l'un ou l'autre entièrement, ici le choix de trancher nettement n'est bien sur pas représentatif de la réalité mais j'étais curieuse de voir les votes
Sur le deuxième paragraphe, je pense effectivement que suivre ses émotions et intuitions n'est pas quelque chose d'irrationnel, loin de la. En revanche ça peut être facilement destructeur.
Cependant en acceptant le monde comme purement rationnel et en s'y plaçant en tant qu'individu émotionnel, il reste bien peu de choses, non ? Une vision classique qui revient souvent sur ce forum par exemple, le nihilisme : objectivement rien ne semble d'importance dans l'absolu car l'importance est relative aux individus. Ce concept de "valeur" est totalement issu de l'homme.
Pour ressentir un certain attachement, une certaine émotion, il faut forcément se voiler un peu de vérité
Quand on accepte cette vision nihiliste en tant que vérité physique qui "supprime" totalement l'individu, comment renouer avec l'émotionnel et l'attachement ? Comment y faire exister et exprimer son "soi" émotionnel ?
Le discours est un peu décousu, j'ai du mal à y mettre des mots car c'est une pensée que je base beaucoup sur l'intuition la
C'est une simple étape, un cheminement de pensée non terminé. Le nihilisme c'est se résigner à regarder via un prisme quelque chose qui advient comme une fatalité.
Mais la vérité en elle-même c'est pas uniquement ce qui est, mais aussi ce qui advient. La fatalité n'est rien d'autre que notre propre création. Enfin, c'est ce que je pense.
Enfin bref, tu peux pas limiter l'aspect émotionnel à seulement ça, il faut aller plus loin, et en vérité c'est sans fin.
Se bloquer dans cette boucle c'est vraiment dévastateur pour l'exercice mental parce que vraiment en te resignant a une vérité donnée immuable tu te contraint à ne voir que ça. Tu peux plus comprendre qu'en fait y a rien d'acquis, tous nos concept cognitifs et notre savoir évolue au fil de nos réflexions et cela s'étoffe en échangeant, avec une accélération ces derniers siècles. Dans quelques centaines d'années qui sait ce qu'on aura compris...https://image.noelshack.com/fichiers/2022/33/5/1660936650-1607386908-enxt.png
_2_sur_10_
2022-08-20 01:06:00
Le 20 août 2022 à 00:23:13 :
Bon, avant toute chose le sujet du topic ce n'est pas d'être un "imbécile heureux", loin de la.
La question serait plutôt, "préférez vous une conscience rationnelle élevée ou une conscience émotionnelle élevée ?"
Est ce que vous préféreriez être capable de ressentir facilement les émotions d'autrui, d'art, d'en être affecté en profondeur et vivre dans un monde de beauté relative dans lequel les idées et les gens vous rendent curieux, ou bien vivre dans un rationnel extrêmement terre à terre dans lequel rien n'a réellement d'importance mais où tout ce qui est, est vrai. Un monde de vérité froide et nue.
Préféreriez vous ressentir, ou bien savoir ?
Pour ceux qui préfèrent une métaphore : Un monde précis en noir et blanc, ou un monde flou remplit de couleurs ?
Dans la configuration que tu présentes, la vérité
De deux choses l'une, soit quand on est dans la recherche de la vérité tu nous présente la chose comme si on était un robot/un type sans aucune émotion et dans ce cas ces dernières n'ont aucune importance, on ne ressentira aucune "perte" à ne pas les ressentir, et je pense donc qu'il est préférable de mieux comprendre le monde, ça me semble quelque chose de plus utile.
Ou alors on est un être capable de ressentir des émotions, de savoir ce que c'est, et on nous donne le choix de vivre à fond les choses sans trop savoir pourquoi ça nous fait autant d'effet, ou de perdre toutes ces sensations au profit de la compréhension du monde. Et je trouve personnellement beaucoup plus beau, beaucoup plus satisfaisant de savoir pourquoi on ressent ce que l'on ressent ou que l'on fait ce que l'on fait plutôt que de le faire sans se poser de questions. Et donc tant que cette satisfaction spécifique est conservée, je choisis encore une fois la vérité sans hésiter. Après si même ça on l'a pas, et qu'on juste capable d'expliquer froidement les choses, c'est sûr que ça doit être difficile de renoncer à toute sensation interne, mais je pense quand même que juste avoir la capacité d'apporter la connaissance au monde vaut ce sacrifice
suckssstobeyou
2022-08-20 01:10:04
Le 20 août 2022 à 01:01:31 :
Le 20 août 2022 à 00:51:19 :
Le 20 août 2022 à 00:43:17 :
Je pense qu'il est possible d'avoir les deux.
J'ai une préférence pour la vérité rationnelle, mais renier la part d'émotion qui nous est intrinsèque c'est se fourvoyer complètement. Je pense que même pour un individu seul, dissocier complètement ses émotions de sa raison résulterait en quelque chose de négatif. Car se priver de quelque chose qui nous est fondamental et qui nous définit littéralement en tant qu'être et en tant que conscience individuelle avec une personnalité propre nous empêcherait d'atteindre la pleine rationalité. C'est se rajouter un voile supplémentaire.
La réalité est une association des deux, dans un monde parfait c'est l'acceptation émotionnelle de la rationalité pure. Les individus les plus rationnels sont emprunts d'émotions à chaque instant. Et les idées les plus révélatrices sont celles émergentes d'une fonte entre d'une part la vérité et de l'autre le fantasme.
Il y a du vrai et la plupart des personnes sont dans un équilibre mais ils ne peuvent jamais réellement saisir l'un ou l'autre entièrement, ici le choix de trancher nettement n'est bien sur pas représentatif de la réalité mais j'étais curieuse de voir les votes
Sur le deuxième paragraphe, je pense effectivement que suivre ses émotions et intuitions n'est pas quelque chose d'irrationnel, loin de la. En revanche ça peut être facilement destructeur.
