Le 06 octobre 2021 à 09:49:10 : Je connais un mec qui a porté faux témoignage contre l'église, d’ailleurs j'ai fait un topic la dessus. Il fait partie des chiffres, mais il a menti. En gros il se sont tripotés (consentant) avec des potes (18 ans) en dehors de l'église. Mais comme il a rencontré ses potes à l'église, il a participé à la commission publique sur les abus sexuels. Il a dit qu'il a été abusé à l'église alors que c'est pas vrai, en plus ils étaient amis à l'époque. La vérité est qu'il regrette d'avoir fait ça avec ses amis, mais il n'arrive pas à assumer alors il porte la responsabilité sur l'église.
Ils prennent tellement en compte tout et n'importe quoi dans ce genre de rapport que tout est mélangé.
Dans des internats les jeux sexuelles entre jeunes sont la norme et peuvent être concideré comme des agressions sexuelles et si c'est un internat catholique (qui sont très nombreux) ça devient une agression sexuelle au saint de l'Eglise et dit comme ça les gens ont l'image d'un vieux prêtre en habit cérémonial qui encule un gosse dans les sous sols d'une cathédrale.
Alors heureusement que ce qui se passe entre jeunes n'est pas pris en compte dans le rapport. Mais pour le savoir faudrait se décider à l'ouvrir nan ?
Tu serais très étonné mais ce genre de biais et très connu des sondages sur les agressions sexuelles et est responsable d'une hausse significative des chiffres.
Je rajoute qu'il y a un flou en matière de définition et de moral sur les agressions sexuelles entre jeunes. À partir de quelle différence d'age c'est une agression sexuelle ? À partir de quelle type d'acte ? Comment estimer le consentement alors qu'ils sont pas sensé être consentant ? Quelle répercussion psychologique en fonction de quelles actes et avec quelle delta d'age.
C'est là que tu te rend compte que le modèle en lui même est incompatible avec le fonctionnement du reel. Et que les études et rapport se basant sur des axiomes faux ne valent finalement pas grand chose.
Le 06 octobre 2021 à 09:49:10 : Je connais un mec qui a porté faux témoignage contre l'église, d’ailleurs j'ai fait un topic la dessus. Il fait partie des chiffres, mais il a menti. En gros il se sont tripotés (consentant) avec des potes (18 ans) en dehors de l'église. Mais comme il a rencontré ses potes à l'église, il a participé à la commission publique sur les abus sexuels. Il a dit qu'il a été abusé à l'église alors que c'est pas vrai, en plus ils étaient amis à l'époque. La vérité est qu'il regrette d'avoir fait ça avec ses amis, mais il n'arrive pas à assumer alors il porte la responsabilité sur l'église.
Ils prennent tellement en compte tout et n'importe quoi dans ce genre de rapport que tout est mélangé.
Dans des internats les jeux sexuelles entre jeunes sont la norme et peuvent être concideré comme des agressions sexuelles et si c'est un internat catholique (qui sont très nombreux) ça devient une agression sexuelle au saint de l'Eglise et dit comme ça les gens ont l'image d'un vieux prêtre en habit cérémonial qui encule un gosse dans les sous sols d'une cathédrale.
Alors heureusement que ce qui se passe entre jeunes n'est pas pris en compte dans le rapport. Mais pour le savoir faudrait se décider à l'ouvrir nan ?
Tu serais très étonné mais ce genre de biais et très connu des sondages sur les agressions sexuelles et est responsable d'une hausse significative des chiffres.
Je rajoute qu'il y a un flou en matière de définition et de moral sur les agressions sexuelles entre jeunes. À partir de quelle différence d'age c'est une agression sexuelle ? À partir de quelle type d'acte ? Comment estimer le consentement alors qu'ils sont pas sensé être consentant ? Quelle répercussion psychologique en fonction de quelles actes et avec quelle delta d'age.
C'est là que tu te rend compte que le modèle en lui même est incompatible avec le fonctionnement du reel. Et que les études et rapport se basant sur des axiomes faux ne valent finalement pas grand chose.
