les femmes SONT DES ...

pascallop
2021-07-03 22:24:51

...

RaptorGuevara
2021-07-03 22:26:00

australopétasses

pascallop
2021-07-03 22:26:29

Le 03 juillet 2021 à 22:26:00 :
australopétasses

:question:

piKHEYshu
2021-07-03 22:27:23

des êtres qui adorent particulièrement le conformisme, le fait de tout avoir en faisant le moins d'effort possible.

VergeAgile
2021-07-03 22:27:25

La vie d'une femme est hyperempirique. Elle se maquille, se fait toute belle en utilisant moult accessoires et parfois de manière excessive (combien de fois a-t-on entendu des hommes traiter des femmes de « pots de peintures »?)... Ainsi, dans la société, la femme se définit par son apparence, par son CORPS et non par son ESPRIT ou son âme, ce qui démontre un manque « d'ÊTRE) ». Il suffit pour s'en convaincre, de demander aux filles de votre entourage comment elles se définissent dans le monde : elles montreront tout simplement leur corps.

La relation de la femme avec le monde est donc d'ordre purement matérielle.

Le bien-être matériel et sexuel est une de ses principales préoccupations (d'où la gravitation des femmes autour des hommes riches). L'absence de quête d'aventure la caractérise également : qui n'a jamais entendu une femme dire à un homme ambitieux qu'il ne changera pas le monde, qu'il ferait mieux d'arrêter de passer tout son temps à travailler et qu'il devrait profiter de la vie et vivre l'instant présent ?

On se demande également souvent pourquoi la femme ne s'intéresse pas aux sciences, à la politique ou à la religion. Il est vrai que statistiquement, les filles sont numériquement LARGEMENT au-dessous des hommes dans les filières scientifiques, et la majorité des gens qui se convertissent à une religion pour des raisons spirituelles (et non purement conventionnelles comme pouvoir se marier par exemple) sont des hommes. La raison en est que la femme n'est pas INTERESSEE par la Vérité, ce concept lui est complètement étranger. Il n'y a que dans une pièce avec une majorité d'hommes qu'on peut discuter de sujets sérieux (cela arrive d'ailleurs souvent sur certains topics), et il est extrêmement probable qu'un groupe de filles isolé en soirée ne parlera pas de théologie mais plutôt de choses futiles et frivoles. Il est possible de débattre de sujets sérieux avec une femme, mais le sujet est systématiquement lancé par un homme.

Avec tout ce qu'on a dit précédemment, on pourrait presque définir la Femme Absolue comme un animal dans la mesure où elle n'est pas tournée vers tout ce qui peut être transcendant (comme un projet ambitieux, une aventure, une activité spirituelle) et qu'elle est uniquement intéressée par ce qui est accessible directement et sensiblement. De plus l'absence d'attrait pour la vérité implique une ignorance totale de tout ce qui peut être moral ou logique pour la femme, et en effet, la femme est AMORALE et ALOGIQUE. Mais par amorale, je n'entends pas antimorale !

La femme ne conçoit pas le Bien ou le Mal et c'est pourquoi on a parfois l'impression qu'elle est cruelle (il suffit de voir le nombre de forumeurs faits cocus et dont l'ex-copine n'éprouve pas le moindre remord). Ceci explique également pourquoi elle ne se remet jamais en question et explique l'inversion accusatoire dont elle fait preuve alors même qu'elle fait une faute (« tu ne me laisses jamais respirer aussi ! » comme justification pour un adultère, donc si on la suit bien c'est de la faute de la victime...). On peut également évoquer l'impudeur psychique des femmes, leur absence de honte lorsqu'elles pleurent en public pour attendrir, chose impensable pour un homme. En outre, leur pudeur est sexuelle (contrairement à celle de l'homme qui est éthique). Par exemple, si on demande à fille en jupe longue de la soulever légèrement, celle-ci refusera au nom de la pudeur et de l'intimité, et puis 15 minutes plus tard, en allant à la plage avec ses copines, elle ne verra aucun inconvénient à se mettre en bikini (donc quasiment nue à quelques centimètres carrés près) devant tout le monde.

On pourrait également parler de l'absence de sentiment d'appartenance à une Race ou à une Nation chez la femme, dans les cas qui choquent certains forumeurs (métissage entre autres), et cela confirmerait à nouveau nos thèses.

