Le 05 novembre 2019 à 03:32:10 BB_Richelieu a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:30:42 Alysrazor a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:26:29 BB_Richelieu a écrit :
La disphorie de genre est une maladie mentale. C'est littéralement un état qui te fait croire que tu n'es pas dans le bon corps. J'ai connu des gens comme ça, ils sont torturés h24 par leur situationSauf que au lieu de la soigner ou d'essayer de lutter contre elle, on leur fait croire qu'il suffit de se considéré homme ou femme pour l'être.
Sauf que ça marche pas, et le taux de suicides des individus "trans" ne change absolument pas avant et après la transition
La dysphorie de genre est une maladie qui ne se soigne que d'une seule manière : en devenant ce qu'elle t'impose. Les trans qui se suicident post-opération sont des gens insatisfaits du résultat, pas convaincus. Au final, c'est comme ceux qui se suicident avant : ils se voient (toujours) dans le mauvais corps.
Sauf que tu ne pourra jamais devenir ce qu'elle t'impose.
Tes gènes sont immuables.
Heureusement ce n'est pas une requête génétique, mais une requête de l'apparence et du ressenti. Il suffit que ce soit assez réaliste pour que la personne y croit, et ça suffira Donc changer de sexe reste le moyen le plus rapide de traiter ce problème.
[03:32:10] <BB_Richelieu>
Le 05 novembre 2019 à 03:30:42 Alysrazor a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:26:29 BB_Richelieu a écrit :
La disphorie de genre est une maladie mentale. C'est littéralement un état qui te fait croire que tu n'es pas dans le bon corps. J'ai connu des gens comme ça, ils sont torturés h24 par leur situationSauf que au lieu de la soigner ou d'essayer de lutter contre elle, on leur fait croire qu'il suffit de se considéré homme ou femme pour l'être.
Sauf que ça marche pas, et le taux de suicides des individus "trans" ne change absolument pas avant et après la transition
La dysphorie de genre est une maladie qui ne se soigne que d'une seule manière : en devenant ce qu'elle t'impose. Les trans qui se suicident post-opération sont des gens insatisfaits du résultat, pas convaincus. Au final, c'est comme ceux qui se suicident avant : ils se voient (toujours) dans le mauvais corps.
Sauf que tu ne pourra jamais devenir ce qu'elle t'impose.
Tes gènes sont immuables.
Tu restes scientifiquement un homme mais tu peux demander à ce qu'on t'appelle Madame / Mademoiselle
L'inverse marche aussi.
Le 05 novembre 2019 à 03:33:17 Alysrazor a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:32:10 BB_Richelieu a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:30:42 Alysrazor a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:26:29 BB_Richelieu a écrit :
La disphorie de genre est une maladie mentale. C'est littéralement un état qui te fait croire que tu n'es pas dans le bon corps. J'ai connu des gens comme ça, ils sont torturés h24 par leur situationSauf que au lieu de la soigner ou d'essayer de lutter contre elle, on leur fait croire qu'il suffit de se considéré homme ou femme pour l'être.
Sauf que ça marche pas, et le taux de suicides des individus "trans" ne change absolument pas avant et après la transition
La dysphorie de genre est une maladie qui ne se soigne que d'une seule manière : en devenant ce qu'elle t'impose. Les trans qui se suicident post-opération sont des gens insatisfaits du résultat, pas convaincus. Au final, c'est comme ceux qui se suicident avant : ils se voient (toujours) dans le mauvais corps.
Sauf que tu ne pourra jamais devenir ce qu'elle t'impose.
Tes gènes sont immuables.
Heureusement ce n'est pas une requête génétique, mais une requête de l'apparence et du ressenti. Il suffit que ce soit assez réaliste pour que la personne y croit, et ça suffira Donc changer de sexe reste le moyen le plus rapide de traiter ce problème.
Oui, et il suffira qu'il essaie de s'engager dans une relation et la réalité va tout de suite le rattraper à vitesse grand V
Par contre, de ce que je vois dans mes fréquentations personnelles, je ne connais que 2 personnes concernées par ces questions, et elles ont toutes les deux de graves troubles psys (une qui a fait de l'anorexie, des tentatives de suicide, et des séjours plus ou moins prolongés à l’hôpital, l'autre dont je vous ai parlé page 1 qui n'a jamais été à l’hôpital mais qui enchaîne les psychologues et qui fait souvent des crises de dysphorie de genre).
