Les étudiants "précaires" : qui TROMPENT-ils?

J'ai déja fait des tafs ponctuels d'une journée entière 7h-18h quand j'étais étudiant, ça me rapporterait 100€ en moyenne par jour.
Soit
1 caddie de courses
Ou 3 4 bouteilles de vodka
Ou 1 place pour une jourée de festival
Après chacun ses priorités

Le 18 décembre 2022 à 12:05:40 :

Le 18 décembre 2022 à 12:01:37 :

Le 18 décembre 2022 à 11:57:44 :
Je crois que ça dépend des régions.

Déjà pour les logements, tout le monde n'a pas la chance de bénéficer d'un logement étudiant.

Les repas du restaurant universitaire concernent toujours les mêmes personnes, celles qui arrivent tôt (11h30,11h45), les autres n'auront que les restes. Si tu finis les cours à 13h30, tu peux ne pas manger.

Ensuite suivant les cursus, il y a plus ou moins de dépenses à faire : un étudiant en art devra payer ses matériaux, un étudiant en médecine une quarantaine de livres,...

A noter qu'avec le nombre d'étudiants qui augmente considérablement, la minorité qui demande de l'aide le fait aussi pour avoir une plus-value afin de se démarquer des autres. D'une part, elle cherche à économiser en vue d'un projet dans le cursus : année de césure, échange académique, alternance, service civique, préparation aux grandes écoles...; d'autre part, le fait de revendiquer cela au travers de diverses organismes associatifs ou syndicaux montre un intérêt politique. En somme certains espèrent se faire repérer afin d'avoir une place au chaud.

Tu noteras que c'est rarement les personnes les plus précaires qui se le revendiquent.

C'est rigolo car en L1 j'étais au Crous, c'était de la merde insalubre. J'avais 35min de bagnoles pour me rendre à la fac. En L2 j'ai pris un logement dans mon coin. Pour 30€ de plus par mois j'avais un truc en solo sans foutue cuisine commune fermée un jour sur deux et à 50m de ma fac. Donc des fois, le Crous c'est plus une malchance qu'autre chose

Ça dépend de la ville, par exemple à Strasbourg, là où je fais mes études, comment te dire que le prix du CROUS est imbattable, sinon tu payes au bas mot 400-450€ par mois pour une colloc dans un quartier pourri, et t'as pas d'autres solutions

Mon petit appartement rue de Stockholm à Strasbourg, avec mes deux collocs, pas d'isolation sonore et les putes qui font les 100 pas à côté de la pharmacie juste en bas ...
Des bons souvenirs malgré tout, mais on est loin du rêve des kheys

Et quand t'es pas de la ville, et que t'as pas eu le Crous, tu fais ce que tout le monde fait : "tiens, c'est pas très cher et pas très loin le Neuhof ", "tiens c'est pas trop cher Échirolles, en plus le tram y passe" ,...

Donc je paie des charges pour des hippies se plaignent sur des bancs universitaires ? Ba go enlever les aides et on aura de la main d'oeuvre pour passer les motocrottes

je baise de la gauchiste alors que je suis un bon gros droitards. la naiveté des gauchistes est succulente.

A un moment, les mythos comme toi devraient se dire qu'on les voit venir à 20km.

Le 18 décembre 2022 à 12:10:25 tatagertrude a écrit :

je baise de la gauchiste alors que je suis un bon gros droitards. la naiveté des gauchistes est succulente.

A un moment, les mythos comme toi devraient se dire qu'on les voit venir à 20km.

rage mon petit

Le 18 décembre 2022 à 12:06:43 :

Le 18 décembre 2022 à 12:01:37 rotor789 a écrit :

Le 18 décembre 2022 à 11:57:44 :
Je crois que ça dépend des régions.

Déjà pour les logements, tout le monde n'a pas la chance de bénéficer d'un logement étudiant.

Les repas du restaurant universitaire concernent toujours les mêmes personnes, celles qui arrivent tôt (11h30,11h45), les autres n'auront que les restes. Si tu finis les cours à 13h30, tu peux ne pas manger.

Ensuite suivant les cursus, il y a plus ou moins de dépenses à faire : un étudiant en art devra payer ses matériaux, un étudiant en médecine une quarantaine de livres,...

A noter qu'avec le nombre d'étudiants qui augmente considérablement, la minorité qui demande de l'aide le fait aussi pour avoir une plus-value afin de se démarquer des autres. D'une part, elle cherche à économiser en vue d'un projet dans le cursus : année de césure, échange académique, alternance, service civique, préparation aux grandes écoles...; d'autre part, le fait de revendiquer cela au travers de diverses organismes associatifs ou syndicaux montre un intérêt politique. En somme certains espèrent se faire repérer afin d'avoir une place au chaud.

