Jean-Franck, le papa de Mathias "Ils me disaient que les Américains avaient comme gros défaut les armes mais que contrairement à nous, ils avaient la solidarité".
Le 25 octobre 2021 à 15:36:20 : Ne laissons pas ce tragique incident (condoléances aux familles des victimes) faire place belle à l'islamophobie dans notre société.
Le 25 octobre 2021 à 15:50:59 : Si t'as pas de haine quand on te bute tes enfants, mais que peut il bien y avoir en toi?
C'est quoi ces gens ? Des ectoplasmes ?
Mon Dieu, donnez-moi la sérénité d'accepter les choses que je ne peux pas changer, le courage de changer celles que je peux changer et la sagesse de distinguer les premières des secondes. Marc-Aurèle
à quoi ca sert d'avoir la haine dans leur cas ? à rien la plupart des terroristes du 13 novembre se sont suicidés et le seul qu'il reste se trouve dans un mur de plexiglas quand il n'est pas en prison
aussi c'est possible qu'ils disent qu'ils n'éprouvent pas de haine envers Abdeslam pour ne pas qu'il en profite pour jouer avec ce sentiment.
Le 25 octobre 2021 à 15:36:20 : Ne laissons pas ce tragique incident (condoléances aux familles des victimes) faire place belle à l'islamophobie dans notre société.
Ce couple alpha sponso marque de bmx, elle travaille aux states , plus très beaux hyper sociable ( bien qu au début ils disent qu elle est solitaire...) Coupe dans leur élan c est triste
[15:48:54] <HushHushLambo2> " Diplômée de Neoma Business School, une école de commerce de Reims (Marne), la jeune femme avait effectué une partie de son cursus aux Pays-Bas, puis à Londres. De ses séjours à l’étranger, elle avait rapporté une maîtrise parfaite de l’anglais mais aussi une bande de copains dispersée aux quatre coins de l’Europe. « “Mamou, j’ai trop d’amis”, me disait-elle parfois. Elle était si sociable », se rappelle sa mère, Béatrice, infirmière libérale. Quand les « Parisiens » revenaient à Metz, toute la joyeuse équipe se retrouvait bien à l’étroit dans les bars du centre-ville. "
Le 25 octobre 2021 à 15:48:54 : " Diplômée de Neoma Business School, une école de commerce de Reims (Marne), la jeune femme avait effectué une partie de son cursus aux Pays-Bas, puis à Londres. De ses séjours à l’étranger, elle avait rapporté une maîtrise parfaite de l’anglais mais aussi une bande de copains dispersée aux quatre coins de l’Europe. « “Mamou, j’ai trop d’amis”, me disait-elle parfois. Elle était si sociable », se rappelle sa mère, Béatrice, infirmière libérale. Quand les « Parisiens » revenaient à Metz, toute la joyeuse équipe se retrouvait bien à l’étroit dans les bars du centre-ville. "
Qd ils disent pas de haine je pense qu il faut entendre "les gens qui ont tués mes enfants mais ce sont des être sans importance a mes yeux, je ne les considere pas, ils n occupent pas mon esprit jour et nuit" on sait tous que c est faut comme dirai furry. Cela fait 2 ans que j occupé son esprit sans avoir à payer de loyer
Le 25 octobre 2021 à 15:48:54 : " Diplômée de Neoma Business School, une école de commerce de Reims (Marne), la jeune femme avait effectué une partie de son cursus aux Pays-Bas, puis à Londres. De ses séjours à l’étranger, elle avait rapporté une maîtrise parfaite de l’anglais mais aussi une bande de copains dispersée aux quatre coins de l’Europe. « “Mamou, j’ai trop d’amis”, me disait-elle parfois. Elle était si sociable », se rappelle sa mère, Béatrice, infirmière libérale. Quand les « Parisiens » revenaient à Metz, toute la joyeuse équipe se retrouvait bien à l’étroit dans les bars du centre-ville. "
Le 25 octobre 2021 à 15:48:54 : " Diplômée de Neoma Business School, une école de commerce de Reims (Marne), la jeune femme avait effectué une partie de son cursus aux Pays-Bas, puis à Londres. De ses séjours à l’étranger, elle avait rapporté une maîtrise parfaite de l’anglais mais aussi une bande de copains dispersée aux quatre coins de l’Europe. « “Mamou, j’ai trop d’amis”, me disait-elle parfois. Elle était si sociable », se rappelle sa mère, Béatrice, infirmière libérale. Quand les « Parisiens » revenaient à Metz, toute la joyeuse équipe se retrouvait bien à l’étroit dans les bars du centre-ville. "
Elever un enfant unique jusqu'à 23 ans, le voir finir ses études et commencer à voler de ses ailes pour qu'au final il meurt assassiné par des raclures de bidet ramenées par notre gouvernement. Finir sa vie sans enfant, sans espoir d'avoir un jour des petits-enfants, voir sa famille s'effondrer et ne pouvoir rien y faire car on est trop vieux pour tout recommencer.
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