Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »
Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
Rochedy : "L'histoire française, c'est grave cool"
Le 16 octobre 2024 à 17:04:29 :
Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Il a été nietzcheen, puis socio darwiniste (matérialiste), enfin il retourne à l'idéalisme. Et encore : Nietzsche ne croyait pas en une réalité objective, mais inter subjective ; donc idéalisme épistémologique. Les marxistes ont du rappeler à Juju ce qu'était le matérialisme.
Mais le dualisme de Rochedy n'est pas intéressant. Je n'ai pas besoin de postuler une chose que je ne peux pas connaître (la famosa chose en soi) et dont je ne peux peux concevoir qu'elle existe en-dehors de la conscience, pour vivre. Le réalisme naïf/empirique est une perte de temps et d'énergie. La phénoménologie est le post kantisme, donc le kantisme est dépassable.
Le 16 octobre 2024 à 17:04:29 :
Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
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Son niveau a vachement monté en effet.
Le 01 novembre 2024 à 23:15:15 :
Le 16 octobre 2024 à 17:04:29 :
Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Il a été nietzcheen, puis socio darwiniste (matérialiste), enfin il retourne à l'idéalisme. Et encore : Nietzsche ne croyait pas en une réalité objective, mais inter subjective ; donc idéalisme épistémologique. Les marxistes ont du rappeler à Juju ce qu'était le matérialisme.
Mais le dualisme de Rochedy n'est pas intéressant. Je n'ai pas besoin de postuler une chose que je ne peux pas connaître (la famosa chose en soi) et dont je ne peux peux concevoir qu'elle existe en-dehors de la conscience, pour vivre. Le réalisme naïf/empirique est une perte de temps et d'énergie. La phénoménologie est le post kantisme, donc le kantisme est dépassable.
Non, la phénoménologie n'a pas aboli la chose en soi (sorte de légende urbaine qu'on lit partout). Et pourtant, je viens de la phénoménologie
Tout au plus peut on dire qu'elle la rend caduque pour et dans l'analyse du vécu perceptif. C'est déjà pas mal. Mais des gens qui se disent idéalistes transcendantaux au sens husserlien et pourtant réalistes empiriques, il y en a tout plein encore.
Mouais la critique de Kant revient à la négation de l'intuition abstractive de l'intelligible.
Pour lui le concept se réduit à une juxtaposition d'images mécaniques, il n'a pas une objectivité universelle.
Donc la vérité n’est pas la conformité de notre jugement avec le réel extramental et ses lois ontologiques, mais la conformité de notre jugement avec les lois subjelives de notre pensée.
ce relativisme apparaît avant Aristote, chez Heraclite, chez les sophistes, en particulier chez Protagoras.
Le 01 novembre 2024 à 23:19:19 :
De la belle branlette de bourgeois
T'étais pas censé te casser du forum toi
Le 01 novembre 2024 à 23:22:12 :
Le 01 novembre 2024 à 23:15:15 :
Le 16 octobre 2024 à 17:04:29 :
Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Il a été nietzcheen, puis socio darwiniste (matérialiste), enfin il retourne à l'idéalisme. Et encore : Nietzsche ne croyait pas en une réalité objective, mais inter subjective ; donc idéalisme épistémologique. Les marxistes ont du rappeler à Juju ce qu'était le matérialisme.
Mais le dualisme de Rochedy n'est pas intéressant. Je n'ai pas besoin de postuler une chose que je ne peux pas connaître (la famosa chose en soi) et dont je ne peux peux concevoir qu'elle existe en-dehors de la conscience, pour vivre. Le réalisme naïf/empirique est une perte de temps et d'énergie. La phénoménologie est le post kantisme, donc le kantisme est dépassable.
Non, la phénoménologie n'a pas aboli la chose en soi (sorte de légende urbaine qu'on lit partout). Et pourtant, je viens de la phénoménologie
Tout au plus peut on dire qu'elle la rend caduque pour et dans l'analyse du vécu perceptif. C'est déjà pas mal. Mais des gens qui se disent idéalistes transcendantaux au sens husserlien et pourtant réalistes empiriques, il y en a tout plein encore.
Qui parle d'abolir la chose en soi? Ce n'est pas ce que je dis. Effectivement, l'idéalisme épistémologique est cohérent sans que l'on ait besoin de s'attarder sur ce dualisme crétin sujet objet.
Le 01 novembre 2024 à 23:33:01 :
Je capte rien à la conv' c'est normal ?
Rochedy se rend compte que les libéraux ont une meilleur compréhension de la gauche et du matérialisme que la droite, donc il essaie de se rattraper.
Le 01 novembre 2024 à 23:17:47 OblastDeKoursk a écrit :
Le 16 octobre 2024 à 17:04:29 :
Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Son niveau a vachement monté en effet.
ça sent la paraphrase de quelque chose qu'il a lu surtout. Il a pas l'esprit assez aiguisé pour synthétiser aussi "facilement"
Le 01 novembre 2024 à 23:33:08 :
Le 01 novembre 2024 à 23:22:12 :
Le 01 novembre 2024 à 23:15:15 :
Le 16 octobre 2024 à 17:04:29 :
Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Il a été nietzcheen, puis socio darwiniste (matérialiste), enfin il retourne à l'idéalisme. Et encore : Nietzsche ne croyait pas en une réalité objective, mais inter subjective ; donc idéalisme épistémologique. Les marxistes ont du rappeler à Juju ce qu'était le matérialisme.