Bah voyons... ça ne vaut pas grand chose un rapport sur ce qui vous dérange
Le 06 octobre 2021 à 09:49:10 : Je connais un mec qui a porté faux témoignage contre l'église, d’ailleurs j'ai fait un topic la dessus. Il fait partie des chiffres, mais il a menti. En gros il se sont tripotés (consentant) avec des potes (18 ans) en dehors de l'église. Mais comme il a rencontré ses potes à l'église, il a participé à la commission publique sur les abus sexuels. Il a dit qu'il a été abusé à l'église alors que c'est pas vrai, en plus ils étaient amis à l'époque. La vérité est qu'il regrette d'avoir fait ça avec ses amis, mais il n'arrive pas à assumer alors il porte la responsabilité sur l'église.
Ils prennent tellement en compte tout et n'importe quoi dans ce genre de rapport que tout est mélangé.
Dans des internats les jeux sexuelles entre jeunes sont la norme et peuvent être concideré comme des agressions sexuelles et si c'est un internat catholique (qui sont très nombreux) ça devient une agression sexuelle au saint de l'Eglise et dit comme ça les gens ont l'image d'un vieux prêtre en habit cérémonial qui encule un gosse dans les sous sols d'une cathédrale.
Alors heureusement que ce qui se passe entre jeunes n'est pas pris en compte dans le rapport. Mais pour le savoir faudrait se décider à l'ouvrir nan ?
Tu serais très étonné mais ce genre de biais et très connu des sondages sur les agressions sexuelles et est responsable d'une hausse significative des chiffres.
Je rajoute qu'il y a un flou en matière de définition et de moral sur les agressions sexuelles entre jeunes. À partir de quelle différence d'age c'est une agression sexuelle ? À partir de quelle type d'acte ? Comment estimer le consentement alors qu'ils sont pas sensé être consentant ? Quelle répercussion psychologique en fonction de quelles actes et avec quelle delta d'age.
C'est là que tu te rend compte que le modèle en lui même est incompatible avec le fonctionnement du reel. Et que les études et rapport se basant sur des axiomes faux ne valent finalement pas grand chose.
La définition légale de l'agression sexuelle sur enfant (pour le coup il y en a une) répond à peu près à ces critères : il y a agression quand, pour une victime mineure (particulièrement - de 15 ans), une personne ayant autorité physique ou sociale s'investit dans son intimité sexuelle (avec ou sans violence). Il n'y a pas de delta d'âge énoncé à ma connaissance. J'ai déjà rencontré une victime qui avait été abusée par 3 ans, en maternelle, par un enfant d'à peine 5, qui lui avait forcé à faire une fellation pendant la sieste obligatoire.
L'agresseur peut être mineur (d'après l'enquête IPSOS de 2019 30% des agresseurs pédocriminels sont eux mêmes mineurs). Un écart de 5 ans ou plus est une circonstance aggravante, de même si l'agresseur a une autorité de part son statut social (prof, prêtre, flic...) ou familial (cas d'incestes). On parle de v-iol dès lors qu'il y a pénétration (peu importe avec quoi, peu importe où). Beaucoup de plaintes pour v-iol sont déqualifiées en agressions sexuelles.
Il ne peut y avoir de consentement exprimer pour un enfant pré-pubère. Les répercussions psychologiques en fonction des actes ne sauraient être déterminées avec précision car dépendent de tellement de facteurs qu'on ne saurait les inclure dans une enquête.
Le 06 octobre 2021 à 09:49:10 : Je connais un mec qui a porté faux témoignage contre l'église, d’ailleurs j'ai fait un topic la dessus. Il fait partie des chiffres, mais il a menti. En gros il se sont tripotés (consentant) avec des potes (18 ans) en dehors de l'église. Mais comme il a rencontré ses potes à l'église, il a participé à la commission publique sur les abus sexuels. Il a dit qu'il a été abusé à l'église alors que c'est pas vrai, en plus ils étaient amis à l'époque. La vérité est qu'il regrette d'avoir fait ça avec ses amis, mais il n'arrive pas à assumer alors il porte la responsabilité sur l'église.
Ils prennent tellement en compte tout et n'importe quoi dans ce genre de rapport que tout est mélangé.
