Le 14 novembre 2021 à 09:37:11 :
C'est pas tant physiquement que tout s'écroule, c'est psychologiquement.
De 18 à 30 ans, c'est la fiesta. Elle peut se caser avec quelqu'un pendant longtemps ou bien enchaîner les plans cul, les conséquences sont nulles. Tout est une question de profiter de la ou des relation(s) au maximum. Maximiser le désir et le plaisir.
Au-delà de 30 ans, l'objectif n'est plus du tout le même. Passé 25 ans déjà en moyenne elle a compris que le monde du travail était un environnement froid, dur et impitoyable. L'objectif dans la recherche d'un conjoint n'est désormais plus de ressentir de l'amour ou du plaisir, mais de se protéger de sa propre vie qui devient excessivement anxiogène. Aucune femme ne souhaite affronter le monde adulte extérieur seule. Celles qui ont dû subir ça (peu importent les raisons) sont devenues complètement névrosées.
L'horloge biologique et cette prise de conscience lente mais qui arrivent vite avec les années qui défilent de plus en plus vite passée la vingtaine, s'associent avec la pression sociale de ne pas rentrer dans le moule, pour former un cocktail qui la rendent obsédée à l'idée de trouver un pigeon qui la protégera et lui fera un enfant pour construire ce foyer. Quitte à tout détruire par la suite.
Parce qu'en effet la pigeonnerie ne s'arrête pas là. Avoir fait du rodéo sur des bites pendant 10 ans a évidemment des conséquences sur le mental. Lorsque la dame s'est enfin posée et a fondé ce foyer dont elle rêvait pour se protéger, l'intensité du plaisir n'est pas aussi grand qu'à l'époque où elle baisait à tout va sans aucune responsabilité de réserve au nom du devoir conjugal ou autre.
Elle se fait chier la jeune mégère. Alors elle devient insupportable avec son pigeon, lui en fait voir de toutes les couleurs, jusqu'à ce que la relation devienne invivable et qu'elle commette l'irréparable.
Le pigeon est désormais un cuck. Et la dame s'en va avec le gosse et une bonne partie des biens. Mais ce n'était pas un hasard ou un accident. Elle avait tout pensé et pesé les risques qu'elle encourrait. Elle avait très vite compris qu'elle ne risquait rien en réalité. La France est un pays où la femme adultère est telle Isis de la mythologie égyptienne. Les aides sociales pleuvent sur elle.
Elle a gagné.
Dans cette vie, du moins.
Dans une société où ce besoin sexuel est omniprésent, et où l’individu n’aurait pas les qualités nécessaires pour être un homme de premier choix auprès de la gent féminine, que lui reste t’il ? Quel comportement doit-il adopter ? Doit-il rejeter toutes les meufs (qui auront fait face au mur) qui se présentent a lui tout en sachant qu’elles ne manqueront pas de choix dans tous les cas ?
L’homme lambda est dans tous les cas condamné.