"masterclass" "quel crack" "ça me tue" "chakal"

Dabeull36SCSA
2021-10-03 18:45:49

Le 03 octobre 2021 à 18:45:11 efadsfsd23sada a écrit :
"Ça me tue" ça date à mort.

bien vu chacalhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/7/1633278453-1633215696-matrix.png

Mars_Droly
2021-10-03 18:46:02

En sah ?

ThrainJunior
2021-10-03 18:46:08

"le boug" :malade:

Mars_Droly
2021-10-03 18:46:22

archeum poto

Random_noname
2021-10-03 18:47:06

En rupture avec les thèses issues du positivisme et de l'empirisme Husserl s'intéresse à la manière dont chaque objet se constitue dans notre regard. Le mode de constitution des essences de choses le conduit dès le début à considérer la possibilité d'une « science éidétique », note Jean-François Lyotard56. Dans la pensée de Husserl, « l'essence n'est pas définie seulement comme « quiddité », ce que la chose est (son quid), mais comme la condition nécessaire de possibilité de certaines déterminations : c'est ce sans quoi tels contenus disparaîtraient. Tout ce qui appartient à l'essence d'un individu, un autre individu peut le posséder » écrit Renaud Babaras57. La notion d'essence est à distinguer de généralités purement inductives telles que lion, chaise, étoile selon les exemples qu'en donne Emmanuel Levinas58.

La véritable connaissance est la connaissance des « essences », c'est-à-dire de ce qui demeure invariant dans les modifications de perspectives que l'esprit a sur les choses. En effet, tout objet a ses déterminations d'après la perspective de la conscience ; l'objet vécu ne sera donc donné en totalité que par la synthèse totale des points de vue. Ainsi, pour décrire la structure des phénomènes, encore faut-il que la conscience perçoive, par l'intuition, ces essences.

Avec la « réduction éidétique », la phénoménologie devient une science des « essences », note Emmanuel Housset59. Ce n'est plus l'expérience seule qui donne la chose même, celle-ci pense Husserl, demande la mise en œuvre de connaissances a priori qui ne sont pas seulement antérieures à l'expérience mais qui sont, comme chez Kant, indépendantes de l'expérience. Cet a priori est ancré dans ce que Husserl appelle une intuition ou, « éidétique » spécifique qui nous met en présence d'essences universelles (par exemple le coq, le nombre deux, l'objet en général), de la même façon que l'intuition sensible nous met en présence d'objets individuels (comme une chose jaune particulière, une paire d'objets particuliers)N 5. « La connaissance a priori n'est plus une connaissance déterminée par son antériorité vi-à-vis de toute connaissance d'objet, mais est une connaissance de l'être même des choses » écrit Emmanuel Housset60. L'intuition de l'essence sera au même titre que l'intuition de l'individu conscience de quelque chose qui est donné en personne dans cette intuition57.

Ainsi conçue, la « science éidétique » est d'abord une « description qui vise à rendre raison de l'essence d'un phénomène à partir de la série des variations dont est susceptible son appréhension »61. Husserl aspire ensuite à construire une science des essences par quoi l'être des choses, et de toutes les choses, nous serait donné. Il découvre « les lois éidétiques qui guident toute connaissance empirique [...] Il distinguera hiérarchiquement et en partant de l'empirique 1/ les essences matérielles (celles de vêtement par exemple) étudiées par des ontologies ou sciences éidétiques matérielles-2/ les essences régionales (objet culturel) coiffant les précédentes- 3/ enfin l'essence d'objet en général »56. Or, l'intuition de l'essence est au même titre que l'intuition de l'individu conscience de quelque chose qui est donné en personne dans cette intuition57.

Jean-François Lyotard62 résume ainsi les conclusions importantes de cette première étape : « À chaque science empirique correspond une science éidétique concernant l'« eidos » régional des objets étudiés par elle, la phénoménologie elle-même est à cette étape définie comme science éidétique de la région conscience ; en d'autres termes dans toutes sciences empiriques de l'homme se trouve impliquée nécessairement une essence de la conscience »https://image.noelshack.com/fichiers/2017/02/1484173541-cc-risitas596.png

[deslaube]
2021-10-03 18:47:07

c'est réel y a pas à dire cahttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/29/6/1500731945-celestinzoom.png

