Bordel.
Du pauvre Paris,
Sur un' place,
L'est un vieux bistrot
Tenu par un gros
Dégueulasse.
Si t'as le bec fin,
S'il te faut du vin
D' premièr' classe,
Va boire à Passy,
Le nectar d'ici
Te dépasse.
Mais si t'as l' gosier
Qu'une armur' d'acier
Matelasse,
Goûte à ce velours,
Ce petit bleu lourd
De menaces.
Tu trouveras là
La fin' fleur de la
Populace,
Tous les marmiteux,
Les calamiteux
De la place.
Qui viennent en rang,
Comme des harengs,
Voir en face
La bell' du bistrot,
La femme à ce gros
Dégueulasse.
Que je boive à fond
L'eau de tout's les fontain's
Wallace,
Si, dès aujourd'hui,
Tu n'es pas séduit
Par la grâce
De cett' jolie fé’
Qui, d'un bouge, a fait
Un palace.
Avec ses appas,
Du haut jusqu'en bas,
Bien en place.
Ces trésors exquis,
Qui les embrass', qui
Les enlace ?
Vraiment, c'en est trop !
Tout ça pour ce gros
Dégueulasse !
C'est injuste et fou,
Mais que voulez-vous
Qu'on y fasse ?
L'amour se fait vieux,
Il a plus les yeux
Bien en face.
Si tu fais ta cour,
Tâch' que tes discours
Ne l'agacent.
Sois poli, mon gars,
Pas de geste ou gare
à la casse !
Car sa main qui claqu',
Punit d'un flic-flac
Les audaces.
Certes, il n'est pas né
Qui mettra le nez
Dans sa tasse.
Pas né, le chanceux
Qui dégèl'ra ce
Bloc de glace.
Qui fera dans l'dos
Les corn's à ce gros
Dégueulasse.
Dans un coin pourri
Du pauvre Paris,
Sur un' place,
Une espèc' de fé’,
D'un vieux bouge, a fait
Un palace.
La belle du quartier qui préfère le gros chad dégueulasse du quartier que les gentils célestins qui viennent boire un coup.
Alors les Célestin, vous avez avalé la redpill ? A toutes les époques les femmes préfèrent les chads méchants et crades à vous, ne l'oubliez pas.
La jolie fée qui finit avec le gros cochon. Bordel.
BORDEL.
Un peu l'histoire de la nonne qui est attirée par le brigand alpha
Le 07 décembre 2021 à 15:13:30 :
Un peu l'histoire de la nonne qui est attirée par le brigand alphahttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/48/5/1606503108-anyayuraz.png
Je ne connais pas cette histoire, peux tu nous la raconter ?
A moins que ton résumé suffise.
Le 07 décembre 2021 à 15:14:31 :
Le 07 décembre 2021 à 15:13:30 :
Un peu l'histoire de la nonne qui est attirée par le brigand alphahttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/48/5/1606503108-anyayuraz.png Je ne connais pas cette histoire, peux tu nous la raconter ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/49/1/1638825679-anyalunettesbleus5.png A moins que ton résumé suffise.
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/49/1/1638825679-anyalunettesbleus5.png
Le 07 décembre 2021 à 15:09:43 :
Alors les Célestin, vous avez avalé la redpill ? A toutes les époques les femmes préfèrent les chads méchants et crades à vous, ne l'oubliez pas.https://image.noelshack.com/fichiers/2021/49/1/1638825571-anyalunettesbleus6.png
Elle est avalée depuis longtemps mais merci de faire un rappel, ça fait toujours plaisir clé
Le 07 décembre 2021 à 15:15:51 :
Le 07 décembre 2021 à 15:14:31 :
Le 07 décembre 2021 à 15:13:30 :
Un peu l'histoire de la nonne qui est attirée par le brigand alphahttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/48/5/1606503108-anyayuraz.png Je ne connais pas cette histoire, peux tu nous la raconter ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/49/1/1638825679-anyalunettesbleus5.png A moins que ton résumé suffise.
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/49/1/1638825679-anyalunettesbleus5.png
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/49/1/1638825490-anyalunettesbleus1.png
Merci du partage.
Le 07 décembre 2021 à 15:16:01 :
Le 07 décembre 2021 à 15:09:43 :
Alors les Célestin, vous avez avalé la redpill ? A toutes les époques les femmes préfèrent les chads méchants et crades à vous, ne l'oubliez pas.https://image.noelshack.com/fichiers/2021/49/1/1638825571-anyalunettesbleus6.png Elle est avalée depuis longtemps mais merci de faire un rappel, ça fait toujours plaisir clé
On est là.
Le 07 décembre 2021 à 15:18:02 :
Avant: BrassensMaintenant: BLAHBLAHBLAH POOKIE DANS LE SAS
Deux redpills en une : les femmes préfèrent les chads puants, mais en plus nos ancêtres savaient mieux le chanter.
Ça c'est une vraie redpill de brassens :
Le 07 décembre 2021 à 15:22:41 :
Ça c'est une vraie redpill de brassens :
La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Main dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet
La transportent, mais
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir
Elle s'emmerde sans s'en apercevoir
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomanie chronique
C'est elle qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
J'entends aller bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid"
Peut-être, mais si les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise
Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Jamais été fan, elle parle un peu trop d'amour, je pense pas que ce soit ça qui fasse réellement vibrer les femmes
Le 07 décembre 2021 à 15:22:41 :
Ça c'est une vraie redpill de brassens :
La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Main dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet
La transportent, mais
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir
Elle s'emmerde sans s'en apercevoir
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomanie chronique
C'est elle qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
J'entends aller bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid"
Peut-être, mais si les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise
Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Ahi. J'attends les Manuel Ferrara du forum pour le contredire.
Le 07 décembre 2021 à 15:25:31 :
Le 07 décembre 2021 à 15:22:41 :
Ça c'est une vraie redpill de brassens :
La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Main dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet
La transportent, mais
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir
Elle s'emmerde sans s'en apercevoir
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomanie chronique
C'est elle qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
J'entends aller bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid"
Peut-être, mais si les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise
Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pasAhi. J'attends les Manuel Ferrara du forum pour le contredire.
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/49/1/1638825542-anyalunettesbleus3.png
Ils ne viendront pas
Brassens aurait été un Khey validé
"Mais pour l'amour on ne demande pas aux filles d'avoir inventer la poudre"
"Entre autres fines fleurs, je compte, sur ma liste
Rose, un bon nombre de femmes de journalistes"
Le 07 décembre 2021 à 15:26:11 :
Le 07 décembre 2021 à 15:25:31 :
Le 07 décembre 2021 à 15:22:41 :
Ça c'est une vraie redpill de brassens :
La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Main dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet
La transportent, mais
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir
Elle s'emmerde sans s'en apercevoir
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomanie chronique
C'est elle qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
J'entends aller bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid"
Peut-être, mais si les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise
Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pasAhi. J'attends les Manuel Ferrara du forum pour le contredire.
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/49/1/1638825542-anyalunettesbleus3.png Ils ne viendront pas
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/47/6/1638025475-noel-tison.png
Chaud.
Jamais été fan, elle parle un peu trop d'amour, je pense pas que ce soit ça qui fasse réellement vibrer les femmes
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/30/3/1627429491-anyatruffe.png
Amour ? Ils parlent des cucks qui se prennent pour des serial baiseurs car leurs femmes se forcent au lit.
C'est une redpill totale : les femmes se servent du sexe comme monnaie d'échange.