Le 30 avril 2021 à 22:33:46 :
Le 30 avril 2021 à 22:32:50 :
un pervers narcissique c'est logiquement un psychopathe non ? Si oui bah j'en ai connu un des vrais démons effectivement je comprend pas qu'on puisse laisser librement ces gens prospérer. Ils devraient être enfermer à vie.Ce sont des bons comédiens, c'est compliqué pour en avoir eu un pour ami pendant des années
effectivement on s'y attache rapidement et on deviens vite leur toutou puis tôt ou tard on finit par découvrir la supercherie ...on comprend pas au début
il a d'ailleurs essayer de me recontacter en prétextant qu'il regrettait et qu'il a perdu un bon ami
Le 30 avril 2021 à 22:34:55 Random319 a écrit :
Le 30 avril 2021 à 22:30:10 :
Le 30 avril 2021 à 22:24:48 Random319 a écrit :
Le 30 avril 2021 à 22:15:59 :
Le 30 avril 2021 à 22:05:49 :
L'arnaque des "hypersensibles" bordel
Vous êtes juste hyper-égocentrique dans une société opulente et féminisée.El famoso
Je vois clairement la différence avec la plupart des gens.
Tu dis que nous sommes hyper-égocentrique mais c'est tout le contraire en faite, on est hyper empathique, on essaye souvent d'aider les autres, leur apporter une aide , un soutiens moral quand ça va pas ect
J'aurai fait un excellent psychologue mais malheureusement je n'ai pas pu
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/5/1619808877-231036-full.png C'est bien ce que je dis, égocentriques. Ce 'don naturel' pour comprendre les gens et leurs émotions, tout le monde l'a, pas la peine de te croire différent.
Pareil pour l'introversion, rien de plus qu'un manque de confiance en soi, et non pas du génie incompris.Oui tout le monde la je suis d'accord mais j'ai l'impression que c'est a des degrés plus ou moins différents et que par conséquent ça vous atteint moins que moi
Donc c'est quoi la vérité ? Vous faites tous semblant du coup ?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/5/1619808877-231036-full.png
D'ailleurs je sens ta haine depuis derrière mon écran.https://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/5/1619808877-231036-full.png
Si tu pouvais t'apaiser ça m'apaiseraihttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/5/1619808877-231036-full.png J'avoue que ton sticker a un impact très négatif sur mon état mental.
Le 30 avril 2021 à 22:34:36 :
Le 30 avril 2021 à 22:32:50 :
un pervers narcissique c'est logiquement un psychopathe non ? Si oui bah j'en ai connu un des vrais démons effectivement je comprend pas qu'on puisse laisser librement ces gens prospérer. Ils devraient être enfermer à vie.c'est un khey?
nan
Le 30 avril 2021 à 22:34:29 :
Mais c'est de la merde !
On se sent pro du haut de sa L2 psycho
Qu'est-ce qui est de la merde, mon renardounet?
Le 30 avril 2021 à 22:28:27 :
Le 30 avril 2021 à 22:22:45 :
Le 30 avril 2021 à 22:19:54 :
Le 30 avril 2021 à 22:04:52 :
Le 30 avril 2021 à 21:50:41 :
Le 30 avril 2021 à 21:42:53 :
Le 30 avril 2021 à 21:38:35 :
Le 30 avril 2021 à 21:23:38 :
Donne nous des exemples pitié- Les psychopathes sont des personnes qui ont la zone de l'empathie et de la tristesse dans le cerveau qui n'est presque pas activée, ils sont donc extrêmement individualistes et ne peuvent pas comprendre ce que ressentent les autres:
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/44/6/1604099955-psychopathe-0.jpg
Ça a des conséquences majeures sur leur comportement, je l'ai décris ici : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-64657642-1-0-1-0-redpill-les-psychopathes-gouvernent-le-monde.htm
- Les hypersensibles sont l'inverse des psychopathes : leur zone de l'empathie dans le cerveau est trop stimulée, ils ressentent donc trop le mal ou la gêne que peuvent ressentir les autres et ils osent donc entreprendre moins de choses.
