Le 13 octobre 2021 à 10:19:39 :
Le 12 octobre 2021 à 23:54:55 :
Intello, tu forces trop, c'est naze ces fakes.Je post des fakes uniquement pour ne pas faire bider le topic
Il suffit de upper et d'effacer ses UPs
Les fakes c'est de la merde
Ou alors faut un topic fictions
Le 13 octobre 2021 à 10:20:35 :
Je m'installe avec un café pour tout lire
Je suis ta tasse et je confirme
J'avais posté une première histoire qui m'est arrivée, en page 13
J'écris la deuxième et je la post
J'habite en Belgique et quand j'etais ado j'ecoutais en douce la radio sur mon radio reveil la nuit. Il y avait les libre antenne etc et un jour Guillaume Pley remplaca MIKL sur les ondes de la Belgique... Durant cette carrière Guillaume avait invité une spécialiste du paranormal a l'antenne pour une soirée special paranormal, a un moment ils ont fait une seance de spiritisme... L'ambiance etait calme et tout et la femme commenca a invoqué des esprits en demandant des signe ou en posant des question et a un moment il y a eu des interference et apres une des questions on a pu entendre un "oui" avec une voix de femme totalement differente... L'invitée a continué son truc comme si de rien était et au bout d'un moment Guillaume a reagis car une vague de sms avait parlé du fameux "oui" alors que lui et l'invité ne savait meme pas pour les interference et n'ont rien entendu...
C'etait il y a des années et depuis guillaume a deja dit une fois ou deux qu'il n'avait jamais vécu de truc paranormal alors que les interference ont durée 2-3 jours apres ca et meme des bug dans les lancement de pub ou de chanson etc... Soit c etait fake, soit il a oublié, mais toujours est-il que je m'en souviendrai toute ma vie
L'histoire se passe en 2015 et se déroule sur Angoulême
Avec ma meuf, on doit aller là-bas faire une soirée d'anniversaire dans une salle des fêtes. Après la fête, on ira dormir dans un appartement en centre-ville où on ne sera que tous les 2 (ou presque )
La grand-mère de la pote à qui on fêtait l'anniversaire est proprio de plusieurs appartements d'un immeuble, et ils nous le prêtent pour la nuit. Un autre couple d'ami dormira dans un appartement 2 étages au dessus.
On arrive sur Angoulême l'après-midi, et on va direct à l'apparte pour poser nos affaires et se préparer.
Déjà, on n'aime pas le lieu. L'ambiance est lourde, pesante. Y a comme un malaise et on arrive pas à expliquer pourquoi, on le ressent tous les 2.
Page 13, j'explique que j'ai une sensibilité à ce genre de choses depuis l'enfance. Je vous invite à aller lire si jamais
Dans ce lieu, je ne peux pas regarder un seul meuble, un mur ou entrer dans une pièce sans avoir l'impression que quelqu'un me fixe du regard dans un coin. J'ai ce sentiment de ne pas être à ma place, pas le bienvenue. J'ai comme un étau qui me serra la tête, et des vertiges par moment.
Pendant que ma copine se prépare dans la salle de bain, je suis assis seul dans le salon, et je ne peux m'empêcher de regarder la cuisine, de là où je suis. Cette cuisine est un petit "couloir" avec au centre une table et une chaise au bout. Je regarde cette chaise, et j'arrive pas à regarder autre part. Comme si je faisais une bataille de regard avec quelqu'un, sauf que y a personne
On part ensuite à la soirée qui a lieu a quelques kilomètres et on passe vite à autre chose. Tout se déroule bien, et on part vers 1h du matin avec nos deux amis qui eux dormiront 2 étages au dessus.
Pour info, je n'ai pas bu d'alcool de la soirée et je n'ai rien consommé du tout à part un peu de tabac.
On fume une dernière clope avec nos potes sur le balcon de leur appartement, ensuite on retourne au notre pour aller se coucher.
Dès qu'on entre, on se ressent mal et on aime pas du tout être ici. On part tout dans la chambre pour aller se coucher, sans passer par la case toilettes ou salles de bain. On a presque hésité à demander à nos potes de squatter chez eux, tellement le malaise est grand.
On met un peu de temps à s'endormir, on discute et on passe le temps (). Vers 2-3h du matin, alors que le sommeil nous a presque attrapé, ma meuf à grand soif et veut que j’aille lui chercher un verre d'eau. Et qui dit verre d'eau, dit cuisine. Elle veut pas y aller car elle a vraiment la trouille de l'appartement.
En tant que gentleman fort et courageux (faux je me pisse littéralement dans le slibard) j'y vais.
S'en suit une des expériences les plus effrayantes de ma vie.
Déjà, je ne sais pas si c'est le stress, la peur ou la fatigue mais je ne trouve pas le putain d'interrupteur pour la lumière, alors je me fis à la seule lumière de la nuit, car à part la chambre, les volets sont tous ouverts. On en ville, donc y a quelques lumières extérieurs qui me permettent de me repérer.
J'avance très très lentement, et toutes les sensations lourdes et pesantes ressenties l'après-midi sont décuplées, car je suis seul et dans le noir. Je mets quelques secondes à traverser le couloir pour arriver au salon, mais ces secondes me paraissent infinissables.
Une fois dans le salon, je fais face à la cuisine. Je suis tétanisé et je ne peux plus bouger.
Je vois la table, la lumière éclaire 3/4 de la table, le dernier quart est dans le noir, c'est-à-dire que la partie avec la chaise est dans l'obscurité.
