Il servait à quoi le PAIN dans les TOILETTES du collège ?
papyvoyeur2
2021-05-14 18:17:40
Le terme soupeur désigne ainsi tout d'abord des individus qui éprouvent du plaisir à manger de la nourriture imbibée de l'urine d'autrui, notamment du pain abandonné volontairement dans des urinoirs publics (vespasiennes2) puis récupéré pour être consommé1 (il était parfois attaché par une ficelle3). On emploie plus rarement le terme « croûtenard », qui a pourtant l'avantage d'être plus précis4. Cette pratique était notamment répandue à Paris et à Marseille jusque dans les années 1960-70, et on y trouve plusieurs références dans la littérature populaire de l'époque.
Il existe également une pratique alternative, qui consiste à boucher volontairement un urinoir et d'attendre qu'il se remplisse. L'individu urine ensuite lui-même dedans en submergeant totalement son pénis dans l'urine des précédents usagers, d'où l'expression la plus fréquente, « faire trempette ».
UneVermine
2021-05-14 18:18:08
On fabriquait de l'alcool avechttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/3/1618399134-leo-3.png
TonMaitre06
2021-05-14 18:18:11
Pour donner à manger à l'immigré qui bossait là au black. Il était payé en nature
Deconnetable
2021-05-14 18:18:51
Le 14 mai 2021 à 18:17:40 :
Le terme soupeur désigne ainsi tout d'abord des individus qui éprouvent du plaisir à manger de la nourriture imbibée de l'urine d'autrui, notamment du pain abandonné volontairement dans des urinoirs publics (vespasiennes2) puis récupéré pour être consommé1 (il était parfois attaché par une ficelle3). On emploie plus rarement le terme « croûtenard », qui a pourtant l'avantage d'être plus précis4. Cette pratique était notamment répandue à Paris et à Marseille jusque dans les années 1960-70, et on y trouve plusieurs références dans la littérature populaire de l'époque.
Il existe également une pratique alternative, qui consiste à boucher volontairement un urinoir et d'attendre qu'il se remplisse. L'individu urine ensuite lui-même dedans en submergeant totalement son pénis dans l'urine des précédents usagers, d'où l'expression la plus fréquente, « faire trempette ».
Ah
Albertpike667
2021-05-14 18:18:52
Le 14 mai 2021 à 18:15:11 :
T'es Belge ?
Si oui c'est pour donner à manger au canard WC.
bordelhttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366209-risitas24.png
saturne15
2021-05-14 18:21:17
Le 14 mai 2021 à 18:17:40 :
Le terme soupeur désigne ainsi tout d'abord des individus qui éprouvent du plaisir à manger de la nourriture imbibée de l'urine d'autrui, notamment du pain abandonné volontairement dans des urinoirs publics (vespasiennes2) puis récupéré pour être consommé1 (il était parfois attaché par une ficelle3). On emploie plus rarement le terme « croûtenard », qui a pourtant l'avantage d'être plus précis4. Cette pratique était notamment répandue à Paris et à Marseille jusque dans les années 1960-70, et on y trouve plusieurs références dans la littérature populaire de l'époque.
Il existe également une pratique alternative, qui consiste à boucher volontairement un urinoir et d'attendre qu'il se remplisse. L'individu urine ensuite lui-même dedans en submergeant totalement son pénis dans l'urine des précédents usagers, d'où l'expression la plus fréquente, « faire trempette ».
ça doit etre surement un prof, je ne vois pas un collégien faire ça
Naloh
2021-05-14 18:21:33
Perso je le volait c'était tellement bonhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/53/6/1609595374-laddbent-oups.png
Bonjourouimerci
2021-05-14 18:21:54
Le 14 mai 2021 à 18:17:40 :
Le terme soupeur désigne ainsi tout d'abord des individus qui éprouvent du plaisir à manger de la nourriture imbibée de l'urine d'autrui, notamment du pain abandonné volontairement dans des urinoirs publics (vespasiennes2) puis récupéré pour être consommé1 (il était parfois attaché par une ficelle3). On emploie plus rarement le terme « croûtenard », qui a pourtant l'avantage d'être plus précis4. Cette pratique était notamment répandue à Paris et à Marseille jusque dans les années 1960-70, et on y trouve plusieurs références dans la littérature populaire de l'époque.
Il existe également une pratique alternative, qui consiste à boucher volontairement un urinoir et d'attendre qu'il se remplisse. L'individu urine ensuite lui-même dedans en submergeant totalement son pénis dans l'urine des précédents usagers, d'où l'expression la plus fréquente, « faire trempette ».