- Notre personnalité est en très grande partie définie par la constitution de notre cerveau. C'est parce qu'on a certaines zones de notre cerveau qui sont plus actives que d'autres qu'on a notre personnalité en grande partie.
- Les introvertis par exemple sont ainsi car leur cerveau et leurs sens captent plus les stimulations externes, ils se fatiguent donc plus vite et sont introvertis pour ne pas s'épuiser s'ils recherchent trop de choses externes. À l'inverse, les extravertis ont leurs sens et leur cerveau qui est moins stimulés par les éléments externes, ils vont donc rechercher ces stimulations là vers les autres pour ainsi ressentir plus de sensations d'un point de vue physiologique.
- Il y a des gens qui sont fondamentalement mauvais, on ne peut pas les changer. Ils seront TOUJOURS mauvais, c'est cérébral, donc on peut faire ce qu'on veut pour changer le monde, les gens mauvais seront toujours là et ils ne pourront jamais être "soignés".
- Il existe des personnalités sadiques : ce sont des personnes qui une dysfonction de leur réseau nerveux. En gros, les nerfs qui sont censés les stimuler sexuellement sont seulement stimulés, en partie, quand ils voient les autres avoir mal. Causer de la douleur aux autres leur procurent donc un vrai plaisir physiologique et ils recherchent ça au quotidien.
- La vie est donc une lutte constante où on rencontrera toujours ces gens mauvais. Il faudra toute notre vie lutter contre eux si on croise leur chemin. Ou alors on peut se laisser marcher dessus. Une autre solution est de s'isoler et de vivre dans un groupe de personnes qui a des valeurs fondamentalement bienveillantes.
- Nos taux hormones ont une influence très importantes sur notre personnalité
- Il existe plusieurs troubles de la personnalités : les narcissiques, les histrioniques (qui veulent avoir toute l'attention), les antisociaux (individualiste à l'extrême, c'est les psychopathes), les évitants (s'isolent), les borderlines, etc. Tous ces troubles de la personnalité se répercutent dans leur vie au quotidien, donc on les croise au travail, en école, dans l'intimité, etc. dans toutes les situations. Et la façon dont s'expriment ces personnalités s'adaptent au contexte où ils se trouvent. Par exemple un antisocial doit s'adapter et utiliser ses méthodes d'expressions en fonction du cadre professionnel dans lequel il se trouve si on parle du boulot.
- Il existe des personnes qui ont des comportements pervers au quotidien. Le pervers, pour pouvoir agir contre l'autre, il doit créer du lien. Il cherche à créer du lien avec l'autre et il le fait donc par différentes méthodes : les mimiques qui sont attrayantes, les sujets de conversations, la proximité, etc. avant de vous manipuler ou d'exercer un moyen de pression sur vous.Etc. etc.
100% de ce que tu viens de noter relève du simple bon sens. Voici l'ultime redpill.
Non, du moins pas totalement.
L'auteur marque de manière explicite l'importance de la génétique et de notre constitution immuable et innée sur nos comportements et nos personnalités.
Ce qui va au-delà du discours ambiant actuel visant à dire que seul l'environnement à une influence quasi-totale sur les individus (ce qui est en parti faux du coup).This.
Je conseil le documentaire Three Identical Stranger.
C'est sur une expérience qui a séparé des jumeaux/triplés à la naissance en les mettant dans différentes famille de classe sociale différente pour essayer enfin avoir la réponse sur "nature vs nurture"
Après le documentaire tombe dans le patho à la fin mais tu comprends clairement qu'il y a une très grosse part de la personnalité qui est inné et qui influence complètement nos vies jusqu'au choix de notre métier.Tenez une scène de ce documentaire que j'ai trouvé excellente
https://streamable.com/zhnewwMon scientomètre indique Raoult/10
C'est maintenant acquis ces questions là hein.