Je vois une "ombre". Mais c'est pas juste une ombre, c'est une personne mais toute noire et grise (comme un noir et blanc très sombre). Je la vois à peine car elle est assise sur la chaise. Mais je suis sur d'une chose, ça ressemble trait pour trait à une putain de vieille femme. Ce qui m'a confirmé ça, ce sont ses mains ridées, qui sont posées sur la partie éclairée de la table, et elle tapote des doigts sur la table en me regardant.
Bon, pour faire une parenthèse, comme je l'ai déjà expliqué ici, j'avais déjà vécu des choses étranges avant ça, mais jamais d'apparition aussi physique et claire que cette vieille.
Et bordel, jamais aussi menaçante. La sensation de mal-être de pas être le bienvenue était décuplé x1000. C'est comme ça me hurlait de partir.
Là je vous le raconte en détail, mais ça a duré grand max 10-15 secondes.
Dans ma tête c'était soit me barrer et m'enfermer dans la chambre, ce qui provoquerait une crise cardiaque à ma copine quand je lui expliquerait la situation Ou bien soit prendre ce fichu verre d'eau.
J'ai pris le verre
Je suis entré dans la cuisine, en avançant je ne voyais presque plus "l'entité" mais j'entendais encore ces ongles qui tapaient sur la table.
J'ai tourné le dos, pris un verre et je me suis barré rapidement dans la salle de bain pour prendre l'eau. J'ai allumé la lumière de la SDB, pour me rassurer, et j'ai apporté l'eau à ma meuf.
Je me souviens qu'elle ma dit "tu peux aller le reposer ?" car y avait pas de table de chevet (on dormait sur un matelas gonflable) et on voulait pas casser le verre en bougeant. Et j'ai dis "c'est mort je suis fatigué on verra ça demain, et j'ai été posé le verre par terre dans un coin de la chambre
Je me suis endormit presque aussitôt, en faite avec l'adrénaline, mon cerveau s'était déconnecté et ne pensait PAS DU TOUT à ce qui venait de se passer.
Le lendemain matin, on été toujours pas à l'aise, mais moi je faisais mine que ça allait. On est reparti, et j'ai attendu quelques jours avant d'en parler à ma copine. Elle m'a cru de suite, en faite elle n'a jamais rien ressenti d'aussi pesant que cette appartement (Si vous avez lu ma première histoire, vous savez qu'elle a pourtant grandit dans une maison pas ouf ).
Pendant les premiers mois qui ont suivit cette expérience, je ne faisais que d'y repenser à chaque fois que j'allais me coucher, ça me hantait l'esprit et j'en faisais des cauchemars. J'en étais rendu au point où plus j'y pensais plus j'avais l'impression que cette "vieille" était chez moi.
Voilà, aujourd'hui je m'en suis remis et je n'en ai plus peur mais ça m'a marqué
AYA on va pouvoir bientôt baiser des 8/10 déguisées en slut, grâce à nos déguisements qui cachent notre laideur
Ne manquez pas le train les Kheys, ça n'arrive qu'une fois par an
Cimer halloween putain
Le 13 octobre 2021 à 11:53:42 :
L'histoire se passe en 2015 et se déroule sur AngoulêmeAvec ma meuf, on doit aller là-bas faire une soirée d'anniversaire dans une salle des fêtes. Après la fête, on ira dormir dans un appartement en centre-ville où on ne sera que tous les 2 (ou presque )
La grand-mère de la pote à qui on fêtait l'anniversaire est proprio de plusieurs appartements d'un immeuble, et ils nous le prêtent pour la nuit. Un autre couple d'ami dormira dans un appartement 2 étages au dessus.On arrive sur Angoulême l'après-midi, et on va direct à l'apparte pour poser nos affaires et se préparer.
Déjà, on n'aime pas le lieu. L'ambiance est lourde, pesante. Y a comme un malaise et on arrive pas à expliquer pourquoi, on le ressent tous les 2.
Page 13, j'explique que j'ai une sensibilité à ce genre de choses depuis l'enfance. Je vous invite à aller lire si jamaisDans ce lieu, je ne peux pas regarder un seul meuble, un mur ou entrer dans une pièce sans avoir l'impression que quelqu'un me fixe du regard dans un coin. J'ai ce sentiment de ne pas être à ma place, pas le bienvenue. J'ai comme un étau qui me serra la tête, et des vertiges par moment.
Pendant que ma copine se prépare dans la salle de bain, je suis assis seul dans le salon, et je ne peux m'empêcher de regarder la cuisine, de là où je suis. Cette cuisine est un petit "couloir" avec au centre une table et une chaise au bout. Je regarde cette chaise, et j'arrive pas à regarder autre part. Comme si je faisais une bataille de regard avec quelqu'un, sauf que y a personne
On part ensuite à la soirée qui a lieu a quelques kilomètres et on passe vite à autre chose. Tout se déroule bien, et on part vers 1h du matin avec nos deux amis qui eux dormiront 2 étages au dessus.
Pour info, je n'ai pas bu d'alcool de la soirée et je n'ai rien consommé du tout à part un peu de tabac.On fume une dernière clope avec nos potes sur le balcon de leur appartement, ensuite on retourne au notre pour aller se coucher.
Dès qu'on entre, on se ressent mal et on aime pas du tout être ici. On part tout dans la chambre pour aller se coucher, sans passer par la case toilettes ou salles de bain. On a presque hésité à demander à nos potes de squatter chez eux, tellement le malaise est grand.
On met un peu de temps à s'endormir, on discute et on passe le temps (). Vers 2-3h du matin, alors que le sommeil nous a presque attrapé, ma meuf à grand soif et veut que j’aille lui chercher un verre d'eau. Et qui dit verre d'eau, dit cuisine. Elle veut pas y aller car elle a vraiment la trouille de l'appartement.En tant que gentleman fort et courageux (faux je me pisse littéralement dans le slibard) j'y vais.