Random_noname
2021-10-03 18:56:31

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/02/1484173541-cc-risitas596.pnghttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/02/1484173541-cc-risitas596.png

Random_noname
2021-10-03 18:57:04

Pierre Thévenas63 parle à propos des trois ouvrages, Idées directrices pour une phénoménologie et une philosophie phénoménologique pures, Méditations cartésiennes et La Crise des sciences européennes et la phénoménologie transcendantale : de « trilogie de la phénoménologie transcendantale ». L'idée de transcendantal recouvre chez Husserl un domaine plus large que dans son sens classique. Il y a du « transcendantal » toutes les fois où il est question de l'ultime source de la connaissance à savoir : « l'auto-méditation du sujet connaissant »64. « Cette expression concerne la « vie de la conscience » au sein de laquelle se met en place le monde « pré-donné » y compris l'être du philosophe comme homme de ce monde [...] et qui précède toute mondanéité comme sa condition de possibilité », que la réduction a pour objet de suspendre, note Eugen Fink65. « L'idée d'une phénoménologie transcendantale, d'un idéalisme transcendantal passant par le chemin de la réduction phénoménologique trouve sa première expression publique dans les Cinq conférences qui portent le titre de L'idée de la phénoménologie », écrit Paul Ricœur66.

Renaud Barbaras34 écrit : « les Ideen I tentent d'expliciter le passage de l'épochè (ou Réduction phénoménologique) au transcendantal, c'est-à-dire de montrer que le résidu de l'épochè est bien la conscience ». Avec la « subjectivité transcendantale, on dépasse le traditionnel problème de la transcendance, c'est-à-dire du lien entre la conscience et son objetN 6, que Husserl qualifie de faux problème. Si problème il y a, cela viendrait d’abord de la méconnaissance de la vraie nature de la subjectivité, qui est transcendantale et non mondaine67. Pour lui, tout objet pensable reste selon les principes de la constitution transcendantale une formation de sens de la subjectivité pure.

Random_noname
2021-10-03 18:57:44

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/7/1633278183-f.pnghttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/7/1633278183-f.pnghttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/7/1633278183-f.png

MagretFrites
2021-10-03 18:58:02

L'autisme :bave:

XiaomiMi9
2021-10-03 18:58:28

Le 03 octobre 2021 à 18:47:06 random_noname a écrit :
En rupture avec les thèses issues du positivisme et de l'empirisme Husserl s'intéresse à la manière dont chaque objet se constitue dans notre regard. Le mode de constitution des essences de choses le conduit dès le début à considérer la possibilité d'une « science éidétique », note Jean-François Lyotard56. Dans la pensée de Husserl, « l'essence n'est pas définie seulement comme « quiddité », ce que la chose est (son quid), mais comme la condition nécessaire de possibilité de certaines déterminations : c'est ce sans quoi tels contenus disparaîtraient. Tout ce qui appartient à l'essence d'un individu, un autre individu peut le posséder » écrit Renaud Babaras57. La notion d'essence est à distinguer de généralités purement inductives telles que lion, chaise, étoile selon les exemples qu'en donne Emmanuel Levinas58.

La véritable connaissance est la connaissance des « essences », c'est-à-dire de ce qui demeure invariant dans les modifications de perspectives que l'esprit a sur les choses. En effet, tout objet a ses déterminations d'après la perspective de la conscience ; l'objet vécu ne sera donc donné en totalité que par la synthèse totale des points de vue. Ainsi, pour décrire la structure des phénomènes, encore faut-il que la conscience perçoive, par l'intuition, ces essences.

Avec la « réduction éidétique », la phénoménologie devient une science des « essences », note Emmanuel Housset59. Ce n'est plus l'expérience seule qui donne la chose même, celle-ci pense Husserl, demande la mise en œuvre de connaissances a priori qui ne sont pas seulement antérieures à l'expérience mais qui sont, comme chez Kant, indépendantes de l'expérience. Cet a priori est ancré dans ce que Husserl appelle une intuition ou, « éidétique » spécifique qui nous met en présence d'essences universelles (par exemple le coq, le nombre deux, l'objet en général), de la même façon que l'intuition sensible nous met en présence d'objets individuels (comme une chose jaune particulière, une paire d'objets particuliers)N 5. « La connaissance a priori n'est plus une connaissance déterminée par son antériorité vi-à-vis de toute connaissance d'objet, mais est une connaissance de l'être même des choses » écrit Emmanuel Housset60. L'intuition de l'essence sera au même titre que l'intuition de l'individu conscience de quelque chose qui est donné en personne dans cette intuition57.