L'auteur le résume très bien, ce n'est plus une redpill ce genre de truc dans la communauté scientifique. Tout le monde sait que notre génétique a une énorme influence sur notre vie, que nos habitudes, notre personnalité et bien d'autres choses sont en grande partie hérité.
Je ne sais pas mais l'extrait en question est ridicule.
Le 30 avril 2021 à 22:35:47 :
Le 30 avril 2021 à 22:33:46 :
Le 30 avril 2021 à 22:32:50 :
un pervers narcissique c'est logiquement un psychopathe non ? Si oui bah j'en ai connu un des vrais démons effectivement je comprend pas qu'on puisse laisser librement ces gens prospérer. Ils devraient être enfermer à vie.Ce sont des bons comédiens, c'est compliqué pour en avoir eu un pour ami pendant des années
effectivement on s'y attache rapidement et on deviens vite leur toutou puis tôt ou tard on finit par découvrir la supercherie ...on comprend pas au début
il a d'ailleurs essayer de me recontacter en prétextant qu'il regrettait et qu'il a perdu un bon ami
Un toutou, c'est le mot parfait pour désigner ce que j'étais bordel, mais il savent caresser dans le sens du poil et te mettre à l'aise, c'est effrayant avec du recul
imagine étudier la neurologie et être incapable de se rendre compte qu'on est une machine à émotions, y a pas des gens bons ou mauvais on suit tous nos instincts
Le 30 avril 2021 à 22:36:49 reveiltardif a écrit :
Le 30 avril 2021 à 22:35:47 :
Le 30 avril 2021 à 22:33:46 :
Le 30 avril 2021 à 22:32:50 :
un pervers narcissique c'est logiquement un psychopathe non ? Si oui bah j'en ai connu un des vrais démons effectivement je comprend pas qu'on puisse laisser librement ces gens prospérer. Ils devraient être enfermer à vie.Ce sont des bons comédiens, c'est compliqué pour en avoir eu un pour ami pendant des années
effectivement on s'y attache rapidement et on deviens vite leur toutou puis tôt ou tard on finit par découvrir la supercherie ...on comprend pas au début
il a d'ailleurs essayer de me recontacter en prétextant qu'il regrettait et qu'il a perdu un bon ami
Un toutou, c'est le mot parfait pour désigner ce que j'étais bordel, mais il savent caresser dans le sens du poil et te mettre à l'aise, c'est effrayant avec du recul
malaise
Le 30 avril 2021 à 22:32:47 :
Le 30 avril 2021 à 22:27:43 :
C'est vraiment sous-estimé la vie de croire qu'une IRM suffit à tout expliquer. En quoi être un psychopathe empêche d'être une bonne personne ? As-tu obligatoirement besoin de ressentir quelque chose de bon pour bien agir ?La vie est beaucoup plus complexe que ça et le cerveau évolue toute notre vie en fonction de ce qu'on "mange".
Des gens qui ont des émotions peuvent être encore plus horribles qu'une personne qui n'en a pas.
Les crimes dits "passionel" sont faits par des individus qui ont des émotions trop fortes pour être contenus.
Trop de contre-exemple qui invalide la thèse qu'une personne mauvaise l'est depuis sa naissance.
Elle peut avoir des prédispositions mais ça n'explique pas tout non plus.
non mais quand t'es un psychopathes les émotions des autres tu les ressens pas réellement, tu dois les connaitre seulement en tant qu'idée abstraite j'imagine donc ça ne t'affecte pas, absolument rien ne t'affecte donc y'a rien qui te pousse à etre naturellement gentil
On est gentil non pas car c'est naturel mais car c'est culturel. Un psycopathe sera lui aussi gentil car on l'a conditionné à l'être. De plus il remarque bien que la vie est plus simple en étant gentil qu'en tuant des gens. Les psychopathes "méchants" ont une autre pathologie : être sadique.