Si on est un peu honnête avec soi-même, et pour peu qu'on ait connu des personnes concernées par ces questions IRL, on ne peut s’empêcher de se questionner sur l'aspect pathologique de la question : est-ce que c'est une maladie mentale ?
Le 05 novembre 2019 à 03:33:45 TT213 a écrit :
[03:32:10] <BB_Richelieu>
Le 05 novembre 2019 à 03:30:42 Alysrazor a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:26:29 BB_Richelieu a écrit :
La disphorie de genre est une maladie mentale. C'est littéralement un état qui te fait croire que tu n'es pas dans le bon corps. J'ai connu des gens comme ça, ils sont torturés h24 par leur situationSauf que au lieu de la soigner ou d'essayer de lutter contre elle, on leur fait croire qu'il suffit de se considéré homme ou femme pour l'être.
Sauf que ça marche pas, et le taux de suicides des individus "trans" ne change absolument pas avant et après la transition
La dysphorie de genre est une maladie qui ne se soigne que d'une seule manière : en devenant ce qu'elle t'impose. Les trans qui se suicident post-opération sont des gens insatisfaits du résultat, pas convaincus. Au final, c'est comme ceux qui se suicident avant : ils se voient (toujours) dans le mauvais corps.
Sauf que tu ne pourra jamais devenir ce qu'elle t'impose.
Tes gènes sont immuables.
Tu restes scientifiquement un homme mais tu peux demander à ce qu'on t'appelle Madame / Mademoiselle
L'inverse marche aussi.
Tu peux demander oui.
Mais ne va pas faire chier les autres si il acceptent pas de te considérer comme tel étant donné que tu ne respecte pas la définition de cette appelation
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti.
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti.
"Les transgenres se sentent comme le sexe opposé" non, ils rejettent surtout la correspondance sexe qu'ils ont/comportements attendus de par ce sexe. Mon amie se définit comme transgenre alors qu'elle ne voudrait pas être un mec, mais elle ne veut pas être une meuf non plus, il n'y a juste pas de troisième sexe...
Le 05 novembre 2019 à 03:37:01 DemantaRemoraid a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti."Les transgenres se sentent comme le sexe opposé" non, ils rejettent surtout la correspondance sexe qu'ils ont/comportements attendus de par ce sexe
ouais je pense surtout comme ça moi
[03:35:23] <BB_Richelieu>
Le 05 novembre 2019 à 03:33:45 TT213 a écrit :
[03:32:10] <BB_Richelieu>
Le 05 novembre 2019 à 03:30:42 Alysrazor a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:26:29 BB_Richelieu a écrit :
La disphorie de genre est une maladie mentale. C'est littéralement un état qui te fait croire que tu n'es pas dans le bon corps. J'ai connu des gens comme ça, ils sont torturés h24 par leur situationSauf que au lieu de la soigner ou d'essayer de lutter contre elle, on leur fait croire qu'il suffit de se considéré homme ou femme pour l'être.
Sauf que ça marche pas, et le taux de suicides des individus "trans" ne change absolument pas avant et après la transition
La dysphorie de genre est une maladie qui ne se soigne que d'une seule manière : en devenant ce qu'elle t'impose. Les trans qui se suicident post-opération sont des gens insatisfaits du résultat, pas convaincus. Au final, c'est comme ceux qui se suicident avant : ils se voient (toujours) dans le mauvais corps.
Sauf que tu ne pourra jamais devenir ce qu'elle t'impose.
Tes gènes sont immuables.
Tu restes scientifiquement un homme mais tu peux demander à ce qu'on t'appelle Madame / Mademoiselle
L'inverse marche aussi.
Tu peux demander oui.
Mais ne va pas faire chier les autres si il acceptent pas de te considérer comme tel étant donné que tu ne respecte pas la définition de cette appelation
Bah ca fait chier, certains s'en foutent la majorité veulent qu'on les considèrent comme ils ont envie d'être considéré
D'où les "Je suis un hélicoptère apache" qu'on voit à peu près partout
[03:37:01] <DemantaRemoraid>
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti."Les transgenres se sentent comme le sexe opposé" non, ils rejettent surtout la correspondance sexe qu'ils ont/comportements attendus de par ce sexe. Mon amie se définit comme transgenre alors qu'elle ne voudrait pas être un mec, mais elle ne veut pas être une meuf non plus, il n'y a juste pas de troisième sexe...