Ainsi conçue, la « science éidétique » est d'abord une « description qui vise à rendre raison de l'essence d'un phénomène à partir de la série des variations dont est susceptible son appréhension »61. Husserl aspire ensuite à construire une science des essences par quoi l'être des choses, et de toutes les choses, nous serait donné. Il découvre « les lois éidétiques qui guident toute connaissance empirique [...] Il distinguera hiérarchiquement et en partant de l'empirique 1/ les essences matérielles (celles de vêtement par exemple) étudiées par des ontologies ou sciences éidétiques matérielles-2/ les essences régionales (objet culturel) coiffant les précédentes- 3/ enfin l'essence d'objet en général »56. Or, l'intuition de l'essence est au même titre que l'intuition de l'individu conscience de quelque chose qui est donné en personne dans cette intuition57.

Jean-François Lyotard62 résume ainsi les conclusions importantes de cette première étape : « À chaque science empirique correspond une science éidétique concernant l'« eidos » régional des objets étudiés par elle, la phénoménologie elle-même est à cette étape définie comme science éidétique de la région conscience ; en d'autres termes dans toutes sciences empiriques de l'homme se trouve impliquée nécessairement une essence de la conscience »https://image.noelshack.com/fichiers/2017/02/1484173541-cc-risitas596.png

Goatesque

Saint_Henri15
2021-10-03 18:58:37

Réelhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/09/4/1614860085-1-0n90v12m.png

Random_noname
2021-10-03 18:59:42

Parler de la « spatialité » du Dasein c'est s'interroger sur son « sens spatial », et pas seulement de l'occupation d'un certain espace. Pour aborder ce « sens spatial » il convient ici aussi remiser momentanément la notion d'espace au sens physique, c'est-à-dire celui d'un espace habité par une quantité d'étants. Le « sens spatial », dont il est question, ressort avec vigueur de la transposition française du Dasein en « être-le-là », ce « là » qui appartient à la définition du Dasein lui-même, évoque un lieu, un décèlement, une ouverture180. C'est à même ce lieu que s'expose le monde. Mais cet être n'est pas abstrait, il est à chaque fois « le mien », celui qui est l'objet de mon souci, « la mienneté » est le rapport du Dasein à son être qui rend possible le « je », « spatialement incarné et sexué »45.
Le phénomène fondamental est toujours l'« être-au-monde » à partir de quoi une détermination spatiale doit pouvoir être exposée. « L'espace n'est compréhensible qu'à partir de la « mondéité » parce que l'espace est dans le monde et non le monde dans l'espace » nous dit Didier Franck181. Ce monde, c'est l'Umwelt, « le monde ambiant » qui s'étend sur tous les étants dont le Dasein a le souci. Les étants s'organisent en complexes d'outils, en contrées (exemple : la table de travail avec livre, cahier, stylo…). Jamais il n'y a primitivement perception d'objet séparé63. C'est la préoccupation qui assure le discernement du Dasein quotidien, c'est elle qui se heurtant au dysfonctionnement, découvre tout à coup l'objectivité de l'objet, cachée à ses yeux jusqu'ici.
La finalité est prioritairement ce qui se dévoile dans la préoccupation du Dasein auprès du monde (le marteau sert à enfoncer un clou, le clou à réparer une semelle, la semelle complète le soulier, etc.). Il n'y a d'« entente », note Didier Franck182 d'un étant intra-mondain au sens ontologique que « après avoir compris, c'est-à-dire, projeté l'ensemble du complexe référentiel dont il constitue l'ancrage dernier » et « ces rapports, cramponnés les uns aux autres en une totalité originaire, sont ce qu'ils sont en tant que référer-signifiant par lequel le Dasein se donne d'avance à comprendre son être-au-monde »183. Si l'on considère que l'expression « être-au-monde » n'a nullement le sens d'une inclusion (dans un espace), mais celui d'un « habiter »184 : autrement dit, une façon d'être à l'espace, un mode de spatialisation, alors le Dasein va habiter un monde dans lequel il a ses aises (Wesen, voir Wewen), monde qui se distribue en contrées fonctionnelles dans lesquelles les étants, comme « outils respectent leur appartenance finalisée à un ensemble »185. Dans son commerce avec le monde ambiant, le Dasein est essentiellement « é-loignant » qui dans le sens que lui donne Heidegger, correspond à une constitution d'être du Dasein signifiant une propension à « abolitir le lointain » en laissant venir à son encontre (laisser être) dans la proximité186. C'est à partir de la préoccupation quotidienne que les lieux, les places et les voies de passage sont dévoilés, pour donner spontanément un espace articulé faisant sens. L'espace en tant que pur espace quantitatif, celui de l'expérience quotidienne, homogène, isotrope, continu et illimité, disparaît, pour le retrouver nous devons faire un sérieux effort d'abstraction.
Les deux traits fondamentaux du caractère spatialisant du Dasein sont sa tendance à la proximité et aussi son caractère orientant à travers l'organisation de contrées. « La proximité ou la distance ne sont pas des grandeurs fixes ..car elles se plient à un critère très précis : la préoccupation circonspecte décide de ce qui lui est proche ou lointain » écrit Jean Greisch187. Le plus éloigné physiquement peut ainsi être le plus proche. La possibilité de penser la spatialité et notamment l'orientabilité du Dasein soulève la question du corps que les deux commentateurs Jean Greisch et Françoise Dastur reconnaissent manquer dans l'analyse existentiale et ce manque poser problème.
Françoise Dastur188 écrit : « le Dasein ne peut jamais être présent dans l'espace à la manière d'une chose, Il n'est, en effet, pas seulement présent dans l'espace que remplit son corps, mais il « occupe », au sens littéral du terme, de l'espace » sur le fond de sa préoccupation. Gadamer28 écrit « dans sa finitude et son historicité, Dasein n'en est pas moins un « là », un « ici » » mais aussi un « là-bas », un proche et un lointain, Nähe und Ferne ) comme il est dans sa temporalité, « un présent dans l'instant, un « à-venir » et un « avoir-été », une plénitude de temps et un lieu de rassemblement de tout ce qui est ». Le Dasein porte son « espace » et son « temps » avec lui.https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/7/1633278038-e.pnghttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/7/1633278038-e.pnghttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/7/1633278038-e.pnghttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/7/1633278038-e.png

