PIastocBeber
2021-08-14 10:52:44
Sauf que y'a un hic... Ton papier ne vaudrait rien même signé avec du sang.. Car dans la logique des choses ,notre âme (si elle devait exister) ne nous appartient pas mais appartient à dieu.. Donc les sois disant " vente d'âmes au diable " pour réussir ou gagner de l'argent .. ben à la fin, la vente serait annulée car non conformehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/34/4/1503587716-sticker-sylvain.jpg
Pseud070
2021-08-14 10:54:08
Le 14 août 2021 à 10:50:40 :
Le 14 août 2021 à 10:50:17 :
Oui mais je te demderai plus.
Combien par exemple ?
Condamné à mort, Clayton Leigh a accepté de faire numériser sa conscience afin que des fonds soient donnés à sa famille. Ce qu’il ne savait pas, c’est que Haynes et son musée lui feraient revivre éternellement l’expérience de sa mort. Situés du bon côté de la vitre, tous les clients du musée peuvent abaisser une manette semblable à celle qui active une chaise électrique. Durant 15 secondes, Leigh revit l’expérience de sa propre peine de mort. Si ce n’était pas suivant, l’expérience dérive vers un autre niveau. Si Haynes précise à tous ses clients qu’il ne faut pas abaisser la manette trop longtemps au risque de « griller » la conscience numérisée du prisonnier, il fait aussi parfois exceptions. Pour des hommes en mal d’ennui ou de sensations, et quelques billets, il accepte que ceux-ci dépassent le temps autorisé. Ainsi, la conscience de Leigh se détériore jusqu’à ce qu’il ressemble à un légume déposé derrière une vitre.
Allégorie d’une justice punitive, Black Museum touche là à des sujets tels que le racisme et les conditions carcérales, largement critiquées aux États-Unis. Largement méta, l’épisode nous laisse le plaisir d’un twist final qui pourtant ne résout rien. Nish est la fille de « l’attraction principale », soit l’homme prisonnier derrière la vitre. Si Haynes lui avait récemment dit que des gens s’étaient opposés à ce qu’il torture la conscience d’un homme, ils sont vite passés à une autre cause. Après avoir empoisonné l’homme avec de l’eau, elle transfère sa conscience à la place de celle de son père et abaisse définitivement la manette. Nish sort enfin du musée après nous avoir fait comprendre qu’elle avait coupé la climatisation et donner à Haynes aussi chaud.
Dernier twist qui surprend tout autant qu’il nous glace légèrement : la conscience de la mère de Nish est présente dans celle de sa fille. Tandis que le musée brûle, elle reprend la route sur une musique aux sonorités rétro.
Si la mère a pu être témoin de la vengeance dont sa fille est l’auteur, il n’en reste pas moins que toutes deux exploitent une technologie dont l'on a pu voir plus largement les conséquences.
https://siecledigital.fr/2018/02/15/analyse-black-mirror-black-museum/