Ils sont tombés comme les enfants d'Eden En bas, ils sont tombés comme la tour Alors que la terre abandonnait son fantôme Écoute les sirènes, mets-toi à l'abri, mon amant Fuyez le feu qui dévore Mais la vue me tenait fixe Comme une baïonnette contre ma gorge Ni la peste ni la famine n'ont tempéré mon courage Les raids ne m'ont pas non plus fait trembler Mais sa peau translucide M'a fait frissonner au plus profond de mes os C'était un cheval blanc pâle Avec un sourire en coin Et je savais que c'était mon heure C'était la tempête qui faisait rage D'une guerre étrangère Et d'un visage que j'avais déjà vu
Et cette musique est la suite triomphante de la précédente:
Était-ce vous au milieu du feu et de la braise ? Étiez-vous là pour tourmenter et séduire ? Tu vois, ton visage n'était pas tout à fait comme je m'en rappelle Mais je connais que la forme méchante de ton sourire Enterre-moi comme il te plaît, amant En mer, ou au plus profond des catacombes Mais ces os ne se sont jamais reposés du vivant Alors, comment peuvent-ils supporter de languir dans le repos ? Il a renversé la cavalerie alors que le gravier coule Et tandis que la pierre s'effondre sous la mer déchirée de rouge et de roseau L'ombre d'Hadès s'estompe Car il a renversé Léviathan, le tyran, et le cheval et le cavalier Où est ton cavalier ? Où est ton cavalier ? Il tiendra de toutes ses forces les armées de la nuit Toujours comme des rochers posés sur le côté jusqu'à ce que nous passions Il a sorti du bourbier tous les enfants Alors élève ta voix avec le tambourin et la lyre Nous respecterons, nous respecterons, nous respecterons
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