Dans des internats les jeux sexuelles entre jeunes sont la norme et peuvent être concideré comme des agressions sexuelles et si c'est un internat catholique (qui sont très nombreux) ça devient une agression sexuelle au saint de l'Eglise et dit comme ça les gens ont l'image d'un vieux prêtre en habit cérémonial qui encule un gosse dans les sous sols d'une cathédrale.
Alors heureusement que ce qui se passe entre jeunes n'est pas pris en compte dans le rapport. Mais pour le savoir faudrait se décider à l'ouvrir nan ?
Tu serais très étonné mais ce genre de biais et très connu des sondages sur les agressions sexuelles et est responsable d'une hausse significative des chiffres.
Je rajoute qu'il y a un flou en matière de définition et de moral sur les agressions sexuelles entre jeunes. À partir de quelle différence d'age c'est une agression sexuelle ? À partir de quelle type d'acte ? Comment estimer le consentement alors qu'ils sont pas sensé être consentant ? Quelle répercussion psychologique en fonction de quelles actes et avec quelle delta d'age.
C'est là que tu te rend compte que le modèle en lui même est incompatible avec le fonctionnement du reel. Et que les études et rapport se basant sur des axiomes faux ne valent finalement pas grand chose.
La définition légale de l'agression sexuelle sur enfant (pour le coup il y en a une) répond à peu près à ces critères : il y a agression quand, pour une victime mineure (particulièrement - de 15 ans), une personne ayant autorité physique ou sociale s'investit dans son intimité sexuelle (avec ou sans violence). Il n'y a pas de delta d'âge énoncé à ma connaissance. J'ai déjà rencontré une victime qui avait été abusée par 3 ans, en maternelle, par un enfant d'à peine 5, qui lui avait forcé à faire une fellation pendant la sieste obligatoire.
L'agresseur peut être mineur (d'après l'enquête IPSOS de 2019 30% des agresseurs pédocriminels sont eux mêmes mineurs). Un écart de 5 ans ou plus est une circonstance aggravante, de même si l'agresseur a une autorité de part son statut social (prof, prêtre, flic...) ou familial (cas d'incestes). On parle de v-iol dès lors qu'il y a pénétration (peu importe avec quoi, peu importe où). Beaucoup de plaintes pour v-iol sont déqualifiées en agressions sexuelles.
Il ne peut y avoir de consentement exprimé pour un enfant pré-pubère. Les répercussions psychologiques en fonction des actes ne sauraient être déterminées avec précision car dépendent de tellement de facteurs qu'on ne saurait les inclure dans une enquête.
Les définitions sont morales et judiciaires, donc pas scientifique. Et ça cause pleins de paradoxes si tu réfléchis bien. En plus d'être différents par pays.
Le 06 octobre 2021 à 09:49:10 : Je connais un mec qui a porté faux témoignage contre l'église, d’ailleurs j'ai fait un topic la dessus. Il fait partie des chiffres, mais il a menti. En gros il se sont tripotés (consentant) avec des potes (18 ans) en dehors de l'église. Mais comme il a rencontré ses potes à l'église, il a participé à la commission publique sur les abus sexuels. Il a dit qu'il a été abusé à l'église alors que c'est pas vrai, en plus ils étaient amis à l'époque. La vérité est qu'il regrette d'avoir fait ça avec ses amis, mais il n'arrive pas à assumer alors il porte la responsabilité sur l'église.
Ils prennent tellement en compte tout et n'importe quoi dans ce genre de rapport que tout est mélangé.
Dans des internats les jeux sexuelles entre jeunes sont la norme et peuvent être concideré comme des agressions sexuelles et si c'est un internat catholique (qui sont très nombreux) ça devient une agression sexuelle au saint de l'Eglise et dit comme ça les gens ont l'image d'un vieux prêtre en habit cérémonial qui encule un gosse dans les sous sols d'une cathédrale.
Alors heureusement que ce qui se passe entre jeunes n'est pas pris en compte dans le rapport. Mais pour le savoir faudrait se décider à l'ouvrir nan ?
Tu serais très étonné mais ce genre de biais et très connu des sondages sur les agressions sexuelles et est responsable d'une hausse significative des chiffres.
