La FRAGILITE des étudiants on en TALK?

Le monde est binaire . T'es un zéro ou un un .

Le 15 janvier 2021 à 23:00:26 BedTrautiganBis a écrit :
Ca dépend. Qu'ils dépriment parce qu'ils voient plus grand-monde et que c'est dur de suivre les cours en distanciel (c'est pas très adapté), ok, je le comprends totalement. Mais ceux qui chialent parce qu'ils peuvent plus faire la fête, boire de l'alcool et aller dans les bars ... là oui, je trouve ça ridicule. Je sais pas si c'est moi qui suis devenu "vieux jeu", mais j'ai l'impression que la priorité des jeunes, aujourd'hui, c'est de faire la fête (après certes je n'ai jamais été dans ce trip-là).

les jeunes actuels font beaucoup moins la fête que les 80 dernières années, qu'est ce que tu racontes avec les jeunes d'aujourd'hui

Bordel mais c'est pas parce que vous n'aimez pas faire la fête que personne n'aime. C'est dingue de systématiquement juger les gens.

Tout l'inverse de moi

Mais toi l'auteur tu es un putain de desco pk tu l'ouvres ?

GROS JE SUIS ÉTUDIANT ET J; AI HONTE

ces cassos quand meme, j'espere que le confinement va durer bien longtemps naturelle sera la sélection de ces fragiles

Je vous trouve dur avec eux. N'importe qui pète les plombs enfermé dans un studio à travailler ses cours sur ordinateur. En plus de ça, leur avenir n'est pas garantit. Comment vous pouvez garder la motivation quand vous savez pas du tout où vos études vont vous emmener ?
Alors évidemment ya toujours des gens pour dire "oui mais dans les tranchées en 1914 c'était pire que ça" mais on peut pas comparer ce genre de choses. La souffrance c'est un ressenti on peut pas nier un ressenti. Les mecs dans les tranchées ils étaient pas isolés comme eux le sont actuellement.
Maintenant que les hommes étudiants se plaignent je peux comprendre, mais les meufs avec trois clics sur Tinder elles peuvent avoir de la compagnie à revendre, donc pour moi les seuls qui ont le droit de se plaindre c'est les étudiants célestins qui sont 5/10 et moins.

Le 15 janvier 2021 à 23:02:39 SherylLee a écrit :

Le 15 janvier 2021 à 22:59:00 helppophip2 a écrit :
J'ai vu ça au infos. Des tzrlouzes de licences d'histoires et de droit . Que veux tu . La sélection se fera par la suite .

Ouais enfin la sélection visiblement elle a déjà eu lieu chez vous : moche, puceau, sans descendance et déscolariséhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494048058-pppppppppppppppppppp.png

La violence

Le 15 janvier 2021 à 23:03:42 tycho-brahe a écrit :

Le 15 janvier 2021 à 23:00:26 BedTrautiganBis a écrit :
Ca dépend. Qu'ils dépriment parce qu'ils voient plus grand-monde et que c'est dur de suivre les cours en distanciel (c'est pas très adapté), ok, je le comprends totalement. Mais ceux qui chialent parce qu'ils peuvent plus faire la fête, boire de l'alcool et aller dans les bars ... là oui, je trouve ça ridicule. Je sais pas si c'est moi qui suis devenu "vieux jeu", mais j'ai l'impression que la priorité des jeunes, aujourd'hui, c'est de faire la fête (après certes je n'ai jamais été dans ce trip-là).

les jeunes actuels font beaucoup moins la fête que les 80 dernières années, qu'est ce que tu racontes avec les jeunes d'aujourd'hui

-> qu'est-ce que tu en sais ? sources ? stats ? sondages ? études socio' ?

Bordel mais c'est pas parce que vous n'aimez pas faire la fête que personne n'aime. C'est dingue de systématiquement juger les gens.

-> Rassure-toi Corentin, personne n'a dit le contraire. J'ai précisé que je n'étais pas dans ce genre de trips (fêtes, alcool etc), j'ai jamais accroché. Mais je n'ai jamais dit que, parce que moi je n'aimais pas la fête, les gens devaient forcément ne pas aimer aussi hein.

Signé Jean-Desco-RSA

Il va sans dire que votre forfanterie éveille la sollicitude de la populace, il convient néanmoins d'éclaircir au préalable votre patronyme.https://image.noelshack.com/fichiers/2020/29/2/1594687572-1594661152-magik-4-removebg-preview.png

Il s'avère en effet que nul céans n'eut la connaissance intuitive à postériori de votre présence inopinée au sein de notre assemblée.https://image.noelshack.com/fichiers/2020/29/2/1594687572-1594661152-magik-4-removebg-preview.png

C'eût-il pu que votre immixtion parmi nous n'eut été motivée que par le désir inconditionnel de reconnaissance qui vous caractérise ?https://image.noelshack.com/fichiers/2020/29/2/1594687572-1594661152-magik-4-removebg-preview.png