J'espère que tu ne crois pas au bullshit de l'hypothèse du déséquilibre chimique comme cause de la dépression
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4172306/
Antidepressants are supposed to work by fixing a chemical imbalance, specifically, a lack of serotonin in the brain. Indeed, their supposed effectiveness is the primary evidence for the chemical imbalance theory. But analyses of the published data and the unpublished data that were hidden by drug companies reveals that most (if not all) of the benefits are due to the placebo effect. Some antidepressants increase serotonin levels, some decrease it, and some have no effect at all on serotonin. Nevertheless, they all show the same therapeutic benefit. Even the small statistical difference between antidepressants and placebos may be an enhanced placebo effect, due to the fact that most patients and doctors in clinical trials successfully break blind. The serotonin theory is as close as any theory in the history of science to having been proved wrong. Instead of curing depression, popular antidepressants may induce a biological vulnerability making people more likely to become depressed in the future.
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpsyt.2019.00407/full
The aim of this review is to evaluate the placebo effect in the treatment of anxiety and depression. Antidepressants are supposed to work by fixing a chemical imbalance, specifically, a lack of serotonin or norepinephrine in the brain. However, analyses of the published and the unpublished clinical trial data are consistent in showing that most (if not all) of the benefits of antidepressants in the treatment of depression and anxiety are due to the placebo response, and the difference in improvement between drug and placebo is not clinically meaningful and may be due to breaking blind by both patients and clinicians. Although this conclusion has been the subject of intense controversy, the current article indicates that the data from all of the published meta-analyses report the same results. This is also true of recent meta-analysis of all of the antidepressant data submitted to the Food and Drug Administration (FDA) in the process of seeking drug approval. Also, contrary to previously published results, the new FDA analysis reveals that the placebo response has not increased over time. Other treatments (e.g., psychotherapy and physical exercise) produce the same benefits as antidepressants and do so without the side effects and health risks of the active drugs. Psychotherapy and placebo treatments also show a lower relapse rate than that reported for antidepressant medication.
https://en.wikipedia.org/wiki/Irving_Kirsch#Research_on_antidepressants
Irving Kirsch (born March 7, 1943) is Associate Director of the Program in Placebo Studies and a lecturer in medicine at the Harvard Medical School and Beth Israel Deaconess Medical Center.[1] He is also professor emeritus of psychology at the Universities of Hull and Plymouth in the United Kingdom, and the University of Connecticut in the United States.[2][3] Kirsch is a leading researcher within the field of placebo studies who is noted for his work on placebo effects, antidepressants, expectancy, and hypnosis. He is the originator of response expectancy theory, and his analyses of clinical trials of antidepressants have influenced official treatment guidelines in the United Kingdom. He is the author of the 2009 book, The Emperor's New Drugs.
https://doi.org/10.1136/bmjebm-2019-111238
The benefits of antidepressants seem to be minimal and possibly without any importance to the average patient with major depressive disorder. Antidepressants should not be used for adults with major depressive disorder before valid evidence has shown that the potential beneficial effects outweigh the harmful effects.
Le 30 avril 2021 à 22:17:50 :
J'ai pas compris pour le truc des introvertis, qu'est-ce qu'ils "captent" au juste, et qu'est-ce qui les épuise ?Et en sont-ils conscients d'ailleurs ou ça s'opère dans l'inconscient ?
Ça dépend de la zone du cerveau qui est hypersensible. Si c'est celle de l'empathie par exemple, ils capteront plus les émotions des autres, ils cerneront beaucoup mieux leurs mimiques et arriveront à très facilement se mettre à leur place et imaginer ce qu'ils ressentent.
Ça peut être les sens aussi qui sont hypersensibles. Par exemple quelqu'un peut être hypersensible au bruit. Non pas qu'un bruit qui monte dans les décibels l'importune, mais par exemple s'il se trouve dans la rue avec pleins de monde, il captera mieux les bruits qui viennent tout autour de lui. Pareil pour le toucher par exemple.