La misogynie n'a donc pas de sens à un certain niveau, puisque la femme n'agit pas « mal » en soi. Elle n'a pas conscience du Mal. Les misogynes jugent les femmes sur des critères d'hommes.

La femme est focalisée sur la sexualité, et n'existe qu'à travers un homme. Son plus grand plaisir est le coït en vue de l'accouplement. La femme EST sexualité, toute sa gestuelle est érotique (manière de marcher ou de manger), et sa plus grande crainte est de ne plus être considérée par les hommes. « Quand une femme, surprise en tenue légère, pousse un cri, cela ne doit s'expliquer que d'une seule façon : elle a eu peur de ne pas être suffisamment élégante dans la tenue en question. ».

La période de célibat des filles est souvent très courte (elles retrouvent un copain très rapidement, non seulement parce que c'est facile pour elles aujourd'hui, mais aussi parce qu'elles le désirent) et rien n'est plus méprisable dans l'imaginaire d'une fille que la vielle fille. De plus, les femmes jouissent de voir leurs amies se caser et aiment jouer les entremetteuses (tendance au maquerellage), quand n'entrent pas en jeu des histoires de jalousies.

En fait, la femme SEULE n'est RIEN. Elle ne peut exister qu'à travers l'homme et c'est l'homme qui en se sexualisant, crée la femme.

On peut également évoquer le dualisme traditionnel de la FORME et de la MATIERE ou de l'ESPRIT et la CHAIR. L'homme est la FORME, l'esprit qui modèle et la femme est la MATIERE inerte, ni bonne ni mauvaise. C'est l'homme qui façonne la femme et qui est le seul moyen d'élévation pour elles. Ce schéma dual de forme et de matière presque supra-naturel peut expliquer d'ailleurs pourquoi la femme dans la société traditionnelle (qui place l'invisible et le symbolique avant le réel) possède moins de droits que les hommes et demeure sous l'autorité de ces derniers.

On pourrait approfondir l'étude du point de vue traditionnel car les mythes nous donnent beaucoup d'information sur la nature de l'homme et de la femme, mais il est déjà assez difficile d'être synthétique sans être brouillon sur la question de la femme. J'ai livré ici quelques pistes qui peuvent créer des déclics chez les forumeurs. Bien sûr on pourra prolonger le débat sur le forum et étayer/éclaircir certains points.

Pour ceux qui veulent aller bien plus loin, je conseille la lecture de Sexe et Caractère d'Otto Weininger et de Métaphysique du Sexe de Julius Evola.

pascallop
2021-07-03 22:28:24

Le 03 juillet 2021 à 22:27:25 :
La vie d'une femme est hyperempirique. Elle se maquille, se fait toute belle en utilisant moult accessoires et parfois de manière excessive (combien de fois a-t-on entendu des

trop long cailloux

RaptorGuevara
2021-07-03 22:28:24

Le 03 juillet 2021 à 22:27:25 :
La vie d'une femme est hyperempirique. Elle se maquille, se fait toute belle en utilisant moult accessoires et parfois de manière excessive (combien de fois a-t-on entendu des hommes traiter des femmes de « pots de peintures »?)... Ainsi, dans la société, la femme se définit par son apparence, par son CORPS et non par son ESPRIT ou son âme, ce qui démontre un manque « d'ÊTRE) ». Il suffit pour s'en convaincre, de demander aux filles de votre entourage comment elles se définissent dans le monde : elles montreront tout simplement leur corps.

La relation de la femme avec le monde est donc d'ordre purement matérielle.

Le bien-être matériel et sexuel est une de ses principales préoccupations (d'où la gravitation des femmes autour des hommes riches). L'absence de quête d'aventure la caractérise également : qui n'a jamais entendu une femme dire à un homme ambitieux qu'il ne changera pas le monde, qu'il ferait mieux d'arrêter de passer tout son temps à travailler et qu'il devrait profiter de la vie et vivre l'instant présent ?

On se demande également souvent pourquoi la femme ne s'intéresse pas aux sciences, à la politique ou à la religion. Il est vrai que statistiquement, les filles sont numériquement LARGEMENT au-dessous des hommes dans les filières scientifiques, et la majorité des gens qui se convertissent à une religion pour des raisons spirituelles (et non purement conventionnelles comme pouvoir se marier par exemple) sont des hommes. La raison en est que la femme n'est pas INTERESSEE par la Vérité, ce concept lui est complètement étranger. Il n'y a que dans une pièce avec une majorité d'hommes qu'on peut discuter de sujets sérieux (cela arrive d'ailleurs souvent sur certains topics), et il est extrêmement probable qu'un groupe de filles isolé en soirée ne parlera pas de théologie mais plutôt de choses futiles et frivoles. Il est possible de débattre de sujets sérieux avec une femme, mais le sujet est systématiquement lancé par un homme.