Mais le dualisme de Rochedy n'est pas intéressant. Je n'ai pas besoin de postuler une chose que je ne peux pas connaître (la famosa chose en soi) et dont je ne peux peux concevoir qu'elle existe en-dehors de la conscience, pour vivre. Le réalisme naïf/empirique est une perte de temps et d'énergie. La phénoménologie est le post kantisme, donc le kantisme est dépassable.
Non, la phénoménologie n'a pas aboli la chose en soi (sorte de légende urbaine qu'on lit partout). Et pourtant, je viens de la phénoménologie
Tout au plus peut on dire qu'elle la rend caduque pour et dans l'analyse du vécu perceptif. C'est déjà pas mal. Mais des gens qui se disent idéalistes transcendantaux au sens husserlien et pourtant réalistes empiriques, il y en a tout plein encore.Qui parle d'abolir la chose en soi? Ce n'est pas ce que je dis. Effectivement, l'idéalisme épistémologique est cohérent sans que l'on ait besoin de s'attarder sur ce dualisme crétin sujet objet.
Alors j'ai mal.compris ton message ; il me semblait que tu sous-entendais un "abandon", par la phénoménologie, de toute figure de la chose en soi !
(Au passage, mauvais procès que de suggérer que chez Kant, on.aurait besoin de celle-ci "pour simplement vivre". Il n'en est question ni dans doctrine du droit, ni dans son Anthropologie).
Il y a certes des husserliens radicaux qui vont dans le sens de cet abandon. Mais ça reste une.certaine radicalisation...
Le 01 novembre 2024 à 23:36:45 :
Le 01 novembre 2024 à 23:17:47 OblastDeKoursk a écrit :
Le 16 octobre 2024 à 17:04:29 :
Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Son niveau a vachement monté en effet.
ça sent la paraphrase surtout de quelque chose qu'il a lu surtout. Il a pas l'esprit assez aiguisé pour synthétiser aussi "facilement"
Ceci. On dirait un condensé eu Rivelaygue sur le sujet.
Le 01 novembre 2024 à 23:36:45 :
Le 01 novembre 2024 à 23:33:08 :
Le 01 novembre 2024 à 23:22:12 :
Le 01 novembre 2024 à 23:15:15 :
Le 16 octobre 2024 à 17:04:29 :
Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Il a été nietzcheen, puis socio darwiniste (matérialiste), enfin il retourne à l'idéalisme. Et encore : Nietzsche ne croyait pas en une réalité objective, mais inter subjective ; donc idéalisme épistémologique. Les marxistes ont du rappeler à Juju ce qu'était le matérialisme.
Mais le dualisme de Rochedy n'est pas intéressant. Je n'ai pas besoin de postuler une chose que je ne peux pas connaître (la famosa chose en soi) et dont je ne peux peux concevoir qu'elle existe en-dehors de la conscience, pour vivre. Le réalisme naïf/empirique est une perte de temps et d'énergie. La phénoménologie est le post kantisme, donc le kantisme est dépassable.
Non, la phénoménologie n'a pas aboli la chose en soi (sorte de légende urbaine qu'on lit partout). Et pourtant, je viens de la phénoménologie
Tout au plus peut on dire qu'elle la rend caduque pour et dans l'analyse du vécu perceptif. C'est déjà pas mal. Mais des gens qui se disent idéalistes transcendantaux au sens husserlien et pourtant réalistes empiriques, il y en a tout plein encore.Qui parle d'abolir la chose en soi? Ce n'est pas ce que je dis. Effectivement, l'idéalisme épistémologique est cohérent sans que l'on ait besoin de s'attarder sur ce dualisme crétin sujet objet.
Alors j'ai mal.compris ton message ; il me.semble.que tu sous-entendais un "abandon", par la phénoménologie, de toute figure de la.chose en soi
(Au passage, mauvais procès que de suggérer que chez Kant, on.aurait besoin de celle-ci "pour simplement vivre". Il n'en est question ni dans doctrine du droit, ni dans son Anthropologie).
Il y a certes des husserliens radicaux qui vont dans le sens de cet abandon. Mais ça reste une.certaine radicalisation...
Je ne fais pas de procès à Kant, je parle pour moi. Le point de départ de toute connaissance et préoccupation, c'est la conscience. Le reste, c'est de la spéculation métaphysique. Je suis dans l'épistémologie. Après, Merleau Ponty a été matérialiste (de type marxiste) dans sa jeunesse, donc je suppose qu'il est difficile de rompre avec le réalisme.
Perso, la conscience est anhistorique. Je ne vois ni progrès, ni décadence dans les générations qui se succèdent. Comme le dit La Bruyère : "les acteurs changent, mais le décor reste le même".