Et c'est inconscient, c'est le cerveau qui fonctionne de cette manière. Mais c'est épuisant parce que leur cerveau dépense plus d'énergie pour capter ces choses là.
Le 30 avril 2021 à 22:18:31 :
Tu es conscient que 50% de ce que tu apprends n'est pas prouvé et est l'interpretation de gens du siecle passé sur nos cerveaux ?
Faux, les études ne sont pas basées sur du vent.
L'OP que penses tu du diagnostic des TSA? Est-ce que ça serait pas un peu un truc d'AW egocentrique?
Le 30 avril 2021 à 22:36:49 :
Le 30 avril 2021 à 22:35:47 :
Le 30 avril 2021 à 22:33:46 :
Le 30 avril 2021 à 22:32:50 :
un pervers narcissique c'est logiquement un psychopathe non ? Si oui bah j'en ai connu un des vrais démons effectivement je comprend pas qu'on puisse laisser librement ces gens prospérer. Ils devraient être enfermer à vie.Ce sont des bons comédiens, c'est compliqué pour en avoir eu un pour ami pendant des années
effectivement on s'y attache rapidement et on deviens vite leur toutou puis tôt ou tard on finit par découvrir la supercherie ...on comprend pas au début
il a d'ailleurs essayer de me recontacter en prétextant qu'il regrettait et qu'il a perdu un bon ami
Un toutou, c'est le mot parfait pour désigner ce que j'étais bordel, mais il savent caresser dans le sens du poil et te mettre à l'aise, c'est effrayant avec du recul
moi ce qui m'a perturber c'est que plusieurs fois je le soupçonnait de me manipuler mais ils me rassurait en disant que seul un fou pourrait faire sa
et ces techniques de manipulation me parassaient beaucoup trop complexes pour un individu que je considérait comme plutôt lambda voir un peu c*n sur les bord....Ils sont vraiment fort c'est effectivement effrayant.
Le 30 avril 2021 à 22:38:30 :
J'espère que tu ne crois pas au bullshit de l'hypothèse du déséquilibre chimique comme cause de la dépression
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4172306/
Antidepressants are supposed to work by fixing a chemical imbalance, specifically, a lack of serotonin in the brain. Indeed, their supposed effectiveness is the primary evidence for the chemical imbalance theory. But analyses of the published data and the unpublished data that were hidden by drug companies reveals that most (if not all) of the benefits are due to the placebo effect. Some antidepressants increase serotonin levels, some decrease it, and some have no effect at all on serotonin. Nevertheless, they all show the same therapeutic benefit. Even the small statistical difference between antidepressants and placebos may be an enhanced placebo effect, due to the fact that most patients and doctors in clinical trials successfully break blind. The serotonin theory is as close as any theory in the history of science to having been proved wrong. Instead of curing depression, popular antidepressants may induce a biological vulnerability making people more likely to become depressed in the future.
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpsyt.2019.00407/full
The aim of this review is to evaluate the placebo effect in the treatment of anxiety and depression. Antidepressants are supposed to work by fixing a chemical imbalance, specifically, a lack of serotonin or norepinephrine in the brain. However, analyses of the published and the unpublished clinical trial data are consistent in showing that most (if not all) of the benefits of antidepressants in the treatment of depression and anxiety are due to the placebo response, and the difference in improvement between drug and placebo is not clinically meaningful and may be due to breaking blind by both patients and clinicians. Although this conclusion has been the subject of intense controversy, the current article indicates that the data from all of the published meta-analyses report the same results. This is also true of recent meta-analysis of all of the antidepressant data submitted to the Food and Drug Administration (FDA) in the process of seeking drug approval. Also, contrary to previously published results, the new FDA analysis reveals that the placebo response has not increased over time. Other treatments (e.g., psychotherapy and physical exercise) produce the same benefits as antidepressants and do so without the side effects and health risks of the active drugs. Psychotherapy and placebo treatments also show a lower relapse rate than that reported for antidepressant medication.
