Le 28 avril 2022 à 14:57:10 : La petite qui décrit les femmes violant les enfants avec des « kiki ». Pour l’avocate ça prouve que ça existe pas, car les femmes ont pas de penis elle ment. Alors que même un 47 de QI aurait compris qu’il existe les god ceinture
Oui ou que c'est une façon de dire "garçon" donc que les femmes violent que les petits garçons putain les avocats vereux
Un certain nombre des témoins - victimes, tortionnaires, et même flics - vont mourir, de suicide douteux ou carrément de meurtre. Cette (nouvelle) série débute lorsque la justice ouvre une instruction sur les disparues de l’Yonne le 30 mai 97 :
- ✝ 30 mai 97, peu après sa sortie de prison, l'ex-femme de Claude Dunand, Monique Michaud, fait une chute mortelle dans ses escaliers [17] [14] [13] [18].
- ✝ 4 août 97, Christian Jambert, qui avait également enquêté de manière officieuse sur le dossier Claude Dunand, et qui a surtout enquêté de manière extensive sur les cas de disparitions dans l’Yonne, est retrouvé mort chez lui le 4 août 1997, suicidé à ce qui semble de deux balles dans la tête. La serviette dans laquelle il gardait ses dossiers d'enquête n'est pas retrouvée [7] (83 :50).
- ✝ 98, Isabelle, une des victimes de Claude Dunand, qui n'avait pas pu assister au procès de Claude Dunand en 1991 parce qu'elle avait été renversée par une voiture, meurt empoisonnée [6] (33 :50).
- ✝ 2001, le quatrième client, ayant menacé de faire exploser la vérité lors du procès de 1991, tue sa femme puis se suicide [6] (22 :25).
- ✝ 1er décembre 2002, le commissaire à la retraite Viallatte, ayant dirigé l'intervention chez les Dunand pour libérer Michaëlla, meurt d'un infarctus [14] (17 :15).
Il faut ajouter à cela les menaces de mort reçues par des personnes qui s’intéressaient à l’affaire : Pierre Monnoir, co-fondateur de l’Association de Défense des Handicapés de l’Yonne (ADHY), et Yves Boisset. Le cinéaste voulait faire un film sur les ratés de la justice Auxerroise [14] (44 :10), et raconte s’être fait gentiment mettre en garde par un haut-fonctionnaire de la région : « Il faut faire attention car il y a quand même beaucoup de suicides, d’accidents de voiture, de crises cardiaques à l’intérieur ou à la périphérie de cette affaire ». Le soir même de retour à Paris, la voiture dans laquelle se trouvent ses notes d’enquête est fracturée, rue de Valois pourtant très fréquentée par la police. Selon lui, un ancien ministre aurait été vu plusieurs fois près du pavillon d’Appoigny. Le cinéaste abandonne son projet de film aux alentours de 2003 [19].
Pierre-Olivier Puis, alias Djamel, témoin dans l’affaire Alègre, a été retrouvé mort, samedi, dans sa chambre de clinique à Saint-Loup-Cammas, près de Toulouse, où il avait été admis en psychiatrie. L’autopsie pratiquée hier révèle que le jeune travesti est décédé par asphyxie. Il s’est étouffé après avoir régurgité, alors qu’il était inconscient. Des examens complémentaires devraient préciser si, comme le laissaient penser les premières constatations, Djamel a absorbé massivement des médicaments. Son corps ne portait aucune trace de violences. Selon une source citée par l’AFP, Djamel, qui avait récemment été quitté par son petit ami, aurait pu mettre fin à ses jours. Il avait déjà tenté de se suicider en mai, au lendemain de son incarcération à la maison d’arrêt de Montauban. Officiellement âgé de 23 ans, se présentant comme le fils de Michael Jackson, Djamel se prétendait victime de viols commis au sein d’un réseau sadomaso et pédophile impliquant des policiers et des notables toulousains. Ses déclarations ont rapidement été invalidées par les enquêteurs
C'est bien connu en HP on vous laisse toute la Pharmacie pour l'avaler
Un certain nombre des témoins - victimes, tortionnaires, et même flics - vont mourir, de suicide douteux ou carrément de meurtre. Cette (nouvelle) série débute lorsque la justice ouvre une instruction sur les disparues de l’Yonne le 30 mai 97 :
- ✝ 30 mai 97, peu après sa sortie de prison, l'ex-femme de Claude Dunand, Monique Michaud, fait une chute mortelle dans ses escaliers [17] [14] [13] [18].