Avec tout ce qu'on a dit précédemment, on pourrait presque définir la Femme Absolue comme un animal dans la mesure où elle n'est pas tournée vers tout ce qui peut être transcendant (comme un projet ambitieux, une aventure, une activité spirituelle) et qu'elle est uniquement intéressée par ce qui est accessible directement et sensiblement. De plus l'absence d'attrait pour la vérité implique une ignorance totale de tout ce qui peut être moral ou logique pour la femme, et en effet, la femme est AMORALE et ALOGIQUE. Mais par amorale, je n'entends pas antimorale !

La femme ne conçoit pas le Bien ou le Mal et c'est pourquoi on a parfois l'impression qu'elle est cruelle (il suffit de voir le nombre de forumeurs faits cocus et dont l'ex-copine n'éprouve pas le moindre remord). Ceci explique également pourquoi elle ne se remet jamais en question et explique l'inversion accusatoire dont elle fait preuve alors même qu'elle fait une faute (« tu ne me laisses jamais respirer aussi ! » comme justification pour un adultère, donc si on la suit bien c'est de la faute de la victime...). On peut également évoquer l'impudeur psychique des femmes, leur absence de honte lorsqu'elles pleurent en public pour attendrir, chose impensable pour un homme. En outre, leur pudeur est sexuelle (contrairement à celle de l'homme qui est éthique). Par exemple, si on demande à fille en jupe longue de la soulever légèrement, celle-ci refusera au nom de la pudeur et de l'intimité, et puis 15 minutes plus tard, en allant à la plage avec ses copines, elle ne verra aucun inconvénient à se mettre en bikini (donc quasiment nue à quelques centimètres carrés près) devant tout le monde.

On pourrait également parler de l'absence de sentiment d'appartenance à une Race ou à une Nation chez la femme, dans les cas qui choquent certains forumeurs (métissage entre autres), et cela confirmerait à nouveau nos thèses.

La misogynie n'a donc pas de sens à un certain niveau, puisque la femme n'agit pas « mal » en soi. Elle n'a pas conscience du Mal. Les misogynes jugent les femmes sur des critères d'hommes.

La femme est focalisée sur la sexualité, et n'existe qu'à travers un homme. Son plus grand plaisir est le coït en vue de l'accouplement. La femme EST sexualité, toute sa gestuelle est érotique (manière de marcher ou de manger), et sa plus grande crainte est de ne plus être considérée par les hommes. « Quand une femme, surprise en tenue légère, pousse un cri, cela ne doit s'expliquer que d'une seule façon : elle a eu peur de ne pas être suffisamment élégante dans la tenue en question. ».

La période de célibat des filles est souvent très courte (elles retrouvent un copain très rapidement, non seulement parce que c'est facile pour elles aujourd'hui, mais aussi parce qu'elles le désirent) et rien n'est plus méprisable dans l'imaginaire d'une fille que la vielle fille. De plus, les femmes jouissent de voir leurs amies se caser et aiment jouer les entremetteuses (tendance au maquerellage), quand n'entrent pas en jeu des histoires de jalousies.

En fait, la femme SEULE n'est RIEN. Elle ne peut exister qu'à travers l'homme et c'est l'homme qui en se sexualisant, crée la femme.

On peut également évoquer le dualisme traditionnel de la FORME et de la MATIERE ou de l'ESPRIT et la CHAIR. L'homme est la FORME, l'esprit qui modèle et la femme est la MATIERE inerte, ni bonne ni mauvaise. C'est l'homme qui façonne la femme et qui est le seul moyen d'élévation pour elles. Ce schéma dual de forme et de matière presque supra-naturel peut expliquer d'ailleurs pourquoi la femme dans la société traditionnelle (qui place l'invisible et le symbolique avant le réel) possède moins de droits que les hommes et demeure sous l'autorité de ces derniers.

