"Blog" JEUX VIDEOS : mes Critiques de JEUX
Le 24 septembre 2021 à 05:07:18 :
Crée un blog
on me l'a déjà dit mais je fais ça pour le fun surtout 
c'est un passe-temps passager de quelques semaines/mois sans doute. Je suis pas sur que ça vaille le coup de faire un blog pour si peu
Le 24 septembre 2021 à 05:15:52 :
Fait what remains of Edith finch, ca motivera peut être certains à le découvrir ;)
il est gratuit je crois sur le PS NOW, ça tombe bien 
Ok je le ferais. Ce sera ma prochaine critique après Journey
7ème Critique : JOURNEY
Un conte allégorique ou féerie et singularité ne font qu'un
« Le bonheur ne se trouve pas au sommet de la montagne, mais dans la façon de la gravir » Confucius avait fait de ce postulat l'une de ses citations emblématiques, l'expérience vidéoludique de Journey ira t-elle corroborer les propos du philosophe ?
L'aventure commence à pas feutré dans la peau d'un étrange personnage longiligne, non genré et pourvu d'une espèce de Hijab rouge se mariant parfaitement avec l'environnement sablonneux. A son cou, une écharpe qui, au contact d’étoffes disséminées ici et là, catalyse un pouvoir surnaturel lui permettant de prendre de l'altitude et de planer afin d'atteindre des emplacements juchés à des sommets hauts perchés. C'est au fur et à mesure de ses pérégrinations que l'écharpe s'agrandit et prend vie, comme une analogie faite à la quête de ce personnage qui dans l'introduction descend des cieux pour accomplir sa mission. A l'horizon se trouve cette montagne culminant à de très hautes altitudes masquée par la poussière de sable, ceci sera notre destination.
L'Alchimiste
Comme dans le Roman de Paulo Coelho, le voyageur doit vivre sa légende personnelle en traversant les dunes de cette vaste étendue désertique mais ce périple ne sera pas de tout repos. Il rencontrera sur son passage des vestiges d'une ancienne civilisation autrefois florissante. Elle doit son déclin à une guerre perdue contre des machines volantes à l’apparence semblable à un alliage entre l'œil Martien de La guerre des Mondes et les Léviathans dans Avengers. Ces exosquelettes que l'on rencontrera ne seront pas réellement dangereux. Le studio indépendant préfère mettre en exergue l'exploration et la contemplation plutôt que le manichéisme et cet opus ne déroge pas à la règle. Car oui, Journey est un bijou visuel absolument pittoresque offrant des séquences d'anthologie qui nous sidère lorsqu'on se rappelle qu'il est sorti il y a près de dix ans. Incroyable.
le Gameplay rudimentaire du jeu est excellent et prouve qu'il n'y a pas forcément besoin de grands choses pour offrir une expérience manette en main très ergonomique et jouissive. Les sensations de glisses sont un pur régal, tout comme les phases en accélérées qui sont auréolées de musiques dynamiques permettant à la fois de se délecter des paysages, de l'ambiance sonore et de son excellente jouabilité. La constante impression d'immensité est quant à elle comme toujours la grande force du studio, d'autant plus que Journey n'offre au final qu'une liberté presque infinitésimal au joueur.
Vraiment Parfait ?
Il n'y a pas pléthore de critiques qu'on puisse lui faire si ce n'est sa durée de vie famélique. Vraiment famélique. Compter à Peine 2 heures pour en venir à bout, c'est à dire encore moins qu'Abzu. Au vu du potentiel qu'offre ce jeu, on aurait pas dit non à un peu de rabiot.
Le scénario lui n'est pas exempt de tous reproches mais peut-on réellement considérer cela comme un défaut ? La firme a toujours privilégié l'aspect silencieux et relaxant, au détriment d'un scénario qui sert seulement d’accompagnateur et d'une narration qui ne s'écoute pas mais qui se vit par le biais d'un monde onirique hors du commun.
Les + :
Un Gameplay et une jouabilité aux petits oignons
D'une beauté confondante
Une Bande Son toujours au top
Le désert et ses volutes de sables
Accessible aux Néophytes et à un très large public
Quelques séquences restées dans l'inconscient des joueurs
Ce sentiment d'immensité propre au studio
Les - :
Quelques chutes de Framerate (propre au studio aussi …)
Un Scénario presque inexistant, mais peut-on leur en vouloir ?