Ca c'est non binaire.
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti.
De toute facon les LGBTQ+ ils sont a peu prés tous sur la même longueur d'onde par rapport a la théorie du genre non?
Le 05 novembre 2019 à 03:38:44 TT213 a écrit :
[03:37:01] <DemantaRemoraid>
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti."Les transgenres se sentent comme le sexe opposé" non, ils rejettent surtout la correspondance sexe qu'ils ont/comportements attendus de par ce sexe. Mon amie se définit comme transgenre alors qu'elle ne voudrait pas être un mec, mais elle ne veut pas être une meuf non plus, il n'y a juste pas de troisième sexe...
Ca c'est non binaire.
Mais en fait ces deux termes ne s'excluent pas, une personne qui se définit comme non binaire est par essence transgenre, mais l'inverse n'est pas forcément vrai : on peut être transgenre (c'est-à-dire ne pas se sentir femme alors qu'on est dans un corps de femme) tout en trouvant la division des genres pertinente (les femmes sont douces, les hommes sont forts, on me demande à moi d’être douce alors que je veux être fort, donc je veux être un garçon)
Le 05 novembre 2019 à 03:37:01 DemantaRemoraid a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti."Les transgenres se sentent comme le sexe opposé" non, ils rejettent surtout la correspondance sexe qu'ils ont/comportements attendus de par ce sexe. Mon amie se définit comme transgenre alors qu'elle ne voudrait pas être un mec, mais elle ne veut pas être une meuf non plus, il n'y a juste pas de troisième sexe...
À-t-elle le syndrome de klinfelter ? De Turner ? Le syndrome 47?
Si la réponse à tout cela est non alors son sexe est défini depuis sa naissance et elle ne pourra jamais rien y changer.
C'est une femme
Le 05 novembre 2019 à 03:38:13 TT213 a écrit :
[03:35:23] <BB_Richelieu>
Le 05 novembre 2019 à 03:33:45 TT213 a écrit :
[03:32:10] <BB_Richelieu>
Le 05 novembre 2019 à 03:30:42 Alysrazor a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:26:29 BB_Richelieu a écrit :
La disphorie de genre est une maladie mentale. C'est littéralement un état qui te fait croire que tu n'es pas dans le bon corps. J'ai connu des gens comme ça, ils sont torturés h24 par leur situationSauf que au lieu de la soigner ou d'essayer de lutter contre elle, on leur fait croire qu'il suffit de se considéré homme ou femme pour l'être.
Sauf que ça marche pas, et le taux de suicides des individus "trans" ne change absolument pas avant et après la transition
La dysphorie de genre est une maladie qui ne se soigne que d'une seule manière : en devenant ce qu'elle t'impose. Les trans qui se suicident post-opération sont des gens insatisfaits du résultat, pas convaincus. Au final, c'est comme ceux qui se suicident avant : ils se voient (toujours) dans le mauvais corps.
Sauf que tu ne pourra jamais devenir ce qu'elle t'impose.
Tes gènes sont immuables.
Tu restes scientifiquement un homme mais tu peux demander à ce qu'on t'appelle Madame / Mademoiselle
L'inverse marche aussi.
Tu peux demander oui.
Mais ne va pas faire chier les autres si il acceptent pas de te considérer comme tel étant donné que tu ne respecte pas la définition de cette appelation
Bah ca fait chier, certains s'en foutent la majorité veulent qu'on les considèrent comme ils ont envie d'être considéré
D'où les "Je suis un hélicoptère apache" qu'on voit à peu près partout
Ca fait chier mais c'est la vie.
La vie ne va pas toujours dans le sens de nos caprices.
[03:40:52] <DemantaRemoraid>
Le 05 novembre 2019 à 03:38:44 TT213 a écrit :
[03:37:01] <DemantaRemoraid>
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti."Les transgenres se sentent comme le sexe opposé" non, ils rejettent surtout la correspondance sexe qu'ils ont/comportements attendus de par ce sexe. Mon amie se définit comme transgenre alors qu'elle ne voudrait pas être un mec, mais elle ne veut pas être une meuf non plus, il n'y a juste pas de troisième sexe...