https://en.wikipedia.org/wiki/Irving_Kirsch#Research_on_antidepressants
Irving Kirsch (born March 7, 1943) is Associate Director of the Program in Placebo Studies and a lecturer in medicine at the Harvard Medical School and Beth Israel Deaconess Medical Center.[1] He is also professor emeritus of psychology at the Universities of Hull and Plymouth in the United Kingdom, and the University of Connecticut in the United States.[2][3] Kirsch is a leading researcher within the field of placebo studies who is noted for his work on placebo effects, antidepressants, expectancy, and hypnosis. He is the originator of response expectancy theory, and his analyses of clinical trials of antidepressants have influenced official treatment guidelines in the United Kingdom. He is the author of the 2009 book, The Emperor's New Drugs.
Hop hop hop on achète et on prend ses pilules
https://doi.org/10.1136/bmjebm-2019-111238
The benefits of antidepressants seem to be minimal and possibly without any importance to the average patient with major depressive disorder. Antidepressants should not be used for adults with major depressive disorder before valid evidence has shown that the potential beneficial effects outweigh the harmful effects.
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/4/1585853522-larry-mask.png
Pour l'être encore et pour avoir été partiellement sauvé pour les fameuses "pilules", j'y crois fermement.
Le 30 avril 2021 à 22:38:30 :
J'espère que tu ne crois pas au bullshit de l'hypothèse du déséquilibre chimique comme cause de la dépression
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4172306/
Antidepressants are supposed to work by fixing a chemical imbalance, specifically, a lack of serotonin in the brain. Indeed, their supposed effectiveness is the primary evidence for the chemical imbalance theory. But analyses of the published data and the unpublished data that were hidden by drug companies reveals that most (if not all) of the benefits are due to the placebo effect. Some antidepressants increase serotonin levels, some decrease it, and some have no effect at all on serotonin. Nevertheless, they all show the same therapeutic benefit. Even the small statistical difference between antidepressants and placebos may be an enhanced placebo effect, due to the fact that most patients and doctors in clinical trials successfully break blind. The serotonin theory is as close as any theory in the history of science to having been proved wrong. Instead of curing depression, popular antidepressants may induce a biological vulnerability making people more likely to become depressed in the future.
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpsyt.2019.00407/full
The aim of this review is to evaluate the placebo effect in the treatment of anxiety and depression. Antidepressants are supposed to work by fixing a chemical imbalance, specifically, a lack of serotonin or norepinephrine in the brain. However, analyses of the published and the unpublished clinical trial data are consistent in showing that most (if not all) of the benefits of antidepressants in the treatment of depression and anxiety are due to the placebo response, and the difference in improvement between drug and placebo is not clinically meaningful and may be due to breaking blind by both patients and clinicians. Although this conclusion has been the subject of intense controversy, the current article indicates that the data from all of the published meta-analyses report the same results. This is also true of recent meta-analysis of all of the antidepressant data submitted to the Food and Drug Administration (FDA) in the process of seeking drug approval. Also, contrary to previously published results, the new FDA analysis reveals that the placebo response has not increased over time. Other treatments (e.g., psychotherapy and physical exercise) produce the same benefits as antidepressants and do so without the side effects and health risks of the active drugs. Psychotherapy and placebo treatments also show a lower relapse rate than that reported for antidepressant medication.
https://en.wikipedia.org/wiki/Irving_Kirsch#Research_on_antidepressants
Irving Kirsch (born March 7, 1943) is Associate Director of the Program in Placebo Studies and a lecturer in medicine at the Harvard Medical School and Beth Israel Deaconess Medical Center.[1] He is also professor emeritus of psychology at the Universities of Hull and Plymouth in the United Kingdom, and the University of Connecticut in the United States.[2][3] Kirsch is a leading researcher within the field of placebo studies who is noted for his work on placebo effects, antidepressants, expectancy, and hypnosis. He is the originator of response expectancy theory, and his analyses of clinical trials of antidepressants have influenced official treatment guidelines in the United Kingdom. He is the author of the 2009 book, The Emperor's New Drugs.