Tu noteras que c'est rarement les personnes les plus précaires qui se le revendiquent.

C'est rigolo car en L1 j'étais au Crous, c'était de la merde insalubre. J'avais 35min de bagnoles pour me rendre à la fac. En L2 j'ai pris un logement dans mon coin. Pour 30€ de plus par mois j'avais un truc en solo sans foutue cuisine commune fermée un jour sur deux et à 50m de ma fac. Donc des fois, le Crous c'est plus une malchance qu'autre chose

Oui mais c'est plutôt correct pour avoir du temps pour chercher un vrai logement.

Bah l'été, j'écumais les offres dans les agences et sur le boncoin, pourtant j'étais a 250km de la ville. Le crous c'est loin d'être la solution idéale souvent. C'est presque aussi cher que les prix du marché locatifs et souvent très mal localisé. Le seul de ma ville bien localisé était tout neuf et juste devant les facs, mais bizarrement c'était réservé aux pistonnés (un pote ou sa mère bossait à l'EN était dedans alors que ses darons doivent toucher du 9k par mois ).

Le 18 décembre 2022 à 12:09:28 :

Le 18 décembre 2022 à 12:05:40 :

Le 18 décembre 2022 à 12:01:37 :

Le 18 décembre 2022 à 11:57:44 :
Je crois que ça dépend des régions.

Déjà pour les logements, tout le monde n'a pas la chance de bénéficer d'un logement étudiant.

Les repas du restaurant universitaire concernent toujours les mêmes personnes, celles qui arrivent tôt (11h30,11h45), les autres n'auront que les restes. Si tu finis les cours à 13h30, tu peux ne pas manger.

Ensuite suivant les cursus, il y a plus ou moins de dépenses à faire : un étudiant en art devra payer ses matériaux, un étudiant en médecine une quarantaine de livres,...

A noter qu'avec le nombre d'étudiants qui augmente considérablement, la minorité qui demande de l'aide le fait aussi pour avoir une plus-value afin de se démarquer des autres. D'une part, elle cherche à économiser en vue d'un projet dans le cursus : année de césure, échange académique, alternance, service civique, préparation aux grandes écoles...; d'autre part, le fait de revendiquer cela au travers de diverses organismes associatifs ou syndicaux montre un intérêt politique. En somme certains espèrent se faire repérer afin d'avoir une place au chaud.

Tu noteras que c'est rarement les personnes les plus précaires qui se le revendiquent.

C'est rigolo car en L1 j'étais au Crous, c'était de la merde insalubre. J'avais 35min de bagnoles pour me rendre à la fac. En L2 j'ai pris un logement dans mon coin. Pour 30€ de plus par mois j'avais un truc en solo sans foutue cuisine commune fermée un jour sur deux et à 50m de ma fac. Donc des fois, le Crous c'est plus une malchance qu'autre chose

Ça dépend de la ville, par exemple à Strasbourg, là où je fais mes études, comment te dire que le prix du CROUS est imbattable, sinon tu payes au bas mot 400-450€ par mois pour une colloc dans un quartier pourri, et t'as pas d'autres solutions

Mon petit appartement rue de Stockholm à Strasbourg, avec mes deux collocs, pas d'isolation sonore et les putes qui font les 100 pas à côté de la pharmacie juste en bas ...
Des bons souvenirs malgré tout, mais on est loin du rêve des kheys

Et quand t'es pas de la ville, et que t'as pas eu le Crous, tu fais ce que tout le monde fait : "tiens, c'est pas très cher et pas très loin le Neuhof ", "tiens c'est pas trop cher Échirolles, en plus le tram y passe" ,...

Mais vraiment ! Moi mon université était à l'hôpital civil, et je viens du sud-ouest, donc vraiment Strasbourg c'était une découverte.
Je pensais que le quartier de l'esplanade était proche de mon uni et que au pire j'y serai vite en tram... Si j'avais su
Après c'était pas le ghetto non plus, mais bon j'étais loin et c'était super cher pour ce que c'était, heureusement que j'avais le vélo pour rejoindre mon université rapidement sans passer par le tram.

Et encore, Strasbourg est une ville tranquille, mais à Toulouse par exemple, y'a des étudiants pauvres qui sont obligés de vivre dans des coupes gorges, réellement , notamment une résidence du CROUS sur l'île des ramiers, outre le fait qu'elle soit vachement vieille, bah le quartier est l'un des pires de Toulouse, t'entends des coups de feu toute les nuits...