S'en suit une des expériences les plus effrayantes de ma vie.
Déjà, je ne sais pas si c'est le stress, la peur ou la fatigue mais je ne trouve pas le putain d'interrupteur pour la lumière, alors je me fis à la seule lumière de la nuit, car à part la chambre, les volets sont tous ouverts. On en ville, donc y a quelques lumières extérieurs qui me permettent de me repérer.
J'avance très très lentement, et toutes les sensations lourdes et pesantes ressenties l'après-midi sont décuplées, car je suis seul et dans le noir. Je mets quelques secondes à traverser le couloir pour arriver au salon, mais ces secondes me paraissent infinissables.Une fois dans le salon, je fais face à la cuisine. Je suis tétanisé et je ne peux plus bouger.
Je vois la table, la lumière éclaire 3/4 de la table, le dernier quart est dans le noir, c'est-à-dire que la partie avec la chaise est dans l'obscurité.
Je vois une "ombre". Mais c'est pas juste une ombre, c'est une personne mais toute noire et grise (comme un noir et blanc très sombre). Je la vois à peine car elle est assise sur la chaise. Mais je suis sur d'une chose, ça ressemble trait pour trait à une putain de vieille femme. Ce qui m'a confirmé ça, ce sont ses mains ridées, qui sont posées sur la partie éclairée de la table, et elle tapote des doigts sur la table en me regardant.Bon, pour faire une parenthèse, comme je l'ai déjà expliqué ici, j'avais déjà vécu des choses étranges avant ça, mais jamais d'apparition aussi physique et claire que cette vieille.
Et bordel, jamais aussi menaçante. La sensation de mal-être de pas être le bienvenue était décuplé x1000. C'est comme ça me hurlait de partir.
Là je vous le raconte en détail, mais ça a duré grand max 10-15 secondes.Dans ma tête c'était soit me barrer et m'enfermer dans la chambre, ce qui provoquerait une crise cardiaque à ma copine quand je lui expliquerait la situation Ou bien soit prendre ce fichu verre d'eau.
J'ai pris le verre
Je suis entré dans la cuisine, en avançant je ne voyais presque plus "l'entité" mais j'entendais encore ces ongles qui tapaient sur la table.
J'ai tourné le dos, pris un verre et je me suis barré rapidement dans la salle de bain pour prendre l'eau. J'ai allumé la lumière de la SDB, pour me rassurer, et j'ai apporté l'eau à ma meuf.
Je me souviens qu'elle ma dit "tu peux aller le reposer ?" car y avait pas de table de chevet (on dormait sur un matelas gonflable) et on voulait pas casser le verre en bougeant. Et j'ai dis "c'est mort je suis fatigué on verra ça demain, et j'ai été posé le verre par terre dans un coin de la chambreJe me suis endormit presque aussitôt, en faite avec l'adrénaline, mon cerveau s'était déconnecté et ne pensait PAS DU TOUT à ce qui venait de se passer.
Le lendemain matin, on été toujours pas à l'aise, mais moi je faisais mine que ça allait. On est reparti, et j'ai attendu quelques jours avant d'en parler à ma copine. Elle m'a cru de suite, en faite elle n'a jamais rien ressenti d'aussi pesant que cette appartement (Si vous avez lu ma première histoire, vous savez qu'elle a pourtant grandit dans une maison pas ouf ).
Pendant les premiers mois qui ont suivit cette expérience, je ne faisais que d'y repenser à chaque fois que j'allais me coucher, ça me hantait l'esprit et j'en faisais des cauchemars. J'en étais rendu au point où plus j'y pensais plus j'avais l'impression que cette "vieille" était chez moi.
Voilà, aujourd'hui je m'en suis remis et je n'en ai plus peur mais ça m'a marqué
Bof, le coup de l'interrupteur soit disant "introuvable" et des mains ridées gâche tout.
Le 13 octobre 2021 à 16:29:46 :
Le 13 octobre 2021 à 11:53:42 :
L'histoire se passe en 2015 et se déroule sur AngoulêmeAvec ma meuf, on doit aller là-bas faire une soirée d'anniversaire dans une salle des fêtes. Après la fête, on ira dormir dans un appartement en centre-ville où on ne sera que tous les 2 (ou presque )
La grand-mère de la pote à qui on fêtait l'anniversaire est proprio de plusieurs appartements d'un immeuble, et ils nous le prêtent pour la nuit. Un autre couple d'ami dormira dans un appartement 2 étages au dessus.On arrive sur Angoulême l'après-midi, et on va direct à l'apparte pour poser nos affaires et se préparer.
Déjà, on n'aime pas le lieu. L'ambiance est lourde, pesante. Y a comme un malaise et on arrive pas à expliquer pourquoi, on le ressent tous les 2.
Page 13, j'explique que j'ai une sensibilité à ce genre de choses depuis l'enfance. Je vous invite à aller lire si jamaisDans ce lieu, je ne peux pas regarder un seul meuble, un mur ou entrer dans une pièce sans avoir l'impression que quelqu'un me fixe du regard dans un coin. J'ai ce sentiment de ne pas être à ma place, pas le bienvenue. J'ai comme un étau qui me serra la tête, et des vertiges par moment.
Pendant que ma copine se prépare dans la salle de bain, je suis assis seul dans le salon, et je ne peux m'empêcher de regarder la cuisine, de là où je suis. Cette cuisine est un petit "couloir" avec au centre une table et une chaise au bout. Je regarde cette chaise, et j'arrive pas à regarder autre part. Comme si je faisais une bataille de regard avec quelqu'un, sauf que y a personne
On part ensuite à la soirée qui a lieu a quelques kilomètres et on passe vite à autre chose. Tout se déroule bien, et on part vers 1h du matin avec nos deux amis qui eux dormiront 2 étages au dessus.