Je rajoute qu'il y a un flou en matière de définition et de moral sur les agressions sexuelles entre jeunes. À partir de quelle différence d'age c'est une agression sexuelle ? À partir de quelle type d'acte ? Comment estimer le consentement alors qu'ils sont pas sensé être consentant ? Quelle répercussion psychologique en fonction de quelles actes et avec quelle delta d'age.
C'est là que tu te rend compte que le modèle en lui même est incompatible avec le fonctionnement du reel. Et que les études et rapport se basant sur des axiomes faux ne valent finalement pas grand chose.
La définition légale de l'agression sexuelle sur enfant (pour le coup il y en a une) répond à peu près à ces critères : il y a agression quand, pour une victime mineure (particulièrement - de 15 ans), une personne ayant autorité physique ou sociale s'investit dans son intimité sexuelle (avec ou sans violence). Il n'y a pas de delta d'âge énoncé à ma connaissance. J'ai déjà rencontré une victime qui avait été abusée par 3 ans, en maternelle, par un enfant d'à peine 5, qui lui avait forcé à faire une fellation pendant la sieste obligatoire.
L'agresseur peut être mineur (d'après l'enquête IPSOS de 2019 30% des agresseurs pédocriminels sont eux mêmes mineurs). Un écart de 5 ans ou plus est une circonstance aggravante, de même si l'agresseur a une autorité de part son statut social (prof, prêtre, flic...) ou familial (cas d'incestes). On parle de v-iol dès lors qu'il y a pénétration (peu importe avec quoi, peu importe où). Beaucoup de plaintes pour v-iol sont déqualifiées en agressions sexuelles.
Il ne peut y avoir de consentement exprimé pour un enfant pré-pubère. Les répercussions psychologiques en fonction des actes ne sauraient être déterminées avec précision car dépendent de tellement de facteurs qu'on ne saurait les inclure dans une enquête.
Les définitions sont morales et judiciaires, donc pas scientifique. Et ça cause pleins de paradoxes si tu réfléchis bien. En plus d'être différents par pays.
Les définitions sont entre autres basées sur des réalités scientifiques, c'est le boulot de la médecine légale. Les comorbidités peuvent être évaluées, les lésions physiques éventuelles aussi.
Tu peux me croire, pour le coup j'ai la "chance" d'avoir été à la fois du côté victime et du côté soignant de la question de violences sur enfants.
Oui, il y a des paradoxes dans la gestion des affaires de pédocriminalité. Mais non, ça ne repose pas sur du vent. Il y a des gens dont c'est le métier d'évaluer ces crimes et ce sont eux qui sont appelés quand il y a des enquêtes de cette envergure.
Le 06 octobre 2021 à 10:45:04 : Faut arrêter de diaboliser l'église dans son ensemble à cause de quelques prêtres.
Contrairement à mes amis catho toujours prompt à attaquer ma religion je sais faire la part des choses
Ce n'est pas diaboliser l'Eglise que de pointer du doigt les silences criminels et le refus de porter (avant aujourd'hui en tout cas) la responsabilité de cette institution dévoyée.
Le 06 octobre 2021 à 10:45:04 : Faut arrêter de diaboliser l'église dans son ensemble à cause de quelques prêtres.
Contrairement à mes amis catho toujours prompt à attaquer ma religion je sais faire la part des choses
Ce n'est pas diaboliser l'Eglise que de pointer du doigt les silences criminels et le refus de porter (avant aujourd'hui en tout cas) la responsabilité de cette institution dévoyée.
SI t'as deux heures de temps devant toi.
Toi tu fais ça et tu as raison mais pense à ceux qui mettent ces actes pour justifier que la religion c'est de la merde.
Le 06 octobre 2021 à 09:49:10 : Je connais un mec qui a porté faux témoignage contre l'église, d’ailleurs j'ai fait un topic la dessus. Il fait partie des chiffres, mais il a menti. En gros il se sont tripotés (consentant) avec des potes (18 ans) en dehors de l'église. Mais comme il a rencontré ses potes à l'église, il a participé à la commission publique sur les abus sexuels. Il a dit qu'il a été abusé à l'église alors que c'est pas vrai, en plus ils étaient amis à l'époque. La vérité est qu'il regrette d'avoir fait ça avec ses amis, mais il n'arrive pas à assumer alors il porte la responsabilité sur l'église.