Cependant en acceptant le monde comme purement rationnel et en s'y plaçant en tant qu'individu émotionnel, il reste bien peu de choses, non ? Une vision classique qui revient souvent sur ce forum par exemple, le nihilisme : objectivement rien ne semble d'importance dans l'absolu car l'importance est relative aux individus. Ce concept de "valeur" est totalement issu de l'homme.
Pour ressentir un certain attachement, une certaine émotion, il faut forcément se voiler un peu de vérité
Quand on accepte cette vision nihiliste en tant que vérité physique qui "supprime" totalement l'individu, comment renouer avec l'émotionnel et l'attachement ? Comment y faire exister et exprimer son "soi" émotionnel ?
Le discours est un peu décousu, j'ai du mal à y mettre des mots car c'est une pensée que je base beaucoup sur l'intuition la
C'est une simple étape, un cheminement de pensée non terminé. Le nihilisme c'est se résigner à regarder via un prisme quelque chose qui advient comme une fatalité.
Mais la vérité en elle-même c'est pas uniquement ce qui est, mais aussi ce qui advient. La fatalité n'est rien d'autre que notre propre création. Enfin, c'est ce que je pense.
Enfin bref, tu peux pas limiter l'aspect émotionnel à seulement ça, il faut aller plus loin, et en vérité c'est sans fin.
Se bloquer dans cette boucle c'est vraiment dévastateur pour l'exercice mental parce que vraiment en te resignant a une vérité donnée immuable tu te contraint à ne voir que ça. Tu peux plus comprendre qu'en fait y a rien d'acquis, tous nos concept cognitifs et notre savoir évolue au fil de nos réflexions et cela s'étoffe en échangeant, avec une accélération ces derniers siècles. Dans quelques centaines d'années qui sait ce qu'on aura compris...https://image.noelshack.com/fichiers/2022/33/5/1660936650-1607386908-enxt.png
L'idée c'est de se baser sur le fait qu'il existe une réalité physique et que celle ci est immuable quoiqu'on fasse. Bon. C'est discutable mais jusqu'à preuve du contraire notre planète se fera tôt ou tard gober par le soleil et toutes les étoiles, tous les trous noirs, finiront par disparaitre. On peut discuter de si c'est une fatalité ou non... Mais ce n'est pas vraiment le sujet. C'est juste l'état actuel de nos connaissances. Dans 1000 ans on aura probablement compris plus de choses et on aura une autre forme de fatalité, l'idée en elle même ne change pas
Maintenant, si on part du principe qu'il n'y'a pas de vérité absolue ( ce qui, en soi, est donc considéré comme une vérité absolue donc méfiance tout de même ) alors effectivement il n'y'a plus de dilemme car il n'existe que l'option de vivre émotionnellement dans ce qu'on a. Mais ça ne concilie pas vraiment l'existence de bonheur et de vérité
Mais justement, la question est de comment aller plus loin, comment exister soi même en tant qu'être sensible quand il y a à côté la vérité rationnelle ? La vérité est censée être immuable sinon c'est qu'elle n'est pas ... vraie ? Non ?
Ranni_VS_All
2022-08-20 01:11:00
Le 20 août 2022 à 00:51:19 :
Le 20 août 2022 à 00:43:17 :
Je pense qu'il est possible d'avoir les deux.
J'ai une préférence pour la vérité rationnelle, mais renier la part d'émotion qui nous est intrinsèque c'est se fourvoyer complètement. Je pense que même pour un individu seul, dissocier complètement ses émotions de sa raison résulterait en quelque chose de négatif. Car se priver de quelque chose qui nous est fondamental et qui nous définit littéralement en tant qu'être et en tant que conscience individuelle avec une personnalité propre nous empêcherait d'atteindre la pleine rationalité. C'est se rajouter un voile supplémentaire.
La réalité est une association des deux, dans un monde parfait c'est l'acceptation émotionnelle de la rationalité pure. Les individus les plus rationnels sont emprunts d'émotions à chaque instant. Et les idées les plus révélatrices sont celles émergentes d'une fonte entre d'une part la vérité et de l'autre le fantasme.
Il y a du vrai et la plupart des personnes sont dans un équilibre mais ils ne peuvent jamais réellement saisir l'un ou l'autre entièrement, ici le choix de trancher nettement n'est bien sur pas représentatif de la réalité mais j'étais curieuse de voir les votes
Sur le deuxième paragraphe, je pense effectivement que suivre ses émotions et intuitions n'est pas quelque chose d'irrationnel, loin de la. En revanche ça peut être facilement destructeur.
Cependant en acceptant le monde comme purement rationnel et en s'y plaçant en tant qu'individu émotionnel, il reste bien peu de choses, non ? Une vision classique qui revient souvent sur ce forum par exemple, le nihilisme : objectivement rien ne semble d'importance dans l'absolu car l'importance est relative aux individus. Ce concept de "valeur" est totalement issu de l'homme.
Pour ressentir un certain attachement, une certaine émotion, il faut forcément se voiler un peu de vérité
Quand on accepte cette vision nihiliste en tant que vérité physique qui "supprime" totalement l'individu, comment renouer avec l'émotionnel et l'attachement ? Comment y faire exister et exprimer son "soi" émotionnel ?
Le discours est un peu décousu, j'ai du mal à y mettre des mots car c'est une pensée que je base beaucoup sur l'intuition la
Ah et désolé j'ai répondu sans avoir lu ton premier post juste en regardant le titre donc merci d'avoir compris ou je voulais en venir comme ça je suis pas passé pour un attardéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/33/5/1660936650-1607386908-enxt.png