Pour info, je n'ai pas bu d'alcool de la soirée et je n'ai rien consommé du tout à part un peu de tabac.On fume une dernière clope avec nos potes sur le balcon de leur appartement, ensuite on retourne au notre pour aller se coucher.
Dès qu'on entre, on se ressent mal et on aime pas du tout être ici. On part tout dans la chambre pour aller se coucher, sans passer par la case toilettes ou salles de bain. On a presque hésité à demander à nos potes de squatter chez eux, tellement le malaise est grand.
On met un peu de temps à s'endormir, on discute et on passe le temps (). Vers 2-3h du matin, alors que le sommeil nous a presque attrapé, ma meuf à grand soif et veut que j’aille lui chercher un verre d'eau. Et qui dit verre d'eau, dit cuisine. Elle veut pas y aller car elle a vraiment la trouille de l'appartement.En tant que gentleman fort et courageux (faux je me pisse littéralement dans le slibard) j'y vais.
S'en suit une des expériences les plus effrayantes de ma vie.
Déjà, je ne sais pas si c'est le stress, la peur ou la fatigue mais je ne trouve pas le putain d'interrupteur pour la lumière, alors je me fis à la seule lumière de la nuit, car à part la chambre, les volets sont tous ouverts. On en ville, donc y a quelques lumières extérieurs qui me permettent de me repérer.
J'avance très très lentement, et toutes les sensations lourdes et pesantes ressenties l'après-midi sont décuplées, car je suis seul et dans le noir. Je mets quelques secondes à traverser le couloir pour arriver au salon, mais ces secondes me paraissent infinissables.Une fois dans le salon, je fais face à la cuisine. Je suis tétanisé et je ne peux plus bouger.
Je vois la table, la lumière éclaire 3/4 de la table, le dernier quart est dans le noir, c'est-à-dire que la partie avec la chaise est dans l'obscurité.
Je vois une "ombre". Mais c'est pas juste une ombre, c'est une personne mais toute noire et grise (comme un noir et blanc très sombre). Je la vois à peine car elle est assise sur la chaise. Mais je suis sur d'une chose, ça ressemble trait pour trait à une putain de vieille femme. Ce qui m'a confirmé ça, ce sont ses mains ridées, qui sont posées sur la partie éclairée de la table, et elle tapote des doigts sur la table en me regardant.Bon, pour faire une parenthèse, comme je l'ai déjà expliqué ici, j'avais déjà vécu des choses étranges avant ça, mais jamais d'apparition aussi physique et claire que cette vieille.
Et bordel, jamais aussi menaçante. La sensation de mal-être de pas être le bienvenue était décuplé x1000. C'est comme ça me hurlait de partir.
Là je vous le raconte en détail, mais ça a duré grand max 10-15 secondes.Dans ma tête c'était soit me barrer et m'enfermer dans la chambre, ce qui provoquerait une crise cardiaque à ma copine quand je lui expliquerait la situation Ou bien soit prendre ce fichu verre d'eau.
J'ai pris le verre
Je suis entré dans la cuisine, en avançant je ne voyais presque plus "l'entité" mais j'entendais encore ces ongles qui tapaient sur la table.
J'ai tourné le dos, pris un verre et je me suis barré rapidement dans la salle de bain pour prendre l'eau. J'ai allumé la lumière de la SDB, pour me rassurer, et j'ai apporté l'eau à ma meuf.
Je me souviens qu'elle ma dit "tu peux aller le reposer ?" car y avait pas de table de chevet (on dormait sur un matelas gonflable) et on voulait pas casser le verre en bougeant. Et j'ai dis "c'est mort je suis fatigué on verra ça demain, et j'ai été posé le verre par terre dans un coin de la chambreJe me suis endormit presque aussitôt, en faite avec l'adrénaline, mon cerveau s'était déconnecté et ne pensait PAS DU TOUT à ce qui venait de se passer.
Le lendemain matin, on été toujours pas à l'aise, mais moi je faisais mine que ça allait. On est reparti, et j'ai attendu quelques jours avant d'en parler à ma copine. Elle m'a cru de suite, en faite elle n'a jamais rien ressenti d'aussi pesant que cette appartement (Si vous avez lu ma première histoire, vous savez qu'elle a pourtant grandit dans une maison pas ouf ).
Pendant les premiers mois qui ont suivit cette expérience, je ne faisais que d'y repenser à chaque fois que j'allais me coucher, ça me hantait l'esprit et j'en faisais des cauchemars. J'en étais rendu au point où plus j'y pensais plus j'avais l'impression que cette "vieille" était chez moi.
Voilà, aujourd'hui je m'en suis remis et je n'en ai plus peur mais ça m'a marqué
Bof, le coup de l'interrupteur soit disant "introuvable" et des mains ridées gâche tout.
C'est une histoire vrai khey c'est pas la première fois que je la raconte.
J'ai appris que l'interrupteur pour allumer le couloir était dans le coin de la SDB et celui du salon à côté de la fenètre menant au balcon donc à l'opposé
Ca m'a marqué parce que je me suis senti con.
Le 13 octobre 2021 à 16:33:02 :
Le 13 octobre 2021 à 16:29:46 :
Le 13 octobre 2021 à 11:53:42 :
L'histoire se passe en 2015 et se déroule sur AngoulêmeAvec ma meuf, on doit aller là-bas faire une soirée d'anniversaire dans une salle des fêtes. Après la fête, on ira dormir dans un appartement en centre-ville où on ne sera que tous les 2 (ou presque )
La grand-mère de la pote à qui on fêtait l'anniversaire est proprio de plusieurs appartements d'un immeuble, et ils nous le prêtent pour la nuit. Un autre couple d'ami dormira dans un appartement 2 étages au dessus.On arrive sur Angoulême l'après-midi, et on va direct à l'apparte pour poser nos affaires et se préparer.