Ca c'est non binaire.
Mais en fait ces deux termes ne s'excluent pas, une personne qui se définit comme non binaire est par essence transgenre, mais l'inverse n'est pas forcément vrai : on peut être transgenre (c'est-à-dire ne pas se sentir femme alors qu'on est dans un corps de femme) tout en trouvant la division des genres pertinente (les femmes sont douces, les hommes sont forts, on me demande à moi d’être douce alors que je veux être fort, donc je veux être un garçon)
Transgenre te casses pas le cu, c'est juste qqun qui s'associe pas à son corps d'origine.
[03:42:27] <BB_Richelieu>
Le 05 novembre 2019 à 03:38:13 TT213 a écrit :
[03:35:23] <BB_Richelieu>
Le 05 novembre 2019 à 03:33:45 TT213 a écrit :
[03:32:10] <BB_Richelieu>
Le 05 novembre 2019 à 03:30:42 Alysrazor a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:26:29 BB_Richelieu a écrit :
La disphorie de genre est une maladie mentale. C'est littéralement un état qui te fait croire que tu n'es pas dans le bon corps. J'ai connu des gens comme ça, ils sont torturés h24 par leur situationSauf que au lieu de la soigner ou d'essayer de lutter contre elle, on leur fait croire qu'il suffit de se considéré homme ou femme pour l'être.
Sauf que ça marche pas, et le taux de suicides des individus "trans" ne change absolument pas avant et après la transition
La dysphorie de genre est une maladie qui ne se soigne que d'une seule manière : en devenant ce qu'elle t'impose. Les trans qui se suicident post-opération sont des gens insatisfaits du résultat, pas convaincus. Au final, c'est comme ceux qui se suicident avant : ils se voient (toujours) dans le mauvais corps.
Sauf que tu ne pourra jamais devenir ce qu'elle t'impose.
Tes gènes sont immuables.
Tu restes scientifiquement un homme mais tu peux demander à ce qu'on t'appelle Madame / Mademoiselle
L'inverse marche aussi.
Tu peux demander oui.
Mais ne va pas faire chier les autres si il acceptent pas de te considérer comme tel étant donné que tu ne respecte pas la définition de cette appelation
Bah ca fait chier, certains s'en foutent la majorité veulent qu'on les considèrent comme ils ont envie d'être considéré
D'où les "Je suis un hélicoptère apache" qu'on voit à peu près partout
Ca fait chier mais c'est la vie.
La vie ne va pas toujours dans le sens de nos caprices.
C'est pas juste un caprice.
Le 05 novembre 2019 à 03:41:03 BB_Richelieu a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:37:01 DemantaRemoraid a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti."Les transgenres se sentent comme le sexe opposé" non, ils rejettent surtout la correspondance sexe qu'ils ont/comportements attendus de par ce sexe. Mon amie se définit comme transgenre alors qu'elle ne voudrait pas être un mec, mais elle ne veut pas être une meuf non plus, il n'y a juste pas de troisième sexe...
À-t-elle le syndrome de klinfelter ? De Turner ? Le syndrome 47?
Si la réponse à tout cela est non alors son sexe est défini depuis sa naissance et elle ne pourra jamais rien y changer.
C'est une femme
Oui d'accord, mais du coup je lui dis quoi en tant qu'ami : tu es une malade mentale, et ta maladie mentale ne pourra jamais être soignée ? On pourrait résumer tout le problème de la transidentité par cette problématique là : et si les gender studies n'existaient que par difficulté morale et éthique à annoncer à toute une partie de la population qu'elle est malade mentale (et a priori incurable) ?
On entend parfois les trans (femme a homme) dire "j'avais une mentalité de bonhomme" on est d'accord que cette phrase rejette la théorie du genre? Puisque tu cale des attributs a un sexe
Le 05 novembre 2019 à 03:38:53 pronoduturfu3 a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti.De toute facon les LGBTQ+ ils sont a peu prés tous sur la même longueur d'onde par rapport a la théorie du genre non?
je suis gay et je ne crois absolument pas à la théorie du genre perso
Un homme et une femme, c'est biologique point, le reste relève du délire pour moi