On pourrait approfondir l'étude du point de vue traditionnel car les mythes nous donnent beaucoup d'information sur la nature de l'homme et de la femme, mais il est déjà assez difficile d'être synthétique sans être brouillon sur la question de la femme. J'ai livré ici quelques pistes qui peuvent créer des déclics chez les forumeurs. Bien sûr on pourra prolonger le débat sur le forum et étayer/éclaircir certains points.

Pour ceux qui veulent aller bien plus loin, je conseille la lecture de Sexe et Caractère d'Otto Weininger et de Métaphysique du Sexe de Julius Evola.

Tu m'as ôté les mots de la bouche

Vatren
2021-07-03 22:28:52

Des êtres humains de sexe ou de genre féminin et d'âge adulte. Avant la puberté, au stade infantile, on parle de filles. Il arrive cependant que le mot s'utilise indépendamment de l’âge.

RaptorGuevara
2021-07-03 22:28:56

Une femme est un être humain de sexe ou de genre féminin et d'âge adulte. Avant l'âge adulte, au stade infantile, on parle de fille. Il arrive cependant que le mot s'utilise indépendamment de l’âge.

Son sexe génétique est déterminé par la présence de deux chromosomes X (et/ou par l'absence du gène SRY) sur la vingt-troisième paire. L'embryon est cependant physiologiquement indifférencié jusqu'à la septième semaine de grossesse. À partir de la huitième semaine, commence la différenciation des gonades et des organes génitaux internes puis des organes externes au cours du troisième mois de vie fœtale. La maturité sexuelle féminine (capacité à se reproduire) est bornée par les étapes de la ménarche et de la ménopause. La période de gestation, d'une durée de neuf mois environ, est appelée « grossesse ».

Anatomiquement, la taille et la masse musculaire des femmes sont généralement inférieures à celles des hommes ; mais la différence anatomique principale concerne le bassin, plus large en moyenne, probablement du fait d'une évolution favorisant l'accouchement. Avec la puberté, le dimorphisme sexuel matérialisé par les caractères sexuels secondaires (notamment les seins) s'accentue.

L'espérance de vie féminine est la plus élevée de l'espèce, mais l'espérance de vie en bonne santé est similaire à celle de l'autre sexe.

La place des femmes dans la société, tant en public qu'en privé, a beaucoup évolué au cours de l'histoire et en fonction des civilisations. La plupart des mythes et religions voient dans la femme la compagne de l'homme, destinée à lui donner des enfants. Les rôles de la vierge, symboliquement associée à la pureté, et de la mère, associée au caractère protecteur et nourricier, y sont vus très positivement. Le rôle de la séductrice, incarnation de la tentation, est en revanche lié à des représentations culturelles plus ambivalentes voire négatives.

Les différences comportementales entre hommes et femmes relèvent de la féminité et de la masculinité et sont l'objet d'études sociales. La réalité, l'ampleur, et le caractère inné ou acquis de nombreuses différences sont sujets à de nombreux débats.

RaptorGuevara
2021-07-03 22:29:29

Le 03 juillet 2021 à 22:28:52 :
Des êtres humains de sexe ou de genre féminin et d'âge adulte. Avant la puberté, au stade infantile, on parle de filles. Il arrive cependant que le mot s'utilise indépendamment de l’âge.

AHI vive wikipédia khey

pascallop
2021-07-03 22:29:30

TROP LONG !!

Vatren
2021-07-03 22:29:47

Le 03 juillet 2021 à 22:28:56 :
Une femme est un être humain de sexe ou de genre féminin et d'âge adulte. Avant l'âge adulte, au stade infantile, on parle de fille. Il arrive cependant que le mot s'utilise indépendamment de l’âge.

Son sexe génétique est déterminé par la présence de deux chromosomes X (et/ou par l'absence du gène SRY) sur la vingt-troisième paire. L'embryon est cependant physiologiquement indifférencié jusqu'à la septième semaine de grossesse. À partir de la huitième semaine, commence la différenciation des gonades et des organes génitaux internes puis des organes externes au cours du troisième mois de vie fœtale. La maturité sexuelle féminine (capacité à se reproduire) est bornée par les étapes de la ménarche et de la ménopause. La période de gestation, d'une durée de neuf mois environ, est appelée « grossesse ».

Anatomiquement, la taille et la masse musculaire des femmes sont généralement inférieures à celles des hommes ; mais la différence anatomique principale concerne le bassin, plus large en moyenne, probablement du fait d'une évolution favorisant l'accouchement. Avec la puberté, le dimorphisme sexuel matérialisé par les caractères sexuels secondaires (notamment les seins) s'accentue.

