Même chez LREM ils sont devenus """antivax""" maintenant donc non ça sert à rien.
Le 28 juillet 2021 à 20:53:12 :
Même chez LREM ils sont devenus """antivax""" maintenant donc non ça sert à rien.
Hein ? Où t'as vu ça
Le 28 juillet 2021 à 20:55:49 :
Le 28 juillet 2021 à 20:53:12 :
Même chez LREM ils sont devenus """antivax""" maintenant donc non ça sert à rien.Hein ? Où t'as vu ça
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
L'article de Marianne qui tournait, dernier paragraphe :
Le 28 juillet 2021 à 20:57:26 :
Le 28 juillet 2021 à 20:55:49 :
Le 28 juillet 2021 à 20:53:12 :
Même chez LREM ils sont devenus """antivax""" maintenant donc non ça sert à rien.Hein ? Où t'as vu ça
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png L'article de Marianne qui tournait, dernier paragraphe :
Ils sont pas du tout antivax
Le 28 juillet 2021 à 20:59:25 :
Le 28 juillet 2021 à 20:57:26 :
Le 28 juillet 2021 à 20:55:49 :
Le 28 juillet 2021 à 20:53:12 :
Même chez LREM ils sont devenus """antivax""" maintenant donc non ça sert à rien.Hein ? Où t'as vu ça
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png L'article de Marianne qui tournait, dernier paragraphe :
Ils sont pas du tout antivax
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
Ils doutent de leur propre propagande et de l'utilité de la vaccination de masse. De nos jours ça suffit pour te classer comme antivax
Le 28 juillet 2021 à 20:25:03 :
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.
Très intéressant comme vision, effectivement la pandémie mondiale est l'excuse parfaite pour masquer la faillite inévitable du capitalisme a l'occidentale.
On a dit et fait croire à tout le monde qu'ils pourraient tout avoir, mais on ne leur à pas dit qu'ils ne pourraient pas tous avoir. Le surnuméraire étant la variable qui rend l'équation impossible. La destruction de la classe moyenne étant inévitable de fait.
Je pense par contre que ton propos bien que très pertinent est aussi très cartésien. J'y inclurai également une dimension spirituelle. Je suis persuadé que les élites qui tente de diriger le cheptel mondial se sentent tous investis d'une mission proche de la croyance divine (reste à voir quelle divinité ) qu'ils ont pour mission de sauvegarder un Eden pour une minorité de l'humanité (dont ils font parti) à n'importe quel prix. Comme tu le dis le transhumanisme pour la caste supérieure est très probable et je ne pense pas qu'ils souhaitent vivre dans un monde en ruine.
Les conflits climatiques à venir devant être le point d'orgue de toute cette merde.
Le 28 juillet 2021 à 21:00:04 :
Le 28 juillet 2021 à 20:59:25 :
Le 28 juillet 2021 à 20:57:26 :
Le 28 juillet 2021 à 20:55:49 :
Le 28 juillet 2021 à 20:53:12 :
Même chez LREM ils sont devenus """antivax""" maintenant donc non ça sert à rien.Hein ? Où t'as vu ça
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png L'article de Marianne qui tournait, dernier paragraphe :
Ils sont pas du tout antivax
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png Ils doutent de leur propre propagande et de l'utilité de la vaccination de masse. De nos jours ça suffit pour te classer comme antivax
Mouais
Ils restent provax et propass
Le 28 juillet 2021 à 21:00:20 :
Le 28 juillet 2021 à 20:25:03 :
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.Très intéressant comme vision, effectivement la pandémie mondiale est l'excuse parfaite pour masquer la faillite inévitable du capitalisme a l'occidentale.
On a dit et fait croire à tout le monde qu'ils pourraient tout avoir, mais on ne leur à pas dit qu'ils ne pourraient pas tous avoir. Le surnuméraire étant la variable qui rend l'équation impossible. La destruction de la classe moyenne étant inévitable de fait.
Je pense par contre que ton propos bien que très pertinent est aussi très cartésien. J'y inclurai également une dimension spirituelle. Je suis persuadé que les élites qui tente de diriger le cheptel mondial se sentent tous investis d'une mission proche de la croyance divine (reste à voir quelle divinité ) qu'ils ont pour mission de sauvegarder un Eden pour une minorité de l'humanité (dont ils font parti) à n'importe quel prix. Comme tu le dis le transhumanisme pour la caste supérieure est très probable et je ne pense pas qu'ils souhaitent vivre dans un monde en ruine.