Déjà, on n'aime pas le lieu. L'ambiance est lourde, pesante. Y a comme un malaise et on arrive pas à expliquer pourquoi, on le ressent tous les 2.
Page 13, j'explique que j'ai une sensibilité à ce genre de choses depuis l'enfance. Je vous invite à aller lire si jamaisDans ce lieu, je ne peux pas regarder un seul meuble, un mur ou entrer dans une pièce sans avoir l'impression que quelqu'un me fixe du regard dans un coin. J'ai ce sentiment de ne pas être à ma place, pas le bienvenue. J'ai comme un étau qui me serra la tête, et des vertiges par moment.
Pendant que ma copine se prépare dans la salle de bain, je suis assis seul dans le salon, et je ne peux m'empêcher de regarder la cuisine, de là où je suis. Cette cuisine est un petit "couloir" avec au centre une table et une chaise au bout. Je regarde cette chaise, et j'arrive pas à regarder autre part. Comme si je faisais une bataille de regard avec quelqu'un, sauf que y a personne
On part ensuite à la soirée qui a lieu a quelques kilomètres et on passe vite à autre chose. Tout se déroule bien, et on part vers 1h du matin avec nos deux amis qui eux dormiront 2 étages au dessus.
Pour info, je n'ai pas bu d'alcool de la soirée et je n'ai rien consommé du tout à part un peu de tabac.On fume une dernière clope avec nos potes sur le balcon de leur appartement, ensuite on retourne au notre pour aller se coucher.
Dès qu'on entre, on se ressent mal et on aime pas du tout être ici. On part tout dans la chambre pour aller se coucher, sans passer par la case toilettes ou salles de bain. On a presque hésité à demander à nos potes de squatter chez eux, tellement le malaise est grand.
On met un peu de temps à s'endormir, on discute et on passe le temps (). Vers 2-3h du matin, alors que le sommeil nous a presque attrapé, ma meuf à grand soif et veut que j’aille lui chercher un verre d'eau. Et qui dit verre d'eau, dit cuisine. Elle veut pas y aller car elle a vraiment la trouille de l'appartement.En tant que gentleman fort et courageux (faux je me pisse littéralement dans le slibard) j'y vais.
S'en suit une des expériences les plus effrayantes de ma vie.
Déjà, je ne sais pas si c'est le stress, la peur ou la fatigue mais je ne trouve pas le putain d'interrupteur pour la lumière, alors je me fis à la seule lumière de la nuit, car à part la chambre, les volets sont tous ouverts. On en ville, donc y a quelques lumières extérieurs qui me permettent de me repérer.
J'avance très très lentement, et toutes les sensations lourdes et pesantes ressenties l'après-midi sont décuplées, car je suis seul et dans le noir. Je mets quelques secondes à traverser le couloir pour arriver au salon, mais ces secondes me paraissent infinissables.Une fois dans le salon, je fais face à la cuisine. Je suis tétanisé et je ne peux plus bouger.
Je vois la table, la lumière éclaire 3/4 de la table, le dernier quart est dans le noir, c'est-à-dire que la partie avec la chaise est dans l'obscurité.
Je vois une "ombre". Mais c'est pas juste une ombre, c'est une personne mais toute noire et grise (comme un noir et blanc très sombre). Je la vois à peine car elle est assise sur la chaise. Mais je suis sur d'une chose, ça ressemble trait pour trait à une putain de vieille femme. Ce qui m'a confirmé ça, ce sont ses mains ridées, qui sont posées sur la partie éclairée de la table, et elle tapote des doigts sur la table en me regardant.Bon, pour faire une parenthèse, comme je l'ai déjà expliqué ici, j'avais déjà vécu des choses étranges avant ça, mais jamais d'apparition aussi physique et claire que cette vieille.
Et bordel, jamais aussi menaçante. La sensation de mal-être de pas être le bienvenue était décuplé x1000. C'est comme ça me hurlait de partir.
Là je vous le raconte en détail, mais ça a duré grand max 10-15 secondes.Dans ma tête c'était soit me barrer et m'enfermer dans la chambre, ce qui provoquerait une crise cardiaque à ma copine quand je lui expliquerait la situation Ou bien soit prendre ce fichu verre d'eau.
J'ai pris le verre
Je suis entré dans la cuisine, en avançant je ne voyais presque plus "l'entité" mais j'entendais encore ces ongles qui tapaient sur la table.
J'ai tourné le dos, pris un verre et je me suis barré rapidement dans la salle de bain pour prendre l'eau. J'ai allumé la lumière de la SDB, pour me rassurer, et j'ai apporté l'eau à ma meuf.
Je me souviens qu'elle ma dit "tu peux aller le reposer ?" car y avait pas de table de chevet (on dormait sur un matelas gonflable) et on voulait pas casser le verre en bougeant. Et j'ai dis "c'est mort je suis fatigué on verra ça demain, et j'ai été posé le verre par terre dans un coin de la chambreJe me suis endormit presque aussitôt, en faite avec l'adrénaline, mon cerveau s'était déconnecté et ne pensait PAS DU TOUT à ce qui venait de se passer.
Le lendemain matin, on été toujours pas à l'aise, mais moi je faisais mine que ça allait. On est reparti, et j'ai attendu quelques jours avant d'en parler à ma copine. Elle m'a cru de suite, en faite elle n'a jamais rien ressenti d'aussi pesant que cette appartement (Si vous avez lu ma première histoire, vous savez qu'elle a pourtant grandit dans une maison pas ouf ).