L'espérance de vie féminine est la plus élevée de l'espèce, mais l'espérance de vie en bonne santé est similaire à celle de l'autre sexe.

La place des femmes dans la société, tant en public qu'en privé, a beaucoup évolué au cours de l'histoire et en fonction des civilisations. La plupart des mythes et religions voient dans la femme la compagne de l'homme, destinée à lui donner des enfants. Les rôles de la vierge, symboliquement associée à la pureté, et de la mère, associée au caractère protecteur et nourricier, y sont vus très positivement. Le rôle de la séductrice, incarnation de la tentation, est en revanche lié à des représentations culturelles plus ambivalentes voire négatives.

Les différences comportementales entre hommes et femmes relèvent de la féminité et de la masculinité et sont l'objet d'études sociales. La réalité, l'ampleur, et le caractère inné ou acquis de nombreuses différences sont sujets à de nombreux débats.

First

toyAf56
2021-07-03 22:29:52

Toute des putes

VergeAgile
2021-07-03 22:30:20

Le 03 juillet 2021 à 22:28:24 :

Le 03 juillet 2021 à 22:27:25 :
La vie d'une femme est hyperempirique. Elle se maquille, se fait toute belle en utilisant moult accessoires et parfois de manière excessive (combien de fois a-t-on entendu des hommes traiter des femmes de « pots de peintures »?)... Ainsi, dans la société, la femme se définit par son apparence, par son CORPS et non par son ESPRIT ou son âme, ce qui démontre un manque « d'ÊTRE) ». Il suffit pour s'en convaincre, de demander aux filles de votre entourage comment elles se définissent dans le monde : elles montreront tout simplement leur corps.

La relation de la femme avec le monde est donc d'ordre purement matérielle.

Le bien-être matériel et sexuel est une de ses principales préoccupations (d'où la gravitation des femmes autour des hommes riches). L'absence de quête d'aventure la caractérise également : qui n'a jamais entendu une femme dire à un homme ambitieux qu'il ne changera pas le monde, qu'il ferait mieux d'arrêter de passer tout son temps à travailler et qu'il devrait profiter de la vie et vivre l'instant présent ?

On se demande également souvent pourquoi la femme ne s'intéresse pas aux sciences, à la politique ou à la religion. Il est vrai que statistiquement, les filles sont numériquement LARGEMENT au-dessous des hommes dans les filières scientifiques, et la majorité des gens qui se convertissent à une religion pour des raisons spirituelles (et non purement conventionnelles comme pouvoir se marier par exemple) sont des hommes. La raison en est que la femme n'est pas INTERESSEE par la Vérité, ce concept lui est complètement étranger. Il n'y a que dans une pièce avec une majorité d'hommes qu'on peut discuter de sujets sérieux (cela arrive d'ailleurs souvent sur certains topics), et il est extrêmement probable qu'un groupe de filles isolé en soirée ne parlera pas de théologie mais plutôt de choses futiles et frivoles. Il est possible de débattre de sujets sérieux avec une femme, mais le sujet est systématiquement lancé par un homme.

Avec tout ce qu'on a dit précédemment, on pourrait presque définir la Femme Absolue comme un animal dans la mesure où elle n'est pas tournée vers tout ce qui peut être transcendant (comme un projet ambitieux, une aventure, une activité spirituelle) et qu'elle est uniquement intéressée par ce qui est accessible directement et sensiblement. De plus l'absence d'attrait pour la vérité implique une ignorance totale de tout ce qui peut être moral ou logique pour la femme, et en effet, la femme est AMORALE et ALOGIQUE. Mais par amorale, je n'entends pas antimorale !

La femme ne conçoit pas le Bien ou le Mal et c'est pourquoi on a parfois l'impression qu'elle est cruelle (il suffit de voir le nombre de forumeurs faits cocus et dont l'ex-copine n'éprouve pas le moindre remord). Ceci explique également pourquoi elle ne se remet jamais en question et explique l'inversion accusatoire dont elle fait preuve alors même qu'elle fait une faute (« tu ne me laisses jamais respirer aussi ! » comme justification pour un adultère, donc si on la suit bien c'est de la faute de la victime...). On peut également évoquer l'impudeur psychique des femmes, leur absence de honte lorsqu'elles pleurent en public pour attendrir, chose impensable pour un homme. En outre, leur pudeur est sexuelle (contrairement à celle de l'homme qui est éthique). Par exemple, si on demande à fille en jupe longue de la soulever légèrement, celle-ci refusera au nom de la pudeur et de l'intimité, et puis 15 minutes plus tard, en allant à la plage avec ses copines, elle ne verra aucun inconvénient à se mettre en bikini (donc quasiment nue à quelques centimètres carrés près) devant tout le monde.