Mr-Tisserand
2021-10-03 19:00:25

c'est carré
c'est propre
tape un croc

Random_noname
2021-10-03 19:02:43

« Quand j’entrouvre mon œil Warp pour le poser sur le visage de l’Empyrean, c’est l’enfer même qui me renvoie mon regard. Je vois superposés sur le monde d’ici-bas les prédateurs qui gravitent autour de chaque personne. L’âme de ceux qui jouissent de la Vue, comme les Astropathes, les Psykers et d’autres de mon propre genre, les Navigateurs, luit d’un tel éclat qu’elle éclipse les flammes vacillantes de ceux alentours, elle attire les créatures les plus voraces du Warp, avides de s’échapper de leur royaume. N’étaient ces individus protégés par leurs propres pouvoirs ou leur lien avec l’Empereur, ces êtres perceraient leurs esprits pour se frayer un chemin vers l’univers de la matière. Voilà pourquoi je ne puis révéler mon œil Warp en présence des non-protégés. Croiser le regard Warp d’un Navigator, c’est y trouver le reflet de la plus affreuse des vérités : l’âme humaine n’est qu’un brin de paille à la dérive sur les océans de l’Immaterium, et tout autour se presse l’horreur issue de ses pires cauchemars. »https://image.noelshack.com/fichiers/2017/02/1484173541-cc-risitas596.pnghttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/02/1484173541-cc-risitas596.pnghttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/02/1484173541-cc-risitas596.png

NuclearSoldier
2021-10-03 19:06:55

Masterclass, insane, cringe, je ne supporte pas tous ces anglicismes ridicules, les mecs ont décidé d'arrêter de parler français. Et "masterclass" n'est jamais utilisé correctement, il est utilisé pour remplacer "chef d'œuvre" ou pour désigner une action extraordinairement réussie alors que ça n'a rien à voir avec la véritable signification du terme.

OmarChie
2021-10-03 19:23:24

bezla

Mars_Droly
2021-10-03 19:24:59

Le 03 octobre 2021 à 19:23:24 :
bezla

Bah sors :(

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