Hop hop hop on achète et on prend ses pilules
https://doi.org/10.1136/bmjebm-2019-111238
The benefits of antidepressants seem to be minimal and possibly without any importance to the average patient with major depressive disorder. Antidepressants should not be used for adults with major depressive disorder before valid evidence has shown that the potential beneficial effects outweigh the harmful effects.
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/4/1585853522-larry-mask.png
c'est quoi la cause alors?
Le 30 avril 2021 à 22:39:29 :
Le 30 avril 2021 à 22:18:31 :
Tu es conscient que 50% de ce que tu apprends n'est pas prouvé et est l'interpretation de gens du siecle passé sur nos cerveaux ?Faux, les études ne sont pas basées sur du vent.
T'as entendu parler de la crise de la reproductibilité ? Elle est majeure en psychologie
Le 30 avril 2021 à 22:39:53 :
Le 30 avril 2021 à 22:38:30 :
J'espère que tu ne crois pas au bullshit de l'hypothèse du déséquilibre chimique comme cause de la dépression
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4172306/
Antidepressants are supposed to work by fixing a chemical imbalance, specifically, a lack of serotonin in the brain. Indeed, their supposed effectiveness is the primary evidence for the chemical imbalance theory. But analyses of the published data and the unpublished data that were hidden by drug companies reveals that most (if not all) of the benefits are due to the placebo effect. Some antidepressants increase serotonin levels, some decrease it, and some have no effect at all on serotonin. Nevertheless, they all show the same therapeutic benefit. Even the small statistical difference between antidepressants and placebos may be an enhanced placebo effect, due to the fact that most patients and doctors in clinical trials successfully break blind. The serotonin theory is as close as any theory in the history of science to having been proved wrong. Instead of curing depression, popular antidepressants may induce a biological vulnerability making people more likely to become depressed in the future.
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpsyt.2019.00407/full
The aim of this review is to evaluate the placebo effect in the treatment of anxiety and depression. Antidepressants are supposed to work by fixing a chemical imbalance, specifically, a lack of serotonin or norepinephrine in the brain. However, analyses of the published and the unpublished clinical trial data are consistent in showing that most (if not all) of the benefits of antidepressants in the treatment of depression and anxiety are due to the placebo response, and the difference in improvement between drug and placebo is not clinically meaningful and may be due to breaking blind by both patients and clinicians. Although this conclusion has been the subject of intense controversy, the current article indicates that the data from all of the published meta-analyses report the same results. This is also true of recent meta-analysis of all of the antidepressant data submitted to the Food and Drug Administration (FDA) in the process of seeking drug approval. Also, contrary to previously published results, the new FDA analysis reveals that the placebo response has not increased over time. Other treatments (e.g., psychotherapy and physical exercise) produce the same benefits as antidepressants and do so without the side effects and health risks of the active drugs. Psychotherapy and placebo treatments also show a lower relapse rate than that reported for antidepressant medication.
https://en.wikipedia.org/wiki/Irving_Kirsch#Research_on_antidepressants
Irving Kirsch (born March 7, 1943) is Associate Director of the Program in Placebo Studies and a lecturer in medicine at the Harvard Medical School and Beth Israel Deaconess Medical Center.[1] He is also professor emeritus of psychology at the Universities of Hull and Plymouth in the United Kingdom, and the University of Connecticut in the United States.[2][3] Kirsch is a leading researcher within the field of placebo studies who is noted for his work on placebo effects, antidepressants, expectancy, and hypnosis. He is the originator of response expectancy theory, and his analyses of clinical trials of antidepressants have influenced official treatment guidelines in the United Kingdom. He is the author of the 2009 book, The Emperor's New Drugs.
Hop hop hop on achète et on prend ses pilules
https://doi.org/10.1136/bmjebm-2019-111238
The benefits of antidepressants seem to be minimal and possibly without any importance to the average patient with major depressive disorder. Antidepressants should not be used for adults with major depressive disorder before valid evidence has shown that the potential beneficial effects outweigh the harmful effects.