- ✝ 4 août 97, Christian Jambert, qui avait également enquêté de manière officieuse sur le dossier Claude Dunand, et qui a surtout enquêté de manière extensive sur les cas de disparitions dans l’Yonne, est retrouvé mort chez lui le 4 août 1997, suicidé à ce qui semble de deux balles dans la tête. La serviette dans laquelle il gardait ses dossiers d'enquête n'est pas retrouvée [7] (83 :50).
- ✝ 98, Isabelle, une des victimes de Claude Dunand, qui n'avait pas pu assister au procès de Claude Dunand en 1991 parce qu'elle avait été renversée par une voiture, meurt empoisonnée [6] (33 :50).
- ✝ 2001, le quatrième client, ayant menacé de faire exploser la vérité lors du procès de 1991, tue sa femme puis se suicide [6] (22 :25).
- ✝ 1er décembre 2002, le commissaire à la retraite Viallatte, ayant dirigé l'intervention chez les Dunand pour libérer Michaëlla, meurt d'un infarctus [14] (17 :15).
Il faut ajouter à cela les menaces de mort reçues par des personnes qui s’intéressaient à l’affaire : Pierre Monnoir, co-fondateur de l’Association de Défense des Handicapés de l’Yonne (ADHY), et Yves Boisset. Le cinéaste voulait faire un film sur les ratés de la justice Auxerroise [14] (44 :10), et raconte s’être fait gentiment mettre en garde par un haut-fonctionnaire de la région : « Il faut faire attention car il y a quand même beaucoup de suicides, d’accidents de voiture, de crises cardiaques à l’intérieur ou à la périphérie de cette affaire ». Le soir même de retour à Paris, la voiture dans laquelle se trouvent ses notes d’enquête est fracturée, rue de Valois pourtant très fréquentée par la police. Selon lui, un ancien ministre aurait été vu plusieurs fois près du pavillon d’Appoigny. Le cinéaste abandonne son projet de film aux alentours de 2003 [19].
Un manque de bol tout ismplementhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/20/1495142553-1.png
Le Coral fut fondé en 1977 à Aimargues, un ravissant village du Midi de la France, par Claude Sigala, un éducateur spécialisé et cinéaste, bourdonnant autour de la révolution sexuelle française de mai 68. La mode était aux écrivains qui publiaient des romans de leurs amours avec “des enfants consentants”, dans un langage ampoulé, en rimes, comme si cela pouvait effacer leurs crimes. Le Coral était un “lieu de vie” où environ 10 adultes s’occupaient de 5 enfants psychotiques et autistes.
Ils appartenaient à un mouvement visant à faire reconnaître le droit à la différence, à la tendresse et à la caresse… de vieux cochons en érection sur des enfants. Il s’agissait d’un “débat philosophique” et de “liberté sexuelle” d’enfants émotionnellement handicapés, que le Coral estimait faire partie d’une “thérapeutique nouvelle”.
Un garçon de onze ans, fut retrouvé mort, la tête noyée dans un seau de merde en 1979.
Des centaines d'enfants enlevés dans un fichier photo vendu sur Internet Le lanceur d'alerte qui se retrouve en prison Officieusement des dizaines d'enfants reconnus, officiellement : enquête bâclée
Le système est en sueur, il tente de faire croire que les filles sont des malades mentales, problème : le temoin principal, X1, sera diagnostiqué saine mentalement
L'affaire Savile a également servi de catalyseur pour donner lieu à de nouvelles demandes d'enquête concernant l'affaire de pédocriminalité en Galles du nord20, ne pouvant par contre pas lui être associée.
Il aurait été très lié au député Cyril Smith, selon une des victimes de Smith, qui a également été impliqué dans des affaires de mœurs21. Son ancien chauffeur, David Smith, est retrouvé mort chez lui, le 28 octobre 2013, le jour où il devait comparaître devant la justice pour une série de viols. Il semble qu'il se soit suicidé22.