Pendant les premiers mois qui ont suivit cette expérience, je ne faisais que d'y repenser à chaque fois que j'allais me coucher, ça me hantait l'esprit et j'en faisais des cauchemars. J'en étais rendu au point où plus j'y pensais plus j'avais l'impression que cette "vieille" était chez moi.
Voilà, aujourd'hui je m'en suis remis et je n'en ai plus peur mais ça m'a marqué
Bof, le coup de l'interrupteur soit disant "introuvable" et des mains ridées gâche tout.
C'est une histoire vrai khey c'est pas la première fois que je la raconte.
J'ai appris que l'interrupteur pour allumer le couloir était dans le coin de la SDB et celui du salon à côté de la fenètre menant au balcon donc à l'opposé
Ca m'a marqué parce que je me suis senti con.
Et moi j'ai un dragon qui s'appelle Elliott.
Il vient me rendre visite tous les matins.
Up... mouhahaha
https://youtu.be/ho8jnYN5EPE
[11:53:42] <DixitHubert2>
L'histoire se passe en 2015 et se déroule sur AngoulêmeAvec ma meuf, on doit aller là-bas faire une soirée d'anniversaire dans une salle des fêtes. Après la fête, on ira dormir dans un appartement en centre-ville où on ne sera que tous les 2 (ou presque )
La grand-mère de la pote à qui on fêtait l'anniversaire est proprio de plusieurs appartements d'un immeuble, et ils nous le prêtent pour la nuit. Un autre couple d'ami dormira dans un appartement 2 étages au dessus.On arrive sur Angoulême l'après-midi, et on va direct à l'apparte pour poser nos affaires et se préparer.
Déjà, on n'aime pas le lieu. L'ambiance est lourde, pesante. Y a comme un malaise et on arrive pas à expliquer pourquoi, on le ressent tous les 2.
Page 13, j'explique que j'ai une sensibilité à ce genre de choses depuis l'enfance. Je vous invite à aller lire si jamaisDans ce lieu, je ne peux pas regarder un seul meuble, un mur ou entrer dans une pièce sans avoir l'impression que quelqu'un me fixe du regard dans un coin. J'ai ce sentiment de ne pas être à ma place, pas le bienvenue. J'ai comme un étau qui me serra la tête, et des vertiges par moment.
Pendant que ma copine se prépare dans la salle de bain, je suis assis seul dans le salon, et je ne peux m'empêcher de regarder la cuisine, de là où je suis. Cette cuisine est un petit "couloir" avec au centre une table et une chaise au bout. Je regarde cette chaise, et j'arrive pas à regarder autre part. Comme si je faisais une bataille de regard avec quelqu'un, sauf que y a personne
On part ensuite à la soirée qui a lieu a quelques kilomètres et on passe vite à autre chose. Tout se déroule bien, et on part vers 1h du matin avec nos deux amis qui eux dormiront 2 étages au dessus.
Pour info, je n'ai pas bu d'alcool de la soirée et je n'ai rien consommé du tout à part un peu de tabac.On fume une dernière clope avec nos potes sur le balcon de leur appartement, ensuite on retourne au notre pour aller se coucher.
Dès qu'on entre, on se ressent mal et on aime pas du tout être ici. On part tout dans la chambre pour aller se coucher, sans passer par la case toilettes ou salles de bain. On a presque hésité à demander à nos potes de squatter chez eux, tellement le malaise est grand.
On met un peu de temps à s'endormir, on discute et on passe le temps (). Vers 2-3h du matin, alors que le sommeil nous a presque attrapé, ma meuf à grand soif et veut que j’aille lui chercher un verre d'eau. Et qui dit verre d'eau, dit cuisine. Elle veut pas y aller car elle a vraiment la trouille de l'appartement.En tant que gentleman fort et courageux (faux je me pisse littéralement dans le slibard) j'y vais.
S'en suit une des expériences les plus effrayantes de ma vie.
Déjà, je ne sais pas si c'est le stress, la peur ou la fatigue mais je ne trouve pas le putain d'interrupteur pour la lumière, alors je me fis à la seule lumière de la nuit, car à part la chambre, les volets sont tous ouverts. On en ville, donc y a quelques lumières extérieurs qui me permettent de me repérer.
J'avance très très lentement, et toutes les sensations lourdes et pesantes ressenties l'après-midi sont décuplées, car je suis seul et dans le noir. Je mets quelques secondes à traverser le couloir pour arriver au salon, mais ces secondes me paraissent infinissables.Une fois dans le salon, je fais face à la cuisine. Je suis tétanisé et je ne peux plus bouger.
Je vois la table, la lumière éclaire 3/4 de la table, le dernier quart est dans le noir, c'est-à-dire que la partie avec la chaise est dans l'obscurité.
Je vois une "ombre". Mais c'est pas juste une ombre, c'est une personne mais toute noire et grise (comme un noir et blanc très sombre). Je la vois à peine car elle est assise sur la chaise. Mais je suis sur d'une chose, ça ressemble trait pour trait à une putain de vieille femme. Ce qui m'a confirmé ça, ce sont ses mains ridées, qui sont posées sur la partie éclairée de la table, et elle tapote des doigts sur la table en me regardant.Bon, pour faire une parenthèse, comme je l'ai déjà expliqué ici, j'avais déjà vécu des choses étranges avant ça, mais jamais d'apparition aussi physique et claire que cette vieille.
Et bordel, jamais aussi menaçante. La sensation de mal-être de pas être le bienvenue était décuplé x1000. C'est comme ça me hurlait de partir.