Ils prennent tellement en compte tout et n'importe quoi dans ce genre de rapport que tout est mélangé.
Dans des internats les jeux sexuelles entre jeunes sont la norme et peuvent être concideré comme des agressions sexuelles et si c'est un internat catholique (qui sont très nombreux) ça devient une agression sexuelle au saint de l'Eglise et dit comme ça les gens ont l'image d'un vieux prêtre en habit cérémonial qui encule un gosse dans les sous sols d'une cathédrale.
Alors heureusement que ce qui se passe entre jeunes n'est pas pris en compte dans le rapport. Mais pour le savoir faudrait se décider à l'ouvrir nan ?
Tu serais très étonné mais ce genre de biais et très connu des sondages sur les agressions sexuelles et est responsable d'une hausse significative des chiffres.
Je rajoute qu'il y a un flou en matière de définition et de moral sur les agressions sexuelles entre jeunes. À partir de quelle différence d'age c'est une agression sexuelle ? À partir de quelle type d'acte ? Comment estimer le consentement alors qu'ils sont pas sensé être consentant ? Quelle répercussion psychologique en fonction de quelles actes et avec quelle delta d'age.
C'est là que tu te rend compte que le modèle en lui même est incompatible avec le fonctionnement du reel. Et que les études et rapport se basant sur des axiomes faux ne valent finalement pas grand chose.
La définition légale de l'agression sexuelle sur enfant (pour le coup il y en a une) répond à peu près à ces critères : il y a agression quand, pour une victime mineure (particulièrement - de 15 ans), une personne ayant autorité physique ou sociale s'investit dans son intimité sexuelle (avec ou sans violence). Il n'y a pas de delta d'âge énoncé à ma connaissance. J'ai déjà rencontré une victime qui avait été abusée par 3 ans, en maternelle, par un enfant d'à peine 5, qui lui avait forcé à faire une fellation pendant la sieste obligatoire.
L'agresseur peut être mineur (d'après l'enquête IPSOS de 2019 30% des agresseurs pédocriminels sont eux mêmes mineurs). Un écart de 5 ans ou plus est une circonstance aggravante, de même si l'agresseur a une autorité de part son statut social (prof, prêtre, flic...) ou familial (cas d'incestes). On parle de v-iol dès lors qu'il y a pénétration (peu importe avec quoi, peu importe où). Beaucoup de plaintes pour v-iol sont déqualifiées en agressions sexuelles.
Il ne peut y avoir de consentement exprimé pour un enfant pré-pubère. Les répercussions psychologiques en fonction des actes ne sauraient être déterminées avec précision car dépendent de tellement de facteurs qu'on ne saurait les inclure dans une enquête.
Les définitions sont morales et judiciaires, donc pas scientifique. Et ça cause pleins de paradoxes si tu réfléchis bien. En plus d'être différents par pays.
Les définitions sont entre autres basées sur des réalités scientifiques, c'est le boulot de la médecine légale. Les comorbidités peuvent être évaluées, les lésions physiques éventuelles aussi.
Tu peux me croire, pour le coup j'ai la "chance" d'avoir été à la fois du côté victime et du côté soignant de la question de violences sur enfants.
Oui, il y a des paradoxes dans la gestion des affaires de pédocriminalité. Mais non, ça ne repose pas sur du vent. Il y a des gens dont c'est le métier d'évaluer ces crimes et ce sont eux qui sont appelés quand il y a des enquêtes de cette envergure.
Croire que la justice et la politique est basé sur la science c'est absolument ne rien comprendre à la société.
Le 06 octobre 2021 à 10:45:04 : Faut arrêter de diaboliser l'église dans son ensemble à cause de quelques prêtres.
Contrairement à mes amis catho toujours prompt à attaquer ma religion je sais faire la part des choses
Ce n'est pas diaboliser l'Eglise que de pointer du doigt les silences criminels et le refus de porter (avant aujourd'hui en tout cas) la responsabilité de cette institution dévoyée.
SI t'as deux heures de temps devant toi.
