BrotherFic
2013-09-26 21:48:40
A cette phrase, mon sang ne fit qu’un tour, je me jetai sur elle, bien décidé à la faire dégager de ma chambre avec toujours mon organe pointé vers le ciel. Comme je me dirigeai vers elle, hilare, elle mit un bras en avant pour se protéger et avec son autre main, elle essaya de toucher mon sexe. Je la saisis par les poignets, la levai vigoureusement, me baissai et la soulevai rapidement comme on porte un sac de ciment sur l’épaule. Un bras entourant sa taille et un autre sur ses fesses, autant ne pas se priver.
Un peu hystérique, elle criait et se débattait. Me griffait aussi. Bien que je la tenais fermement, j’avais tout de même du mal à avancer. Je décidai donc de la calmer en lui adressant une fessée bien sentie.
- Hmmm oui Maxou, j’adore ça, j’en veux encore ! cria-t-elle en explosant de rire.
Complètement ravagée ! Je me dirigeai vers la chambre de Julie qui, par chance, était sûrement redescendue, je me voyais mal rentrer dans la chambre de ma soeur portant sur mon épaule ma cousine, la bite à l’air. Je lâchai Camille sur le lit mais elle s’agrippa à moi par la nuque, je tombai sur elle puis elle cadenassa ses jambes autour de moi, me saisit les fesses et bougea son corps de façon équivoque.
- Hmmm oui Maxou, tu es à moi, prends-moi encore ! Hannn ! Hannn oui ! cria-t-elle de nouveau.
- Mais t’es complètement malade en vrai toi !
J’essayai de la repousser quand Julie rentra dans la chambre.
- Mais qu’est-ce que vous faites ?!
- C’est Max, il a envie de moi, il a pas pu résister ! dit-elle morte de rire
- Nan mais c’est elle là ! Elle était dans ma chambre, elle voulait pas bouger alors je l’ai bougée moi-même !
- Hann oui Max ! Bouge-moi encore !
- Mais tu vas la fermer ! Et toi, au lieu de rester plantée là, tu peux pas venir m’aider ?!
Julie se décida à réagir, m’aida à me défaire de l’étreinte de Camille et je pus regagner ma chambre. Ce mensonge autour de mon homosexualité supposé m’avait apporté de nombreux avantages, nul doute que je n’aurais pu me tenir si près physiquement de Camille par exemple, mais m’apportait aussi de nombreux inconvénients, en particulier la frustration. Je ne peux rien tenter avec Camille par exemple et je ne peux pas aller voir ailleurs non plus de peur que ça vienne aux oreilles de ma sœur, de ma cousine ou d’Anne-Sophie et que je finisse démasqué. Je suis coincé. Coincé sur mon lit. La queue à la main. En imaginant seulement ce que j’aurais pu faire à Camille il y a quelques minutes.