Là je vous le raconte en détail, mais ça a duré grand max 10-15 secondes.Dans ma tête c'était soit me barrer et m'enfermer dans la chambre, ce qui provoquerait une crise cardiaque à ma copine quand je lui expliquerait la situation Ou bien soit prendre ce fichu verre d'eau.
J'ai pris le verre
Je suis entré dans la cuisine, en avançant je ne voyais presque plus "l'entité" mais j'entendais encore ces ongles qui tapaient sur la table.
J'ai tourné le dos, pris un verre et je me suis barré rapidement dans la salle de bain pour prendre l'eau. J'ai allumé la lumière de la SDB, pour me rassurer, et j'ai apporté l'eau à ma meuf.
Je me souviens qu'elle ma dit "tu peux aller le reposer ?" car y avait pas de table de chevet (on dormait sur un matelas gonflable) et on voulait pas casser le verre en bougeant. Et j'ai dis "c'est mort je suis fatigué on verra ça demain, et j'ai été posé le verre par terre dans un coin de la chambreJe me suis endormit presque aussitôt, en faite avec l'adrénaline, mon cerveau s'était déconnecté et ne pensait PAS DU TOUT à ce qui venait de se passer.
Le lendemain matin, on été toujours pas à l'aise, mais moi je faisais mine que ça allait. On est reparti, et j'ai attendu quelques jours avant d'en parler à ma copine. Elle m'a cru de suite, en faite elle n'a jamais rien ressenti d'aussi pesant que cette appartement (Si vous avez lu ma première histoire, vous savez qu'elle a pourtant grandit dans une maison pas ouf ).
Pendant les premiers mois qui ont suivit cette expérience, je ne faisais que d'y repenser à chaque fois que j'allais me coucher, ça me hantait l'esprit et j'en faisais des cauchemars. J'en étais rendu au point où plus j'y pensais plus j'avais l'impression que cette "vieille" était chez moi.
Voilà, aujourd'hui je m'en suis remis et je n'en ai plus peur mais ça m'a marqué
Best anecdote du topic + je te crois sur parole parce vécu des trucs similaires.
Si t'as d'autres anecdotes vas y n'hésite pas
Le 15 octobre 2021 à 03:57:01 :
[11:53:42] <DixitHubert2>
L'histoire se passe en 2015 et se déroule sur AngoulêmeAvec ma meuf, on doit aller là-bas faire une soirée d'anniversaire dans une salle des fêtes. Après la fête, on ira dormir dans un appartement en centre-ville où on ne sera que tous les 2 (ou presque )
La grand-mère de la pote à qui on fêtait l'anniversaire est proprio de plusieurs appartements d'un immeuble, et ils nous le prêtent pour la nuit. Un autre couple d'ami dormira dans un appartement 2 étages au dessus.On arrive sur Angoulême l'après-midi, et on va direct à l'apparte pour poser nos affaires et se préparer.
Déjà, on n'aime pas le lieu. L'ambiance est lourde, pesante. Y a comme un malaise et on arrive pas à expliquer pourquoi, on le ressent tous les 2.
Page 13, j'explique que j'ai une sensibilité à ce genre de choses depuis l'enfance. Je vous invite à aller lire si jamaisDans ce lieu, je ne peux pas regarder un seul meuble, un mur ou entrer dans une pièce sans avoir l'impression que quelqu'un me fixe du regard dans un coin. J'ai ce sentiment de ne pas être à ma place, pas le bienvenue. J'ai comme un étau qui me serra la tête, et des vertiges par moment.
Pendant que ma copine se prépare dans la salle de bain, je suis assis seul dans le salon, et je ne peux m'empêcher de regarder la cuisine, de là où je suis. Cette cuisine est un petit "couloir" avec au centre une table et une chaise au bout. Je regarde cette chaise, et j'arrive pas à regarder autre part. Comme si je faisais une bataille de regard avec quelqu'un, sauf que y a personne
On part ensuite à la soirée qui a lieu a quelques kilomètres et on passe vite à autre chose. Tout se déroule bien, et on part vers 1h du matin avec nos deux amis qui eux dormiront 2 étages au dessus.
Pour info, je n'ai pas bu d'alcool de la soirée et je n'ai rien consommé du tout à part un peu de tabac.On fume une dernière clope avec nos potes sur le balcon de leur appartement, ensuite on retourne au notre pour aller se coucher.
Dès qu'on entre, on se ressent mal et on aime pas du tout être ici. On part tout dans la chambre pour aller se coucher, sans passer par la case toilettes ou salles de bain. On a presque hésité à demander à nos potes de squatter chez eux, tellement le malaise est grand.
On met un peu de temps à s'endormir, on discute et on passe le temps (). Vers 2-3h du matin, alors que le sommeil nous a presque attrapé, ma meuf à grand soif et veut que j’aille lui chercher un verre d'eau. Et qui dit verre d'eau, dit cuisine. Elle veut pas y aller car elle a vraiment la trouille de l'appartement.En tant que gentleman fort et courageux (faux je me pisse littéralement dans le slibard) j'y vais.
S'en suit une des expériences les plus effrayantes de ma vie.
Déjà, je ne sais pas si c'est le stress, la peur ou la fatigue mais je ne trouve pas le putain d'interrupteur pour la lumière, alors je me fis à la seule lumière de la nuit, car à part la chambre, les volets sont tous ouverts. On en ville, donc y a quelques lumières extérieurs qui me permettent de me repérer.
J'avance très très lentement, et toutes les sensations lourdes et pesantes ressenties l'après-midi sont décuplées, car je suis seul et dans le noir. Je mets quelques secondes à traverser le couloir pour arriver au salon, mais ces secondes me paraissent infinissables.Une fois dans le salon, je fais face à la cuisine. Je suis tétanisé et je ne peux plus bouger.