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/4/1585853522-larry-mask.png Pour l'être encore et pour avoir été partiellement sauvé pour les fameuses "pilules", j'y crois fermement.
après l'effet placebo a un impact réel
[22:39:40] <BenoitPatard4>
L'OP que penses tu du diagnostic des TSA? Est-ce que ça serait pas un peu un truc d'AW egocentrique?
Il lache pas l'affaire le rhey. Je vais te répondre à sa place. Lis de la philo. Renseigne toi sur le stoïcisme et applique le dans la vie. Tu seras guéri des tes troubles
Le 30 avril 2021 à 22:40:19 farsgame- a écrit :
Le 30 avril 2021 à 22:38:30 :
J'espère que tu ne crois pas au bullshit de l'hypothèse du déséquilibre chimique comme cause de la dépression
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4172306/
Antidepressants are supposed to work by fixing a chemical imbalance, specifically, a lack of serotonin in the brain. Indeed, their supposed effectiveness is the primary evidence for the chemical imbalance theory. But analyses of the published data and the unpublished data that were hidden by drug companies reveals that most (if not all) of the benefits are due to the placebo effect. Some antidepressants increase serotonin levels, some decrease it, and some have no effect at all on serotonin. Nevertheless, they all show the same therapeutic benefit. Even the small statistical difference between antidepressants and placebos may be an enhanced placebo effect, due to the fact that most patients and doctors in clinical trials successfully break blind. The serotonin theory is as close as any theory in the history of science to having been proved wrong. Instead of curing depression, popular antidepressants may induce a biological vulnerability making people more likely to become depressed in the future.
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpsyt.2019.00407/full
The aim of this review is to evaluate the placebo effect in the treatment of anxiety and depression. Antidepressants are supposed to work by fixing a chemical imbalance, specifically, a lack of serotonin or norepinephrine in the brain. However, analyses of the published and the unpublished clinical trial data are consistent in showing that most (if not all) of the benefits of antidepressants in the treatment of depression and anxiety are due to the placebo response, and the difference in improvement between drug and placebo is not clinically meaningful and may be due to breaking blind by both patients and clinicians. Although this conclusion has been the subject of intense controversy, the current article indicates that the data from all of the published meta-analyses report the same results. This is also true of recent meta-analysis of all of the antidepressant data submitted to the Food and Drug Administration (FDA) in the process of seeking drug approval.Also, contrary to previously published results, the new FDA analysis reveals that the placebo response has not increased over time. Other treatments (e.g., psychotherapy and physical exercise) produce the same benefits as antidepressants and do so without the side effects and health risks of the active drugs. Psychotherapy and placebo treatments also show a lower relapse rate than that reported for antidepressant medication.
https://en.wikipedia.org/wiki/Irving_Kirsch#Research_on_antidepressants
Irving Kirsch (born March 7, 1943) is Associate Director of the Program in Placebo Studies and a lecturer in medicine at the Harvard Medical School and Beth Israel Deaconess Medical Center.[1] He is also professor emeritus of psychology at the Universities of Hull and Plymouth in the United Kingdom, and the University of Connecticut in the United States.[2][3] Kirsch is a leading researcher within the field of placebo studies who is noted for his work on placebo effects, antidepressants, expectancy, and hypnosis. He is the originator of response expectancy theory, and his analyses of clinical trials of antidepressants have influenced official treatment guidelines in the United Kingdom. He is the author of the 2009 book, The Emperor's New Drugs.
Hop hop hop on achète et on prend ses pilules
https://doi.org/10.1136/bmjebm-2019-111238
The benefits of antidepressants seem to be minimal and possibly without any importance to the average patient with major depressive disorder. Antidepressants should not be used for adults with major depressive disorder before valid evidence has shown that the potential beneficial effects outweigh the harmful effects.
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/4/1585853522-larry-mask.png c'est quoi la cause alors?
Une vie de merde