Le 01 novembre 2024 à 23:39:49 :
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> Le 16 octobre 2024 à 17:04:29 :
>Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »
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> Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Il a été nietzcheen, puis socio darwiniste (matérialiste), enfin il retourne à l'idéalisme. Et encore : Nietzsche ne croyait pas en une réalité objective, mais inter subjective ; donc idéalisme épistémologique. Les marxistes ont du rappeler à Juju ce qu'était le matérialisme.
Mais le dualisme de Rochedy n'est pas intéressant. Je n'ai pas besoin de postuler une chose que je ne peux pas connaître (la famosa chose en soi) et dont je ne peux peux concevoir qu'elle existe en-dehors de la conscience, pour vivre. Le réalisme naïf/empirique est une perte de temps et d'énergie. La phénoménologie est le post kantisme, donc le kantisme est dépassable.
Non, la phénoménologie n'a pas aboli la chose en soi (sorte de légende urbaine qu'on lit partout). Et pourtant, je viens de la phénoménologie
Tout au plus peut on dire qu'elle la rend caduque pour et dans l'analyse du vécu perceptif. C'est déjà pas mal. Mais des gens qui se disent idéalistes transcendantaux au sens husserlien et pourtant réalistes empiriques, il y en a tout plein encore.Qui parle d'abolir la chose en soi? Ce n'est pas ce que je dis. Effectivement, l'idéalisme épistémologique est cohérent sans que l'on ait besoin de s'attarder sur ce dualisme crétin sujet objet.
Alors j'ai mal.compris ton message ; il me.semble.que tu sous-entendais un "abandon", par la phénoménologie, de toute figure de la.chose en soi
(Au passage, mauvais procès que de suggérer que chez Kant, on.aurait besoin de celle-ci "pour simplement vivre". Il n'en est question ni dans doctrine du droit, ni dans son Anthropologie).
Il y a certes des husserliens radicaux qui vont dans le sens de cet abandon. Mais ça reste une.certaine radicalisation...Je ne fais pas de procès à Kant, je parle pour moi. Le point de départ de toute connaissance et préoccupation, c'est la conscience. Le reste, c'est de la spéculation métaphysique. Je suis dans l'épistémologie. Après, Merleau Ponty a été matérialiste (de type marxiste) dans sa jeunesse, donc je suppose qu'il est difficile de rompre avec le réalisme.
Oui enfin, le marxisme de Merleau-Ponty (que j'adore par ailleurs) était quand même bien léger
Puisqu'on parle de soi, je n'ai pas de souci avec la métaphysique pour ma part. La phénoménologie nous invite même dans ses parages... De même, pusique tu parles d'epistémo, qu'une certaine physique, si on refuse le strict positivisme de la "réduction aux observables" (coucou Heisenberg)
Rochedy épistémologue, on aura tout vu.
Le 01 novembre 2024 à 23:39:49 :
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> Le 16 octobre 2024 à 17:04:29 :
>Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »
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> Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Il a été nietzcheen, puis socio darwiniste (matérialiste), enfin il retourne à l'idéalisme. Et encore : Nietzsche ne croyait pas en une réalité objective, mais inter subjective ; donc idéalisme épistémologique. Les marxistes ont du rappeler à Juju ce qu'était le matérialisme.
Mais le dualisme de Rochedy n'est pas intéressant. Je n'ai pas besoin de postuler une chose que je ne peux pas connaître (la famosa chose en soi) et dont je ne peux peux concevoir qu'elle existe en-dehors de la conscience, pour vivre. Le réalisme naïf/empirique est une perte de temps et d'énergie. La phénoménologie est le post kantisme, donc le kantisme est dépassable.
Non, la phénoménologie n'a pas aboli la chose en soi (sorte de légende urbaine qu'on lit partout). Et pourtant, je viens de la phénoménologie
Tout au plus peut on dire qu'elle la rend caduque pour et dans l'analyse du vécu perceptif. C'est déjà pas mal. Mais des gens qui se disent idéalistes transcendantaux au sens husserlien et pourtant réalistes empiriques, il y en a tout plein encore.Qui parle d'abolir la chose en soi? Ce n'est pas ce que je dis. Effectivement, l'idéalisme épistémologique est cohérent sans que l'on ait besoin de s'attarder sur ce dualisme crétin sujet objet.
Alors j'ai mal.compris ton message ; il me.semble.que tu sous-entendais un "abandon", par la phénoménologie, de toute figure de la.chose en soi
(Au passage, mauvais procès que de suggérer que chez Kant, on.aurait besoin de celle-ci "pour simplement vivre". Il n'en est question ni dans doctrine du droit, ni dans son Anthropologie).
Il y a certes des husserliens radicaux qui vont dans le sens de cet abandon. Mais ça reste une.certaine radicalisation...Je ne fais pas de procès à Kant, je parle pour moi.
Perso, la conscience est anhistorique. Je ne vois ni progrès, ni décadence dans les générations qui se succèdent. Comme le dit La Bruyère : "les acteurs changent, mais le décor reste le même".
Tu admets tout de même une genèse de la conscience (sinon psychologique, du moins transcendantale) à échelle individuelle ? Parce que de là, le saut n'est pas difficile à faire.vers une genèse intersubjective..