Je vois la table, la lumière éclaire 3/4 de la table, le dernier quart est dans le noir, c'est-à-dire que la partie avec la chaise est dans l'obscurité.
Je vois une "ombre". Mais c'est pas juste une ombre, c'est une personne mais toute noire et grise (comme un noir et blanc très sombre). Je la vois à peine car elle est assise sur la chaise. Mais je suis sur d'une chose, ça ressemble trait pour trait à une putain de vieille femme. Ce qui m'a confirmé ça, ce sont ses mains ridées, qui sont posées sur la partie éclairée de la table, et elle tapote des doigts sur la table en me regardant.Bon, pour faire une parenthèse, comme je l'ai déjà expliqué ici, j'avais déjà vécu des choses étranges avant ça, mais jamais d'apparition aussi physique et claire que cette vieille.
Et bordel, jamais aussi menaçante. La sensation de mal-être de pas être le bienvenue était décuplé x1000. C'est comme ça me hurlait de partir.
Là je vous le raconte en détail, mais ça a duré grand max 10-15 secondes.Dans ma tête c'était soit me barrer et m'enfermer dans la chambre, ce qui provoquerait une crise cardiaque à ma copine quand je lui expliquerait la situation Ou bien soit prendre ce fichu verre d'eau.
J'ai pris le verre
Je suis entré dans la cuisine, en avançant je ne voyais presque plus "l'entité" mais j'entendais encore ces ongles qui tapaient sur la table.
J'ai tourné le dos, pris un verre et je me suis barré rapidement dans la salle de bain pour prendre l'eau. J'ai allumé la lumière de la SDB, pour me rassurer, et j'ai apporté l'eau à ma meuf.
Je me souviens qu'elle ma dit "tu peux aller le reposer ?" car y avait pas de table de chevet (on dormait sur un matelas gonflable) et on voulait pas casser le verre en bougeant. Et j'ai dis "c'est mort je suis fatigué on verra ça demain, et j'ai été posé le verre par terre dans un coin de la chambreJe me suis endormit presque aussitôt, en faite avec l'adrénaline, mon cerveau s'était déconnecté et ne pensait PAS DU TOUT à ce qui venait de se passer.
Le lendemain matin, on été toujours pas à l'aise, mais moi je faisais mine que ça allait. On est reparti, et j'ai attendu quelques jours avant d'en parler à ma copine. Elle m'a cru de suite, en faite elle n'a jamais rien ressenti d'aussi pesant que cette appartement (Si vous avez lu ma première histoire, vous savez qu'elle a pourtant grandit dans une maison pas ouf ).
Pendant les premiers mois qui ont suivit cette expérience, je ne faisais que d'y repenser à chaque fois que j'allais me coucher, ça me hantait l'esprit et j'en faisais des cauchemars. J'en étais rendu au point où plus j'y pensais plus j'avais l'impression que cette "vieille" était chez moi.
Voilà, aujourd'hui je m'en suis remis et je n'en ai plus peur mais ça m'a marqué
Best anecdote du topic + je te crois sur parole parce vécu des trucs similaires.
Si t'as d'autres anecdotes vas y n'hésite pas
Raconte khey !
Et merci ! Qu’on me croit ou non, je m’en fiche un peu, au pire ça fait une bonne histoire a raconter
Je l’ai beaucoup raconté dans mon entourage, et en effet je connais des gens qui m’ont cru car ils ont vécus des trucs assez ouf
J’en ai quelques unes, mais ce sera plus court, une sorte de « best of » des truc bizarres qui me sont arrivés
Le 03 octobre 2021 à 10:41:48 :
J'avais joué à Zelda toute la journée enfermé dans ma chambre et j'étais sorti prendre l'air. J'ai ouvert ma porte pour descendre les escaliers. Toute la famille était assise dans le canapé à regarder la télé d'un air vide.
Je suis passé rapidement pour sortir dans le jardin par la porte de derrière, pour fumer ma clope.J'étais assis sur les marches et il me restait à peine quelques taffes, quand j'ai entendu la porte se claquer suivie du bruit du verrou. Je me suis relevé et j'ai tourné la tête : ma mère se tenait derrière la porte. J'ai commencé à rigoler et je lui ai demandé ce qu'elle faisait. Elle me regardait droit dans les yeux sans rien dire. J'ai arrêté de sourire quand je lui ai de nouveau demandé pourquoi elle m'avait enfermé dehors.
Elle est restée immobile, le visage dénué d'émotions.J'ai fini ma cigarette et j'ai jeté le mégot. J'ai essayé d'ouvrir la porte et de jouer avec la poignée : j'étais vraiment enfermé. Je lui ai demandé de m'ouvrir, et c'est là que j'ai vu mon père et ma sœur se tenir derrière ma mère, tout aussi neutres et immobiles, le regard zehef.
Là j'ai commencé à frapper la porte, j'ai hurlé que si c'était une blague ce n'était vraiment plus drôle.
Ils ont continué à m'observer.
Je me suis dit que la porte de devant était ouverte.
J'ai sauté par dessus la barrière, et sprinté vers l'avant de la maison avant qu'ils ne ferment aussi ce verrou.J'ai failli me faire écraser par une voiture qui se garait.
C'était celle de mon père et tout le monde était dedans.Je me suis rappelé que j'étais seul à la maison.
C'était en novembre 2014
Ah, j'ai déjà lu cette histoire je crois ! Mais qui sont ces personnes alors qui étaient dans la maison ? Des démons ? Des clones créés par un savant fou pour je ne sais quelle raison ? Autre ?
Spooky