Une durée de vie ridicule
Ma Note : 15/20
First page + GPALU 
Le 25 septembre 2021 à 07:51:09 :
First page + GPALU
j'ten veux pas comme 99% des Kheys Je suis destiné à bider de toute façon avec ce genre de Topics, mais c'est pas grave, je prend du plaisir c'est le principal 
même si ça ne durera qu'un temps
L’odeur du topic 
Le 25 septembre 2021 à 07:54:59 :
L’odeur du topic
Prochaines critiques
what remains of Edith finch (2017)
Everybody's Gone to the Rapture (même si j'ai peur de me faire chier sévèrement; donc à voir)
Les Cochons de Guerre (2000)
Hotline Miami 2 (2015)
Flower (2009)
Tintin au Tibet (1995)
Street Racer (1994)
Tombi (1998)
Octodad (2014)
Canis Canem Edit (2006)
Un jeu indépendant ... A définir encore 
Un jeu rétro adoubé (années 80) je vais essayer
Et ensuite j'arrêterais ou je continuerais, en fonction de mes envies ... 
Le 24 septembre 2021 à 05:07:03 :
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Océan de Sagesse
A la manière d'un cinéaste abordant les mêmes sujets centraux et garnissant ses films d'un style visuel distinctif, Matt Nava pare ses jeux d'une touche créative dont lui seul à le secret.
Le directeur artistique avait déjà fait virevolter les douces pétales de fleurs soufflées par le vent dans Flower en 2009 avant de nous plonger dans l'étendue désertique et grandiose de Journey trois ans plus tard. Fort de ce savoir empirique il cofonde le studio Giant Squid, traduisez « Calamar Géant » c'est donc tout naturellement qu'il décide d'explorer les fonds marins. Ainsi naquit Abzu, une expérience envoûtante dans les profondeurs de l'Océan.20 000 Couleurs sous les mers
La première personne à qui j'ai pensé en débutant mon aventure sous-marine enchanteresse n'est autre que Wes Anderson. Le réalisateur de « La Vie aquatique » qui doit sa réputation à son univers si singulier, mais aussi son utilisation intensive des couleurs pastels, ses contrastes de coloris très marqué d'une pièce à une autre, d'un lieu à un autre dans lesquels ses personnages prennent vie. Et lorsque l'on nage entre le différentes chapitres d'Abzu, c'est tout le cercle chromatique qui jaillit à nos yeux. Une palette de couleurs à n'en plus finir, nous rappelant l'art du Feng shui. Elle harmonise l'environnement de chaque chapitres comme le ferait une décoratrice d'intérieure. L'utilisation des coloris et sa direction artistique sont d'ailleurs sa principale force, on en attendait pas moins.Un manque d'inspiration flagrant
Excepté les environnements très soignés qui se distinguent de ses prédécesseurs mais qui n'étonnent guerre car les thématiques sont bien définis d'un titre à l'autre : Le champêtre pour Flower, Le désert pour Journey et l'élémentaire de l'eau pour ce dernier. Pour le reste, la prise de risque est quasi nulle et l'on retrouve dans chacun d'eux les mêmes codes. Ils sont tous disposés en 7 Chapitres, ils recherchent tous à promouvoir un sentiment d'apaisement et de relaxation (matérialisé dans Abzu par des statues de requin usité pour la pratique de la méditation. Malheureusement sans grande utilité, si ce n'est passer d'un poisson/mammifère à un autre pour en connaître le nom). Ils utilisent tous l'immensité à perte de vue comme manne providentielle, ils ont tous des chûtes de Framerate et enfin le Game design et le Level n'est rien de plus que du mimétisme. De plus, et contrairement à ses clones, la prise en main du jeu n'est pas immédiate et même jamais totale. Pour preuve, j'en ai même fini l'aventure en ayant encore quelques soucis directionnelles.Les + :
Des décors pittoresques à foison
Bande Son maîtrisée et un cran au dessus de Journey
Certains passages qui à eux seuls justifient l'achat du jeu
Le Message écologique
Une Direction artistique exceptionnelle
Encore et toujours ce sentiment d'énormité si bien retranscris
Nager sur les dos des requins blancs, orques et autres Baleines BleuesLes - :
Un sentiment de déjà vu omniprésent
des quêtes répétitives
Une prise en main difficile
Des temps de chargement affreusement longs
Chûtes de Framerate régulières
Une prise de risque inexistante
13/20 DDB c'est le meilleur jeu
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