L'incommodité ambiante résultant de la maladresse inhérente à votre personne nous contraint à solliciter votre départ promptement.https://image.noelshack.com/fichiers/2020/29/2/1594687572-1594661152-magik-4-removebg-preview.png

En vertu de notre allocentrisme hiératique, il nous incombe cependant de souhaiter solennellement accalmie et quiétude à votre âme.https://image.noelshack.com/fichiers/2020/29/2/1594687572-1594661152-magik-4-removebg-preview.png

Moi je suis étudiante aussi

J'étais en PACES l'année dernière, année pendant laquelle on est enfermés seuls à bachoter, on a eu un mois de + avant le concours, puis là je suis en deuxième année de médecine.
Les stages sont pour la plupart annulés, la médecine pour nous= apprendre des polys indigestes et se faire interroger sur des détails insignifiants par les profs qui pensent qu'on a plus de temps pour travailler. On ne connait absolument pas notre promo.

J'ai l'impression que j'ai fini le lycée puis que ma vie s'est arrêtée, alors que ça fait un an et demi .
J'ai de la chance chez mes parents mais bon nombre des gens de ma promo sont seuls dans leur appartement de 10m carrés. Toutes les perspectives de départ à l'étranger sont au point mort.

La pression des concours est encore plus terrible qu'à l'habitude pour les PACES de cette année.

La promesse de vie sociale, d'amusements qui me permettait de tenir l'année dernière n'est pas tenue. Je ne rencontre pas de nouvelles personnes, je ne fréquente pas de personnes de mon âge puisque je reste à la maison.

Même le simple fait d'aller à la fac, en BU, de croiser ses amis, de prendre un café avec eux, c'est impossible. Or ce sont les années faites pour cela. Dans un an et demi je serai externe, sans avoir l'impression d'avoir vécu avant.
L'angoisse de ne rien connaître, d'être emprisonné à 2O ans alors que c'est le moment de vivre de nouvelles choses, c'est difficile. La solitude, la pauvreté de certains étudiants, c'est encore pire. La pression des examens, l'angoisse de l'avenir incertains, c'est difficile à supporter dans ces conditions;

Evidemment il y a pire, mais c'est difficile, surtout après un an, surtout pour ceux qui de base sont moins privilégiés.
Oui y'a des gens qui meurent de faim, qui ont des maladies graves, qui subissent la guerre mais c'est pas pour autant qu'il faut mépriser les problèmes qui paraissent moins graves.

Le 15 janvier 2021 à 22:59:42 PourceMaxiaume a écrit :
Sous anti-dépresseurs et toi ?https://image.noelshack.com/fichiers/2020/38/1/1600113751-risitas3-hd-altieri.jpg

Pourquoi ?

3 mois je suis pas sorti j'ai go dépression et on me demande de faire des examens

Mais non on se fait pas entuber

Le 15 janvier 2021 à 23:23:37 amypond1801 a écrit :
Moi je suis étudiante aussi

J'étais en PACES l'année dernière, année pendant laquelle on est enfermés seuls à bachoter, on a eu un mois de + avant le concours, puis là je suis en deuxième année de médecine.
Les stages sont pour la plupart annulés, la médecine pour nous= apprendre des polys indigestes et se faire interroger sur des détails insignifiants par les profs qui pensent qu'on a plus de temps pour travailler. On ne connait absolument pas notre promo.

J'ai l'impression que j'ai fini le lycée puis que ma vie s'est arrêtée, alors que ça fait un an et demi .
J'ai de la chance chez mes parents mais bon nombre des gens de ma promo sont seuls dans leur appartement de 10m carrés. Toutes les perspectives de départ à l'étranger sont au point mort.

La pression des concours est encore plus terrible qu'à l'habitude pour les PACES de cette année.

La promesse de vie sociale, d'amusements qui me permettait de tenir l'année dernière n'est pas tenue. Je ne rencontre pas de nouvelles personnes, je ne fréquente pas de personnes de mon âge puisque je reste à la maison.

Même le simple fait d'aller à la fac, en BU, de croiser ses amis, de prendre un café avec eux, c'est impossible. Or ce sont les années faites pour cela. Dans un an et demi je serai externe, sans avoir l'impression d'avoir vécu avant.
L'angoisse de ne rien connaître, d'être emprisonné à 2O ans alors que c'est le moment de vivre de nouvelles choses, c'est difficile. La solitude, la pauvreté de certains étudiants, c'est encore pire. La pression des examens, l'angoisse de l'avenir incertains, c'est difficile à supporter dans ces conditions;

Evidemment il y a pire, mais c'est difficile, surtout après un an, surtout pour ceux qui de base sont moins privilégiés.
Oui y'a des gens qui meurent de faim, qui ont des maladies graves, qui subissent la guerre mais c'est pas pour autant qu'il faut mépriser les problèmes qui paraissent moins graves.

merci pour le fou rire

fake j'ai pas lu ton pavé

Je bosse comme un chien depuis le confinement perso, J'échange ma place avec vous les fragilux