Toi tu fais ça et tu as raison mais pense à ceux qui mettent ces actes pour justifier que la religion c'est de la merde.
La question des religieux et de l'Eglise au sens large devrait moins être ce que pensent les gens extérieurs à leur Foi que de s'appliquer à retrouver son intégrité en sauvant les enfants qui peuvent l'être et en condamnant ceux qui doivent être condamnés.
Le 05 octobre 2021 à 21:00:15 : Ils constatent surement un regain d'amour pour le Christ ces derniers temps alors les FM et autres qui nous dirigent remettent un jeton dans la machinehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/7/1619980875-sele.png
ça a fait la une de tous les journaux aujourd'huihttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/7/1619980875-sele.png
Ceci.
Le 05 octobre 2021 à 21:00:33 : Et dans le milieu éducatif ? Et les centres aérés ? Et les enfants de la DDASS ?
Et ceci.
Le 05 octobre 2021 à 21:03:53 : Libération qui s'en donne à coeur joie sur l'église alors que ce torchon faisait la promotion de la pédophilie Mais bon quand on est dans le camp du bien on peut tout faire https://image.noelshack.com/fichiers/2017/04/1485496713-cohn-bendit.png
Le 06 octobre 2021 à 09:49:10 : Je connais un mec qui a porté faux témoignage contre l'église, d’ailleurs j'ai fait un topic la dessus. Il fait partie des chiffres, mais il a menti. En gros il se sont tripotés (consentant) avec des potes (18 ans) en dehors de l'église. Mais comme il a rencontré ses potes à l'église, il a participé à la commission publique sur les abus sexuels. Il a dit qu'il a été abusé à l'église alors que c'est pas vrai, en plus ils étaient amis à l'époque. La vérité est qu'il regrette d'avoir fait ça avec ses amis, mais il n'arrive pas à assumer alors il porte la responsabilité sur l'église.
Ils prennent tellement en compte tout et n'importe quoi dans ce genre de rapport que tout est mélangé.
Dans des internats les jeux sexuelles entre jeunes sont la norme et peuvent être concideré comme des agressions sexuelles et si c'est un internat catholique (qui sont très nombreux) ça devient une agression sexuelle au saint de l'Eglise et dit comme ça les gens ont l'image d'un vieux prêtre en habit cérémonial qui encule un gosse dans les sous sols d'une cathédrale.
Alors heureusement que ce qui se passe entre jeunes n'est pas pris en compte dans le rapport. Mais pour le savoir faudrait se décider à l'ouvrir nan ?
Tu serais très étonné mais ce genre de biais et très connu des sondages sur les agressions sexuelles et est responsable d'une hausse significative des chiffres.
Je rajoute qu'il y a un flou en matière de définition et de moral sur les agressions sexuelles entre jeunes. À partir de quelle différence d'age c'est une agression sexuelle ? À partir de quelle type d'acte ? Comment estimer le consentement alors qu'ils sont pas sensé être consentant ? Quelle répercussion psychologique en fonction de quelles actes et avec quelle delta d'age.
C'est là que tu te rend compte que le modèle en lui même est incompatible avec le fonctionnement du reel. Et que les études et rapport se basant sur des axiomes faux ne valent finalement pas grand chose.
La définition légale de l'agression sexuelle sur enfant (pour le coup il y en a une) répond à peu près à ces critères : il y a agression quand, pour une victime mineure (particulièrement - de 15 ans), une personne ayant autorité physique ou sociale s'investit dans son intimité sexuelle (avec ou sans violence). Il n'y a pas de delta d'âge énoncé à ma connaissance. J'ai déjà rencontré une victime qui avait été abusée par 3 ans, en maternelle, par un enfant d'à peine 5, qui lui avait forcé à faire une fellation pendant la sieste obligatoire.
L'agresseur peut être mineur (d'après l'enquête IPSOS de 2019 30% des agresseurs pédocriminels sont eux mêmes mineurs). Un écart de 5 ans ou plus est une circonstance aggravante, de même si l'agresseur a une autorité de part son statut social (prof, prêtre, flic...) ou familial (cas d'incestes). On parle de v-iol dès lors qu'il y a pénétration (peu importe avec quoi, peu importe où). Beaucoup de plaintes pour v-iol sont déqualifiées en agressions sexuelles.