Tout bonnement horrible
papyvoyeur2
2021-05-14 18:22:53
y'a énormément de soupeur dans l'éducation nationale
Aspergeai
2021-05-14 18:22:53
Le 14 mai 2021 à 18:21:33 Naloh a écrit :
Perso je le volait c'était tellement bonhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/53/6/1609595374-laddbent-oups.png
Le pire c'était ceux qui le volait juste pour faire chier, pas pour le bouffer, les pires raclures que l'humanité à vu naîtrehttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/51/1482439995-filloncolererisitassticker.png
Saintcool
2021-05-14 18:23:01
Le lobby des soupeurs est très présent chez les pions de collèges/lycées hein
Même parfois ils s'arrangent avec les profs soupeurs
Deconnetable
2021-05-14 18:23:02
Ok
J'ai attendu d'avoir 30 ans pour savoir que je donnais ma pisse à un zinzolin
Nihilus666
2021-05-14 18:23:14
Les Soupeurs
C'est vraiment une bonne bande de potes et de bons vivants
papyvoyeur2
2021-05-14 18:24:05
Personnages délurés nés d’un fétichisme pour les toilettes publiques, les croûtenards n’ont pourtant qu’un hobby simple : tremper du pain dans l’urine pour ensuite le déguster copieusement. Des vespasiennes d’époque aux urinoirs douteux de la Gare du Nord, rencontre avec ces rôdeurs de pissotières aux habitudes boulangères.
« Son truc c’était les pissotières et surtout les croûtes de pain qui trempent dans les grilles ». Dès 1936, la prose saignante de Louis-Ferdinand Céline gonflait les pages de Mort à Crédit d’un constat intriguant : il se passe quelque chose d’étrange autour des urinoirs. Pourtant, adossée au mur rugueux de la prison de la santé, la dernière pissotière à l’ancienne de la capitale semble aujourd’hui oubliée de tous et bien peu sont ceux qui remarquent désormais ce curieux monument autrefois nommé « vespasienne ». Construit en 1834 afin d’améliorer l’hygiène publique de la ville, ces urinoirs aux cloisons vert sombre sont pourtant rapidement devenus l’un des points de rendez-vous secret du monde homosexuel et de la prostitution masculine. Surnommées les « baies » ou les « tasses », les vespasiennes offraient suffisamment d’intimité pour que s’y nouent les amours anonymes et parfois tarifées.
https://www.lesinrocks.com/actu/qui-sont-les-croutenards-ces-marginaux-qui-trempent-leur-pain-dans-les-urinoirs-101243-21-12-2014/
CHANCLATORISSOU
2021-05-14 18:24:45
Les soupeurshttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/44/4/1541067075-hdl.png
papyvoyeur2
2021-05-14 18:24:56
Au milieu de cette faune interlope, il n’était pas rare de croiser alors un autres type de personnage rodant mystérieusement autour des pissotières : les croûtenards. Aussi appelés « soupeurs », ces individus marginaux répétaient généralement le même rituel, déposant au matin du pain dur dans les urinoirs et venant le soir récupérer et manger leurs croûtons imbibés par l’urine des inconnus. Évoqués brièvement dans certains livres de Jean Genet, Albert Simonin ou Auguste Le Breton, les soupeurs ont souvent pris les allures d’une légende urbaine autant que d’un mythe relayé par la littérature et son goût pour les marges. D’autant plus qu’à partir de 1961, en raison de la mauvaise fréquentation de ces pissotières publiques, la mairie de Paris décide de la suppression progressive des vespasiennes au profit des sanisettes, plus propres et adaptées aux besoins féminins. Peu à peu, les croûtenards perdent donc leur point de rendez-vous privilégié en même temps que le lieu de leur fascination.
Devenu spécialiste du sujet via le blog Croutenardland qu’il a un temps tenu, Emmanuel Villemin a eu l’occasion, au hasard de soirées dans des bars, de rencontrer quelques-uns de ces croûtenards déboussolés par la disparition des vespasiennes. Aujourd’hui, tout en gardant minutieusement l’anonymat de ses sources, il raconte en détails comment s’est créé dans le Paris des année 70 un groupe de néo-croutenards s’autodéfinissant comme des « traîne-pissotières
Gin__sym
2021-05-14 18:25:30
Pain de Naruto ?
papyvoyeur2
2021-05-14 18:25:50
Chacun fait ça dans son coin »
Au fil du temps, le gang des papis croûtenards a même appris à connaître les adresses de boulangeries dont le pain se désagrège moins vite sous l’effet de l’urine, ou à développer différentes techniques dont la plus surprenante est celle qui consiste à congeler son pain avant de le déposer, puis de revenir sucer le croûton encore gelé et imbibé d’urine.