On pourrait également parler de l'absence de sentiment d'appartenance à une Race ou à une Nation chez la femme, dans les cas qui choquent certains forumeurs (métissage entre autres), et cela confirmerait à nouveau nos thèses.

La misogynie n'a donc pas de sens à un certain niveau, puisque la femme n'agit pas « mal » en soi. Elle n'a pas conscience du Mal. Les misogynes jugent les femmes sur des critères d'hommes.

La femme est focalisée sur la sexualité, et n'existe qu'à travers un homme. Son plus grand plaisir est le coït en vue de l'accouplement. La femme EST sexualité, toute sa gestuelle est érotique (manière de marcher ou de manger), et sa plus grande crainte est de ne plus être considérée par les hommes. « Quand une femme, surprise en tenue légère, pousse un cri, cela ne doit s'expliquer que d'une seule façon : elle a eu peur de ne pas être suffisamment élégante dans la tenue en question. ».

La période de célibat des filles est souvent très courte (elles retrouvent un copain très rapidement, non seulement parce que c'est facile pour elles aujourd'hui, mais aussi parce qu'elles le désirent) et rien n'est plus méprisable dans l'imaginaire d'une fille que la vielle fille. De plus, les femmes jouissent de voir leurs amies se caser et aiment jouer les entremetteuses (tendance au maquerellage), quand n'entrent pas en jeu des histoires de jalousies.

En fait, la femme SEULE n'est RIEN. Elle ne peut exister qu'à travers l'homme et c'est l'homme qui en se sexualisant, crée la femme.

On peut également évoquer le dualisme traditionnel de la FORME et de la MATIERE ou de l'ESPRIT et la CHAIR. L'homme est la FORME, l'esprit qui modèle et la femme est la MATIERE inerte, ni bonne ni mauvaise. C'est l'homme qui façonne la femme et qui est le seul moyen d'élévation pour elles. Ce schéma dual de forme et de matière presque supra-naturel peut expliquer d'ailleurs pourquoi la femme dans la société traditionnelle (qui place l'invisible et le symbolique avant le réel) possède moins de droits que les hommes et demeure sous l'autorité de ces derniers.

On pourrait approfondir l'étude du point de vue traditionnel car les mythes nous donnent beaucoup d'information sur la nature de l'homme et de la femme, mais il est déjà assez difficile d'être synthétique sans être brouillon sur la question de la femme. J'ai livré ici quelques pistes qui peuvent créer des déclics chez les forumeurs. Bien sûr on pourra prolonger le débat sur le forum et étayer/éclaircir certains points.

Pour ceux qui veulent aller bien plus loin, je conseille la lecture de Sexe et Caractère d'Otto Weininger et de Métaphysique du Sexe de Julius Evola.

Tu m'as ôté les mots de la bouche

Ouihttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/26/3/1625034016-issoucochonou.png

Tamerlan93
2021-07-03 22:30:46

êtres qui ne sont destinées ni aux grands travaux de l’intelligence, ni aux
 grands travaux matériels

Ayaaa c’est pas moi qui le dit c’est Schopenhauer faut lsavoir hein

pascallop
2021-07-03 22:31:03

Le 03 juillet 2021 à 22:29:52 :
Toute des putes

ayaaa

Vatren
2021-07-03 22:31:58

La femme est la femelle de l'Homo sapiens. Et le terme fille désigne la femme à ses stades infantile et pubère.

holaholahola1
2021-07-03 22:32:28

oula sort un peu de ta grotte frero, je sais pas avec quelles femmes tu parles pour déduire ça, mais il y a vraiment tout comme chez les hommes

pascallop
2021-07-03 22:33:21

Le 03 juillet 2021 à 22:32:28 :
oula sort un peu de ta grotte frero, je sais pas avec quelles femmes tu parles pour déduire ça, mais il y a vraiment tout comme chez les hommes

tu parle de qui ?

RaptorGuevara
2021-07-03 22:34:26

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