Il ne peut y avoir de consentement exprimé pour un enfant pré-pubère. Les répercussions psychologiques en fonction des actes ne sauraient être déterminées avec précision car dépendent de tellement de facteurs qu'on ne saurait les inclure dans une enquête.
Les définitions sont morales et judiciaires, donc pas scientifique. Et ça cause pleins de paradoxes si tu réfléchis bien. En plus d'être différents par pays.
Les définitions sont entre autres basées sur des réalités scientifiques, c'est le boulot de la médecine légale. Les comorbidités peuvent être évaluées, les lésions physiques éventuelles aussi.
Tu peux me croire, pour le coup j'ai la "chance" d'avoir été à la fois du côté victime et du côté soignant de la question de violences sur enfants.
Oui, il y a des paradoxes dans la gestion des affaires de pédocriminalité. Mais non, ça ne repose pas sur du vent. Il y a des gens dont c'est le métier d'évaluer ces crimes et ce sont eux qui sont appelés quand il y a des enquêtes de cette envergure.
Croire que la justice et la politique est basé sur la science c'est absolument ne rien comprendre à la société.
La justice et la science sont entremmêlées et reposent l'un sur l'autre. Quand je signale un enfant pour maltraitance ou quand je le soupçonne de se faire du mal, je le fais en me basant sur des comportements et des lésions qui ont chacun une valeur légale et qui appuieront ma demande.
Sans dialogue entre ces deux univers, il n'y a rien. Et honnêtement, je me tamponne qu'un random sur le net qui - de toute évidence - n'a jamais été confronté IRL à ces thématiques prétende que je ne bite rien à la société et à la gestion de ces drames. Pense ce que tu veux, t'es dans ton droit le plus strict.
Pourquoi ne pas autoriser le mariage des prêtres (en vrai c'est la seule mesure qui aurait dû être prise par Vatican II avec l'abandon de la messe en latin)
Le 06 octobre 2021 à 10:45:04 : Faut arrêter de diaboliser l'église dans son ensemble à cause de quelques prêtres.
Contrairement à mes amis catho toujours prompt à attaquer ma religion je sais faire la part des choses
Ce n'est pas diaboliser l'Eglise que de pointer du doigt les silences criminels et le refus de porter (avant aujourd'hui en tout cas) la responsabilité de cette institution dévoyée.
SI t'as deux heures de temps devant toi.
Toi tu fais ça et tu as raison mais pense à ceux qui mettent ces actes pour justifier que la religion c'est de la merde.
La question des religieux et de l'Eglise au sens large devrait moins être ce que pensent les gens extérieurs à leur Foi que de s'appliquer à retrouver son intégrité en sauvant les enfants qui peuvent l'être et en condamnant ceux qui doivent être condamnés.
Exactement, tu parles très bien l'ami, l'église se doit de penser au bien-être de ses fidèles plutôt qu'à étouffer des affaires pour éviter le scandale.
Le 06 octobre 2021 à 10:45:04 : Faut arrêter de diaboliser l'église dans son ensemble à cause de quelques prêtres.
Contrairement à mes amis catho toujours prompt à attaquer ma religion je sais faire la part des choses
Ce n'est pas diaboliser l'Eglise que de pointer du doigt les silences criminels et le refus de porter (avant aujourd'hui en tout cas) la responsabilité de cette institution dévoyée.
SI t'as deux heures de temps devant toi.
Toi tu fais ça et tu as raison mais pense à ceux qui mettent ces actes pour justifier que la religion c'est de la merde.
La question des religieux et de l'Eglise au sens large devrait moins être ce que pensent les gens extérieurs à leur Foi que de s'appliquer à retrouver son intégrité en sauvant les enfants qui peuvent l'être et en condamnant ceux qui doivent être condamnés.
Exactement, tu parles très bien l'ami, l'église se doit de penser au bien-être de ses fidèles plutôt qu'à étouffer des affaires pour éviter le scandale.
Et ça n'a pas été le cas jusqu'ici.
Et je ne sais pas - encore - si ça sera le cas dans les mois / années à venir.