Les conflits climatiques à venir devant être le point d'orgue de toute cette merde.
Votre discussion l'air fort bien intéressent mais enfer et damnation ,mon compagnon ,l'analphabétisme m'accompagne depuis ma naissance.
Le 28 juillet 2021 à 21:02:56 :
Le 28 juillet 2021 à 21:00:20 :
Le 28 juillet 2021 à 20:25:03 :
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.Très intéressant comme vision, effectivement la pandémie mondiale est l'excuse parfaite pour masquer la faillite inévitable du capitalisme a l'occidentale.
On a dit et fait croire à tout le monde qu'ils pourraient tout avoir, mais on ne leur à pas dit qu'ils ne pourraient pas tous avoir. Le surnuméraire étant la variable qui rend l'équation impossible. La destruction de la classe moyenne étant inévitable de fait.
Je pense par contre que ton propos bien que très pertinent est aussi très cartésien. J'y inclurai également une dimension spirituelle. Je suis persuadé que les élites qui tente de diriger le cheptel mondial se sentent tous investis d'une mission proche de la croyance divine (reste à voir quelle divinité ) qu'ils ont pour mission de sauvegarder un Eden pour une minorité de l'humanité (dont ils font parti) à n'importe quel prix. Comme tu le dis le transhumanisme pour la caste supérieure est très probable et je ne pense pas qu'ils souhaitent vivre dans un monde en ruine.
Les conflits climatiques à venir devant être le point d'orgue de toute cette merde.
Votre discussion l'air fort bien intéressent mais enfer et damnation ,mon compagnon ,l'analphabétisme m'accompagne depuis ma naissance.
Notre propos n'est pas clair igo ?
La crise, quelle que soit son origine, n'est qu'une diversion pour masquer la chute inévitable de notre société actuelle basée sur un capitalisme a outrance.
C'est le moyen parfait pour faire entrer les masses dans un nouveau paradigme de manière détournée plutôt que de leur dire de manière frontale qu'ils vont devoir revoir à la baisse leur niveau de vie.
Je suis persuadé que les élites qui tente de diriger le cheptel mondial se sentent tous investis d'une mission proche de la croyance divine (reste à voir quelle divinité ) qu'ils ont pour mission de sauvegarder un Eden pour une minorité de l'humanité (dont ils font parti) à n'importe quel prix.
Approfondis stp
Le 28 juillet 2021 à 21:07:51 :
Je suis persuadé que les élites qui tente de diriger le cheptel mondial se sentent tous investis d'une mission proche de la croyance divine (reste à voir quelle divinité ) qu'ils ont pour mission de sauvegarder un Eden pour une minorité de l'humanité (dont ils font parti) à n'importe quel prix.
Approfondis stp
Que veux tu que j'approfondisse igo ?
Les bails ésotériques franc maçon sont une réalité parmis les élites.
Pour moi leur but est simple, sauvegarder la Terre et y vivre dans un règne sans partage et aux yeux de tous.
l'Humanite n'est qu'un moyen d'arriver à cela, mais au final elle ne reste qu'une ressources jetable dont ils souhaitent se débarrasser petit a petit avant que le surnombre finisse de tuer la planète
Le 28 juillet 2021 à 21:16:13 :
Le 28 juillet 2021 à 21:07:51 :
Je suis persuadé que les élites qui tente de diriger le cheptel mondial se sentent tous investis d'une mission proche de la croyance divine (reste à voir quelle divinité ) qu'ils ont pour mission de sauvegarder un Eden pour une minorité de l'humanité (dont ils font parti) à n'importe quel prix.
Approfondis stp
Que veux tu que j'approfondisse igo ?
Les bails ésotériques franc maçon sont une réalité parmis les élites.
Pour moi leur but est simple, sauvegarder la Terre et y vivre dans un règne sans partage et aux yeux de tous.
l'Humanite n'est qu'un moyen d'arriver à cela, mais au final elle ne reste qu'une ressources jetable dont ils souhaitent se débarrasser petit a petit avant que le surnombre finisse de tuer la planète
Tes sources ?